Bienvenue ! Ce site a été réalisé spécialement pour les enfants, les adolescents et les jeunes. Il est là pour présenter l’évangile et vous aider à grandir dans votre vie avec le Seigneur. N’hésitez pas à poser des questions ou à nous suggérer des sujets qui vous intéressent, par l’intermédiaire de l’espace questions. Nous essayerons d’y répondre !
1. Seigneur, si je chante le long de mon chemin,
C’est que je peux Te prier dès le matin.
Refrain :
O Seigneur, je veux Te louer
Car je suis dans la joie :
Un jour Tu m’as pris par la main,
Je m’en souviens,
Un jour Tu m’as pris par la main,
Je ne crains rien.
2. Seigneur, Ta Parole, oui j’aime l’écouter.
Ainsi Tu peux me parler dès le matin.
Refrain…
3. Seigneur, dans ce monde, je parlerai de Toi.
Tu seras tout près de moi dès le matin.
• Le songe de Salomon et son entretien avec Dieu (1 Rois 3. 4 à 8).
• La demande de Salomon (v. 9).
• L’exemple de notre Seigneur.
Que souhaiterais-tu avoir, si Dieu venait à toi et t’offrait d’exaucer l’un de tes désirs ? La santé, une maison, une grosse voiture, plus de succès professionnel ou des vacances de plusieurs semaines à l’étranger ?
Nous trouvons, dans l’Ancien Testament, un jeune homme à qui Dieu a soudain confié une grande responsabilité. Il avait été choisi pour régner sur le peuple de Dieu. Ce jeune homme s’appelait Salomon ; il succédait à David, son père, sur le trône (1 Chr. 29. 1). Dieu lui a accordé du succès, par le fait que le royaume a été affermi dans sa main (1 Rois 2. 46 ; 2 Chr. 1. 1). Tu diras peut-être que tu n’auras jamais à porter une telle responsabilité. Et pourtant ! Voyons d’abord comment le jeune Salomon a fait face à la responsabilité que Dieu lui avait confiée, au début de son règne. Dieu voudrait que nous soyons prêts à assumer la responsabilité d’une tâche toute petite, ou même désagréable. Et, pour cela, Il désire nous accorder son aide.
Le songe de Salomon et son entretien avec Dieu (1 Rois 3. 4 à 8).
Salomon offre beaucoup de sacrifices à Dieu sur l’autel à Gabaon, où Dieu lui apparaît en songe. Dieu demande à Salomon ce qu’il désire qu’Il lui accorde. Dans sa réponse, Salomon rend d’abord hommage à David, son père. Il est conscient que ce n’est que par la grâce de Dieu qu’il régnera. Il reconnaît qu’il ne pourra rien faire sans Lui. Salomon demande à Dieu un cœur sage, afin qu’il puisse juger convenablement le peuple de Dieu. Dieu est réjoui par cette demande et donne encore bien plus à Salomon. A son réveil, Salomon se rend à Jérusalem où se trouve l’arche de l’alliance. Il y offre des sacrifices à Dieu et partage sa joie avec ses serviteurs.
Salomon est reconnaissant (v. 4).
Salomon avait décidé d’obéir à Dieu dès son jeune âge. Il semble qu’il n’a pas encore tout compris – notamment ce qu’est l’adoration à Dieu. C’est ainsi qu’il offrait des sacrifices et faisait fumer de l’encens sur les hauts-lieux et non à Jérusalem (1 Rois 3. 3 ; 2 Chr. 1. 3 et 4). Mais il voulait servir Dieu de tout son cœur. Dieu ne lui fait pas de reproches au sujet de ses sacrifices sur les hauts-lieux, parce que le temple n’était pas encore construit. C’est seulement plus tard que Dieu condamnera les sacrifices des rois à de tels endroits. Pourquoi penses-tu que Salomon a offert des sacrifices et de la louange ? Il avait beaucoup de raisons de remercier Dieu :
– Parce qu’il avait appris à connaître Dieu par la marche de David, son père (1 Rois 3. 6).
– Parce que les ennemis de David avaient été jugés (1 Rois 2).
– Parce que Dieu l’avait établi comme roi sur son peuple (2 Rois 1. 1).
Après son songe (v. 15), Salomon remercie de nouveau pour les bienfaits de Dieu par des holocaustes et des sacrifices de prospérité. En même temps, il partage avec ses serviteurs la joie qu’il a ressentie dans sa communion avec Dieu.
En reconnaissance à mon Dieu pour le don de son Fils, que suis-je prêt à Lui offrir ? Ce sera, par exemple, mon temps, mes biens ou mes capacités, lorsqu’il y a des tâches à accomplir dans la maison de Dieu (2 Cor. 5. 12, 15). Suis-je conscient que mon temps, mes biens et mes facultés ne m’appartiennent pas, mais que c’est un effet des bontés de Dieu (1 Chr. 29. 14) ?
Dieu désire donner (v. 5).
Dieu a vu l’amour que le cœur de Salomon avait pour Lui. C’est pourquoi Il s’est adressé à Salomon et lui a offert la possibilité d’exprimer le désir de son cœur : « Demande ce que tu veux que je te donne ».
Dieu nous a donné le plus grand don que l’homme pouvait souhaiter : Il s’est offert lui-même dans la personne de son Fils, Jésus Christ (Tite 2. 13 et 14). As-tu déjà accepté le Seigneur Jésus comme Sauveur ? Si nous acceptons le don de Dieu par la foi et dans la repentance, Il « nous fera don aussi, librement, de toutes choses avec lui » (Rom. 8. 32).
Salomon honore son père (v. 6).
Dans sa réponse, Salomon rend honneur à David, son père. Il avait observé sa marche. Il savait quelle avait été sa conduite devant Dieu. Comment vais-je parler de mon père et de ma mère en leur absence (Eph. 6. 2) ? M’arrive-t-il de me moquer d’eux et de les mépriser ? « L’œil qui se moque d’un père et qui méprise l’obéissance envers la mère, les corbeaux du torrent le crèveront et les petits de l’aigle le dévoreront » (Prov. 30. 17). Est-ce que j’écoute les conseils de mes parents (Prov. 1. 8 et 9), même si j’ai plus de dix-huit ans et que je suis diplômé d’une grande école (Prov. 23. 22) ?
Salomon reconnaît la bonté de Dieu (v. 6).
Salomon reconnaît ensuite la bonté et la faveur de Dieu qui l’a choisi comme roi sur son peuple. Ce n’est pas à cause de son mérite ou de celui de son père qu’il peut accéder au trône (Ps. 18. 50).
Suis-je toujours conscient que tout ce que je suis et ce que j’ai – ma place à l’école ou comme étudiant, mon travail – m’a été donné par la grâce de Dieu (Rom. 12. 6 ; 2 Cor. 9. 8 ; Eph. 2. 8) ?
L’humilité de Salomon (v. 7 et 8).
Au début de son règne, Salomon prend la bonne attitude de cœur. Il réalise qu’il ne peut pas régner sur le peuple de Dieu, sans son aide. Le jeune roi mesure la grande responsabilité que Dieu lui confie. Salomon n’agit pas comme un « conducteur » du peuple, mais il se voit au milieu de lui. Devant Dieu, il ne s’estime pas meilleur qu’eux. Puisque Salomon se tient devant Dieu avec un cœur humble, Dieu peut le combler de grâce (1 Pier. 5. 5).
Nous avons un exemple parfait d’humilité dans la personne de notre Seigneur Jésus. Il a expliqué à ses disciples ce qu’est la vraie grandeur : c’est être le serviteur et l’esclave de ses amis (Marc 10. 43 à 45). Dans l’épître aux Philippiens, nous voyons ce qu’est la vraie grandeur de notre Seigneur : Lui, qui est Dieu, s’est anéanti, est devenu homme et s’est abaissé lui-même (2. 5 à 8). Cette attitude du Seigneur ne nous pousse-t-elle pas à la louange et à l’adoration ? En même temps, notre désir s’éveille, pour que nous devenions davantage semblables à Lui.
Toute tâche pour Dieu ne peut être accomplie qu’avec Sa force (1 Cor. 15. 10). C’est ce que nous oublions parfois. Dans mon cœur, l’orgueil se manifeste rapidement, ou malheureusement aussi la jalousie. Lorsque nous pensons être « quelque chose », nous nous séduisons nous-mêmes (Gal. 6. 3). Demandons à Dieu qu’Il nous aide à avoir en tout temps le sentiment qui animait le Seigneur (Phil. 2. 3 et 4).
La demande de Salomon (v. 9).
Quelle demande aurais-tu faite si tu avais été à la place de Salomon ? Salomon a pensé à l’administration du peuple de Dieu. Celle-ci nécessitait l’aide divine. Salomon ne s’estimait pas capable de régner sur ce nombreux peuple sans l’intervention de l’aide divine. C’est pourquoi il a demandé « un cœur qui écoute », c’est-à-dire la sagesse et le discernement, pour juger le peuple et pour discerner le bien du mal (Prov. 29. 4, 14).
« Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans faire de reproches, et elle lui sera donnée » (Jac. 1. 5). As-tu déjà demandé à Dieu la sagesse et le discernement ?
– A l’école, pour bien comprendre l’enseignement et les questions lors des examens, afin de pouvoir y répondre.
– Dans ta formation ou dans ta profession, pour pouvoir prendre les bonnes décisions dans le cours de la journée.
– En faisant tes achats, pour décider ce qui est nécessaire ou pas.
– Durant tes loisirs, pour les utiliser à bon escient.
– Pour apporter l’Évangile de la bonne manière.
– Dans la maison de Dieu, pour discerner le juste chemin.
Le livre des Proverbes présente par de nombreux versets la sagesse de Dieu. La condition pour l’acquérir est la crainte de Dieu (9. 10). Le Nouveau Testament nous montre la source de tous les trésors de la sagesse et de la connaissance : ils sont cachés dans le Seigneur Jésus (Col. 2. 3).
Prions pour recevoir cette sagesse et cette connaissance de Dieu, afin que nous soyons prêts à vivre de manière à Lui plaire (Phil. 1. 9 à 11 ; Col. 1. 9 à 11). Dieu fait volontiers don de Ses richesses, si nous les Lui demandons avec droiture (Mat. 7. 7) et Il nous les accorde pour les employer à Sa gloire (Jean 14. 13).
La réponse de Dieu (v. 10 à 14).
Combien Dieu s’est réjoui de la requête de Salomon ! Voilà quelqu’un qui était humble devant Lui, qui ne voulait pas fuir sa responsabilité, mais qui a su demander l’aide divine. Quelle bénédiction pour le peuple de Dieu que d’être dirigé par quelqu’un qui ne pensait pas d’abord à lui-même, mais qui a demandé le bien de son peuple !
Dieu lui a accordé sa demande : « un cœur sage et intelligent ». Salomon n’a pas demandé une longue vie, des richesses, des biens, de l’honneur ou la mort de ses ennemis – autant de choses que Dieu lui aurait toutefois accordées. Mais si le Seigneur avait exaucé de telles demandes, Salomon aurait-il pu nous apporter aujourd’hui encore de si grandes bénédictions, telles que nous les trouvons dans le livre des Proverbes, et ceux de l’Ecclésiaste et du Cantique des cantiques, qui n’ont rien perdu de leur actualité ?
« La fin de la débonnaireté, de la crainte de l’Éternel, c’est la richesse, et la gloire, et la vie » (Prov. 22. 4). Parce que Salomon était humble et pensait d’abord à l’administration du peuple de Dieu, Dieu lui a donné plus que ce qu’il avait demandé (Matt. 6. 33 ; 1 Jean 5. 14 et 15). Mais Dieu ne donne pas de chèques en blanc : la durée de vie de Salomon n’aurait été prolongée que s’il était resté obéissant.
Il y a, malheureusement, une ombre au tableau. Salomon a été obéissant et humble dans ses jeunes années, mais il a changé sous l’influence de son grand nombre de femmes (1 Rois 11. 1 à 8), et à cause également de la multitude de chevaux importés – ce qui était contraire à la volonté de Dieu (1 Rois 10. 28). Il a abandonné les voies de Dieu et a servi toutes les idoles de ses femmes étrangères. Oui, Dieu avait dit dans sa Parole que les rois ne devaient pas avoir beaucoup de femmes, ni multiplier le nombre de chevaux d’Égypte (Deut. 17. 16 et 17). Dieu n’a donc pas prolongé les jours de Salomon – à cause de sa désobéissance.
Dieu est le même aujourd’hui qu’au temps de l’Ancien Testament (Héb. 13. 8). Des frères et sœurs qui nous ont précédés, connus ou inconnus, l’ont aussi expérimenté. La vie d’hommes et de femmes de foi, comme Abraham, Ruth, ou Hudson et Maria Taylor, nous encourage à rechercher le royaume de Dieu. Si nous défendons, dans une vie d’obéissance et d’humilité à Dieu, les intérêts de la maison de Dieu et du royaume de Dieu, Il nous viendra en aide. Cela ne signifie pas que nous aurons toujours l’approbation des frères et sœurs. Mais Dieu sera à nos côtés, Il nous conduira et nous accordera d’être en bénédiction à d’autres.
L’exemple de notre Seigneur.
En conclusion, tournons une fois de plus nos regards vers notre Seigneur. Il était prêt à accomplir la grande tâche que Dieu Lui avait confiée, en venant sur la terre, pour délivrer les hommes de la mort éternelle. Il a dit « oui » tout en sachant parfaitement tout ce qui l’attendait. Et Il a tout enduré jusqu’à la fin.
Suis-je disposé à soumettre d’abord et entièrement mes désirs et mes intérêts à Dieu ?
Suis-je prêt à assumer de tout cœur et fidèlement, la responsabilité de toute tâche – petite ou grande – que Dieu veut me confier ? Suis-je prêt à demander de l’aide à Dieu ou est-ce que j’essaie d’abord d’accomplir la tâche, avec mes « propres forces » ?
Sois prêt, si Dieu t’appelle à une nouvelle tâche. Il veut t’assister. Va, fais confiance à Dieu et demande-Lui qu’Il t’accorde sa sagesse.
D’après Arnfried Lang – traduit de « Folge mir nach »
Comme vous le savez tous, la date approche d’une fête bien particulière. Tous les ans, il y a une grande célébration en Son honneur, et je pense que cette année encore cette célébration aura lieu. Pendant cette période, tout le monde fait du shopping, achète des cadeaux, la radio et les magasins font beaucoup de publicité, et tout cela augmente au fur et à mesure que la date de cet anniversaire approche. C’est bien de savoir qu’au moins une fois par an, certaines personnes pensent à Lui. Pourtant on remarque que si, au début, les gens paraissaient comprendre et semblaient reconnaissants de tout ce qui avait été fait pour eux, plus le temps passe, et moins ils semblent se rappeler la raison de cette célébration. Les familles et les amis se rassemblent pour s’amuser, mais ils connaissent de moins en moins le sens de cette fête. On se souvient que l’année dernière il y avait un grand banquet en cet honneur. La table de salle à manger était remplie de mets délicieux, de gâteaux, de fruits et de chocolats. La décoration était superbe et il y avait beaucoup de magnifiques cadeaux emballés de manière très spéciale. Mais vous savez quoi ? Celui qu’on prétendait fêter n’avait pas été invité… C’était théoriquement l’Invité d’honneur, mais personne ne s’était souvenu de Lui et ils ne L’ont pas invité. La fête était en Son honneur, mais quand ce grand jour est arrivé, on L’a laissé dehors, et ils Lui ont même fermé la porte… et pourtant Il aurait voulu être avec eux et partager leur joie. En fait, Il n’en était pas surpris, car depuis quelques années, toutes les portes se refermaient devant Lui. Comme Il n’était pas invité, Il décida de se joindre à la fête sans faire de bruit, sans se faire remarquer. Il resta dans un coin, à observer. Tout le monde buvait, certains étaient ivres, ils faisaient des farces, riaient à propos de tout. Ils passaient un bon moment. Pour couronner le tout, un gros bonhomme à la barbe blanche est arrivé, vêtu d’une longue robe rouge, et il riait sans arrêt : « Ho ho ho ! » Il s’est assis sur le canapé et tous les enfants ont couru autour de lui, criant : « Père Noël ! Père Noël ! », comme si la fête était en son honneur ! A minuit, tout le monde a commencé à s’embrasser ; L’Hôte a ouvert les bras et a attendu que quelqu’un vienne vers Lui , mais personne n’est venu . Puis ils se sont tous mis à s’échanger des cadeaux. Ils les ont ouvert un par un, avec une grande excitation. Quand tout a été déballé, l’Hôte a vu qu’on L’avait oublié… Et c’est pire tous les ans. Les gens se rappellent seulement ce qu’ils ont bu et mangé, les cadeaux qu’ils ont reçus, et plus personne ne pense à l’Hôte, qui souhaiterait tellement que vous Le laissiez rentrer dans votre vie. Il aurait souhaité que vous vous rappeliez que, il y a plus de 2000 ans de cela, Il est venu au monde dans le but de donner Sa vie pour vous, et de vous sauver de la mort éternelle. Aujourd’hui encore, Il souhaite seulement que vous croyiez à cela de tout votre cœur, pour que vous ne soyez pas éternellement perdus.
Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné Son Fils unique, afin que quiconque croit en Lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3. 16).
Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos… Je suis débonnaire et humble de cœur ; et vous trouverez le repos de vos âmes (Mat. 11. 28 et 29).
Vous êtes nombreux à aimer chercher les versets dans la Bible. Cela fait plaisir !
Cette recherche a pour but d’encourager la lecture de la Parole de Dieu afin de mieux la connaître. Ces versets sont tirés de la version Darby. Tu ne dois pas te servir d’un ordinateur pour les rechercher…
CHANTER
1-Ils chantent un cantique nouveau devant le trône…..Apoc.
2-Je chanterai à mon bien-aimé un cantique…..Esaïe
3-Le coq ne chantera point, que tu ne m’aies renié trois fois…..Jean
4-Alors Israël chanta ce cantique : Monte, puits ! Chantez-lui…..Nomb.
5-Le juste chantera et se réjouira…..Prov.
6-Elle chantera comme dans les jours de sa jeunesse…..Osée
7-Chantez à l’Éternel, car il s’est hautement élevé…..Exode
8-Chantez l’Éternel, car il a fait des choses magnifiques…..Esaïe
9-Et ayant chanté une hymne, ils sortirent…..Mat.
10-Chantez à l’Éternel, louez l’Éternel ! Car il a délivré l’âme du pauvre…..Jér.
11-A l’instant, comme il parlait encore, le coq chanta…..Luc
12-Vous…qui chantez au son du luth, et inventez … des instruments pour le chant…..Amos
13-J’entends une voix de gens qui chantent…..Exode
14-Nous chanterons de joie, et nous nous réjouirons tous nos jours…..Ps.
15-Chantant de vos cœurs à Dieu dans un esprit de grâce…..Col.
16-Je chanterai à l’Éternel, parce qu’il m’a fait du bien…..Ps.
17-Quelqu’un est-il joyeux, qu’il chante des cantiques…..Jacques
18-Paul et Silas, en priant, chantaient les louanges de Dieu…..Actes
19-Les femmes sortirent – avec joie, en chantant…..1 Sam.
20-Je faisais chanter de joie le cœur de la veuve…..Job
21-Il y aura la voix des oiseaux qui chantent aux fenêtres…..Soph.
22-Ils chantent…le cantique de l’Agneau…..Apoc.
23-La harpe a cessé, ils ne boivent pas le vin en chantant…..Esaïe
24-Débora chanta, en ce jour-là, avec Barak…..Juges
25-En ce jour-là sera chanté ce cantique dans le pays de Juda…..Esaïe
26-Chantez à l’Éternel, bénissez son nom, annoncez…son salut…..Ps.
27-Chantant et psalmodiant de votre cœur au Seigneur…..Eph.
28-Les étoiles du matin chantaient ensemble…..Job
29-Mes serviteurs chanteront de joie à cause du bonheur de leur cœur…..Esaïe
30-Au milieu de l’assemblée, je chanterai tes louanges…..Héb.
Connaissez-vous la Banque sûre Que garantit sa signature ? A l’abri de toute faillite Car sa réserve est sans limite ; J’y mets tout ce que je possède Et j’y trouve toujours de l’aide. C’est le plus sûr des placements.
J’opère mes prélèvements Sans jamais être à découvert Aucun problème de crédit. Et j’ai mon accès jour et nuit A son guichet toujours ouvert ; Mais parfois mon banquier me dit En souriant : Pourquoi vraiment Ne te voit-on pas plus souvent ? Et quand mon chèque est sous ses yeux : Pourquoi demandes-tu si peu ?
Voyez ce savant qui, l’œil fixé sur la lentille de son microscope, observe une simple goutte d’eau ou de sang et considère avec étonnement ce monde en miniature où grouille une multitude de minuscules éléments dont le profane ne soupçonne même pas l’existence. C’est le domaine merveilleux de l’infiniment petit.
Voyez maintenant cet astronome qui, au moyen de son télescope, peut fouiller l’immensité des mondes, de ces cieux qui racontent la gloire de Dieu. Grâce à son instrument et au moyen de savants calculs, il nous dira par exemple que notre soleil, qui est trois cent-vingt mille fois aussi gros que la terre, est éloigné de nous de cent-cinquante millions de kilomètres et que la lumière, qui parcourt trois cent mille kilomètres à la seconde, met environ huit minutes à parvenir du soleil jusqu’à nous. Plus étonnant encore: pour atteindre l’étoile la plus proche, un avion lancé dans l’espace à cinq cents kilomètres à l’heure devrait voler sans arrêt pendant neuf millions d’années ! Devant les découvertes de l’astronomie, nous restons confondus, écrasés par la puissance de Dieu, ravis à la pensée que c’est notre Père qui a créé toutes ces merveilles. Nous comprenons que notre terre n’est qu’un infime grain de sable dans l’immensité de la création, et nous sommes amenés à répéter avec le psalmiste : « Quand je regarde tes cieux, l’ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu as disposées : qu’est-ce que l’homme que tu te souviennes de lui ? » (Psaume 8. 3, 4). Quelle grâce insondable que ce tout-puissant Créateur se soit occupé des habitants de notre planète, ce point imperceptible de l’univers, et qu’il ait envoyé son Fils unique pour y mourir ! Connaissance trop merveilleuse pour nous, si élevée que nous n’y pouvons atteindre. Somme toute, l’homme n’est qu’un être fini, placé entre deux infinis également merveilleux: l’infiniment petit et l’infiniment grand. Et il est réel que ces deux instruments, le microscope et le télescope, lui ont permis d’approfondir ses connaissances dans ces deux domaines, de se former une idée, si imparfaite soit-elle, de ces merveilles qui le dépassent tellement.
Peut-être, chers amis chrétiens, vous êtes-vous enthousiasmés pour ces découvertes et avez-vous lu avidement des ouvrages qui s’y rapportent. Mais ne pensez-vous pas que ce qui est vrai dans le domaine scientifique l’est aussi dans le domaine spirituel et que nous pourrions avec grand profit appliquer les méthodes du microscope et du télescope à l’étude d’un autre infini qui a nom: la Parole de Dieu ? Que de fois, hélas ! Nous nous contentons d’une lecture superficielle au lieu de sonder les Écritures qui rendent témoignage de lui, et notre connaissance des merveilles du saint Livre risque de rester toujours rudimentaire. Sans doute, je ne nie pas que la Parole dans toute sa simplicité ne puisse, sous l’action du Saint Esprit, être en immense bénédiction aux âmes qui sont mises en contact avec elle, parce qu’elle est divine, vivante, opérante et pénétrante. Mais pour vous, jeunes gens chrétiens, qui pour la plupart avez le privilège de connaître les saintes lettres dès l’enfance, quelle perte irréparable vous faites en ne vous appliquant pas à l’étude lente, patiente de ce livre merveilleux, quels trésors insoupçonnés restent cachés pour vous dans ces pages inspirées ! Croyez-moi, tout homme qui se penche avec respect et dépendance sur le Livre en est richement récompensé, y fait sans cesse des découvertes, soit qu’il considère au microscope les détails les plus infimes de cette Parole, soit qu’il envisage les vastes horizons que découvre la foi, les idées fondamentales de la révélation, les conseils éternels de Dieu. Dans les grandes lignes comme dans les moindres détails, c’est l’infini, et il faut adorer.
Permettez-moi d’illustrer brièvement par quelques exemples ces deux méthodes de recherche approfondie, qui toutes deux sont susceptibles d’être pour l’âme une source de jouissance profonde. Vous êtes-vous déjà donnés la peine de rechercher patiemment combien de fois tel mot, telle expression reviennent dans certains livres de la Parole ? Tâche apparemment bien aride, bien déplaisante, que je comparerai aux patientes observations du savant penché sur son microscope, mais dont on est souvent largement récompensé; ce qu’on trouve ainsi par soi-même a bien plus de saveur que si on l’apprenait d’une autre personne. Il y a quelques années, un jeune chrétien étudiant à l’Université fut vivement frappé par la remarque du professeur (non croyant, d’ailleurs) qui, en commentant le texte grec de l’évangile de Marc, disait en souriant : « Pour Marc, il faut que tout se fasse aussitôt », et qui considérait la répétition fréquente de l’expression « et aussitôt » chez cet évangéliste comme un défaut de style. Vérification faite, l’étudiant dut se rendre à l’évidence. Il suffit de relire par exemple le premier chapitre de Marc pour la retrouver onze fois : versets 10, 12, 18, 20, 21, 28, 29, 30, 31, 42, 44. Fait plus remarquable encore : Marc l’emploie plus de quarante fois en tout, alors qu’on n’en compte que quelques exemples dans le restant du Nouveau Testament. Mais quelle en est la raison profonde ? Marc avait été un serviteur infidèle, qui n’avait pas suivi aussitôt l’appel du Maître: il s’était arrêté dans l’œuvre et Paul n’avait plus voulu de lui (Actes 15. 37, 38) ; mais plus tard, quand il fut restauré (Colossiens 4. 10 ; 2 Timothée 4. 11), le Saint Esprit choisit par grâce ce serviteur infidèle pour nous dépeindre le parfait Serviteur et il se plaît à insister sur le fait que le Seigneur agissait toujours aussitôt, en parfaite dépendance du Père.
Un autre exemple typique, c’est le nom caractéristique sous lequel Dieu se révèle dans les différents livres: ainsi c’est l’Éternel Jéhovah dans les Proverbes, parce que c’est le Dieu qui est entré en relation avec l’homme; mais dans l’Ecclésiaste, où l’homme est considéré comme n’étant pas en relation positive avec Dieu, observant uniquement ce qui se passe sous le soleil, c’est simplement Elohim, le Dieu créateur. Dans Daniel, le nom caractéristique est: le Dieu des cieux, parce qu’il a quitté son trône sur la terre, dans le temple de Jérusalem (Ézéchiel 10 et 11) et que le peuple est « Lo-Ammi » (pas mon peuple, Osée 1. 9). Dans le prophète Esaïe, on rencontre une trentaine de fois: le Saint d’Israël; pourquoi cette fréquence, tandis que ce nom ne se retrouve que dans cinq autres passages de l’Ancien Testament ? N’en trouvons-nous pas la raison dans la grande vision du chapitre 6 de son livre, qui décida de sa vocation et qui laissa une impression ineffaçable dans son esprit ? En voyant la gloire du Seigneur qui remplissait le temple, Esaïe s’écrie: « Malheur à moi ! Car je suis perdu; car moi, je suis un homme aux lèvres impures, et je demeure au milieu d’un peuple aux lèvres impures ». De plus, il prend soin de nous dire qu’il eut cette vision l’année de la mort du roi Ozias (v. 1), qui fut lépreux jusqu’au jour de sa mort (2 Chroniques 26. 21) et était par conséquent impur (Lévitique 13. 45) De sorte que le peuple était impur, le roi était impur et le prophète était impur; mais en contraste avec cette triple impureté, les séraphins crient: « Saint, saint, saint, est l’Éternel des armées ». Cette scène a tellement impressionné Esaïe qu’il n’a jamais plus oublié la sainteté de Dieu et, conduit par l’Esprit, il aime le désigner comme le Saint d’Israël.
Il serait facile de multiplier ces exemples, mais je préférerais, chers jeunes gens, vous laisser le plaisir de faire ces recherches par vous-mêmes et simplement vous suggérer l’un ou l’autre de ces sujets. Vous pourriez, en soulignant chaque fois dans votre Bible le mot en question et en faisant les renvois nécessaires, chercher dans l’évangile de Matthieu les sept versets où le Seigneur est appelé Fils de David; dans l’évangile de Luc, les sept versets où l’on voit le Seigneur en prière et les sept louanges par lesquelles la naissance du Sauveur fut célébrée; dans l’évangile de Jean, les sept miracles du Seigneur qui y sont mentionnés; ou bien les sept « bienheureux » de l’Apocalypse ; les sept occasions où le Seigneur s’est révélé à l’apôtre Paul ; les personnes qui ont été assises aux pieds du Seigneur, pour des motifs variés (il y en a au moins huit) ; ou encore une quinzaine d’exemples de personnes qui ont dit : « J’ai péché », les uns sincèrement. les autres sans profonde conviction de péché; dans le livre des Juges, vous trouveriez cinq femmes de foi, fidèles, et cinq dont l’influence fut néfaste; ou bien vous pourriez considérer les différences de détail entre les récits parallèles des Rois et des Chroniques, ou des quatre évangiles, ou vous arrêter à des versets comme Jean 3. 16 ; 2 Cor. 8. 9 et méditer sur le sens profond de chacun des mots qui les composent. J’espère de tout cœur que vous vous laisserez tenter par l’un ou l’autre sujet dans cette énumération forcément très brève.
Mais peut-être direz-vous que vous êtes davantage attirés par les grands sujets de la Parole, par le déploiement des conseils de Dieu, ou que vous aimez à faire le plan d’un livre et à voir l’enchaînement des idées principales. Eh bien, alors, prenez le télescope et, négligeant provisoirement les détails, considérez les grandes lignes des voies de Dieu envers les siens, promenez vos regards en tous sens dans ce vaste pays, découvrez ces horizons immenses, infinis, et ici encore vous serez amenés à l’adoration. Essayez, par exemple, de faire, chapitre par chapitre, le plan d’un évangile, du livre des Actes ou de l’épître aux Romains (et comme cette tâche est un peu difficile, n’hésitez pas à recourir à tant de précieux écrits que le Seigneur nous a laissés). Ou étudiez un de ces nombreux sujets qui traversent toute la Parole, tels que: le contraste entre la loi et la grâce; entre Israël et l’Église ; la personne et l’œuvre du Saint Esprit, dans l’Ancien et dans le Nouveau Testament ; les différentes époques et ce qui les caractérise; les alliances ; les titres du Seigneur Jésus, ainsi que tous les types qui le concernent dans l’Ancien Testament ; les principaux mystères; les différentes couronnes ; les différents jugements ; les deux résurrections, avec les étapes de la première ; la venue du Seigneur et son apparition; les types du tabernacle ; les formes de l’évangile (du royaume, de la grâce, de Paul, éternel) ; la notion du résidu ; les deux natures du croyant ; la prophétie ; le sabbat et le dimanche ; l’histoire de l’arche ; privilèges et responsabilité ; corruption et violence allant de pair (les exemples sont nombreux) ; les montagnes, les vallées, les jardins de la Parole ; le fleuve de Dieu ; le figuier, l’olivier et la vigne.
Je m’arrête, chers amis. Il y a dans tout ceci beaucoup de sujets à méditation pour nos âmes. Vous ne regretterez jamais le temps consacré à essayer de sonder ce livre précieux, si vous le faites humblement, avec prière et dépendance ; vous serez convaincus qu’il est infini, dans ses détails comme dans ses grandes lignes. Vous avez pour vous la jeunesse, la santé, la mémoire et des loisirs ; profitez de ces avantages passagers et souvenez-vous de votre Sauveur dans les jours de votre jeunesse, avant que viennent les jours mauvais dans lesquels vous direz : Je n’y prends pas plaisir.
Mais surtout ne cherchez pas la connaissance pour elle-même ; il faut que les affections du cœur soient vivement engagées. La connaissance enfle; mais la connaissance du Seigneur nous montre notre néant, nous amène humblement à ses pieds et nous sépare du monde en nous donnant un objet d’un prix infini.
Un nouveau chant : Je louerai l’Éternel et une nouvelle histoire : Dieu répond !
Tiré de CD Vieilles histoires jeunes oreilles. B. Durst
Éditeur : Bibles et Publications Chrétiennes (http://www.labonnesemence.com) et
Éditions Bibles et Littérature Chrétienne (http://www.eblc.ch).