TRADUCTION DE FEUILLETS (109)

« Si vous ne croyez pas que c’est moi, vous mourrez dans vos péchés » Jean 8. 24.

VOTRE DETTE EST-ELLE REMBOURSÉE ?

Le Fils de Dieu est venu sur la terre comme un homme il y a plus de 2000 ans pour résoudre le problème de notre culpabilité devant Dieu. Sur la croix, Jésus-Christ a payé, au prix de sa vie afin que tous ceux qui croient de leur cœur en Lui soient acquittés du châtiment divin.

Malheureusement, tous les humains ne sont pas prêts à croire au Seigneur Jésus. Certains pensent que leur culpabilité devant Dieu n’est pas si grande qu’ils aient besoin d’un Sauveur. D’autres croient qu’ils peuvent réparer leurs torts par des œuvres de charité. Mais tous ceux qui rejettent Jésus-Christ comme leur Sauveur restent coupables devant Dieu.

Lorsqu’ils meurent, ils emportent leurs péchés avec eux dans l’au-delà. Cela a des conséquences tragiques. Dieu les tiendra responsables de leur vie. Alors, chaque tort qu’ils ont commis sera révélé au grand jour. Quelle montagne de dettes s’élèvera !

Mais ce qui est encore pire, c’est qu’ils se tiendront alors devant le Dieu saint, sans aucun espoir d’un Sauveur. Personne ne paiera pour eux, puisque durant leur vie sur la terre ils ont rejeté le seul qui aurait pu payer leur dette. Dieu les condamnera au châtiment éternel en enfer.

Mais il n’est pas nécessaire d’en arriver là. Aujourd’hui encore, Dieu offre sa grâce à tous les hommes. Il pardonne tous ceux qui viennent à Jésus-Christ avec leurs péchés et L’acceptent avec foi comme leur Sauveur personnel.

D’après Näher zu Dir avril 2025

« Nous rendons grâces à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, priant toujours pour vous, après avoir entendu parler de votre foi dans le Christ Jésus et de l’amour que vous avez pour tous les saints » Colossiens 1. 3 et 4.

LES CARACTÈRES D’UNE PRIÈRE SELON LA VOLONTÉ DE DIEU

Il y a beaucoup d’enseignements, dans ces versets, sur la manière de prier de Paul et de Timothée – que nous ferions bien de peser et d’appliquer dans notre vie.

Ils priaient d’un cœur reconnaissant, parce que, par le Saint Esprit, ils étaient capables de discerner ce qui se passait autour d’eux. Ils regardaient derrière la scène et voyaient la main de Dieu là où l’incrédule ne percevait que les circonstances de la vie.

Ils jouissaient de leur relation avec Dieu. Le tableau entier du Calvaire et de la résurrection est devant nos yeux, car c’était notre Seigneur ressuscité qui a dit « Je monte vers mon Père et votre Père, et vers mon Dieu et votre Dieu » (Jean 20. 17).

La prière était pour eux une habitude. Ils étaient caractérisés par une prière continuelle. Ils ne pouvaient pas s’en passer.

Leurs prières étaient aussi pleines d’intercession. Ils ne priaient pas seulement pour eux-mêmes, en apportant leurs besoins et leurs difficultés devant Dieu, mais les joies et les besoins de leurs frères dans la foi concernaient une partie de leurs prières.

Et de plus, ils s’intéressaient aux progrès de l’évangile. Ils avaient entendu parler des chrétiens de Colosse, de leur foi en Jésus Christ, et de leur amour pour tous les saints. Et alors ils commencèrent à prier, et leurs prières étaient précises.

Quelles leçons il y a pour nous dans ces versets – si seulement nous les lisons soigneusement et méditons sur leur signification.

D’après the Lord is near juin 1987

« Si quelqu’un n’est pas né d’eau et de l’Esprit, il ne peut pas entrer dans le royaume de Dieu » Jean 3. 5.

RENAISSANCE

Dans le verset d’aujourd’hui, le Seigneur Jésus parle de la nouvelle naissance. C’est une œuvre de Dieu dans une personne qui se repent et croit au Fils de Dieu. Les deux mots « eau » et « esprit » désignent l’instrument et la personne impliquée.

L’eau est souvent une image de la Parole de Dieu dans la Bible. Le Saint-Esprit utilise la Parole de Dieu pour l’appliquer personnellement à une personne. Cela la place dans la lumière de Dieu et lui apprend comment Dieu pense à tout. Maintenant, elle reconnaît sa culpabilité devant Dieu et sa perte. Il s’agit sans aucun doute d’un processus sérieux et douloureux. Cependant, lorsqu’il est accompagné d’une humble perspicacité et d’une foi authentique, il mène à la vie. Dieu utilise sa parole comme un instrument pour créer une nouvelle naissance chez une personne qui l’accepte avec foi.

L’Esprit de Dieu donne au croyant une vie nouvelle qui vient de Lui-même et qui Lui correspond. Jean 3. 6 le dit clairement : « Ce qui est né de la chair est chair ; et ce qui est né de l’Esprit est esprit ». La « chair » fait référence à la nature pécheresse que l’homme a reçue de ses parents par la naissance naturelle. Elle ne peut pas être améliorée ou raffinée. C’est pourquoi quiconque croit au Seigneur Jésus reçoit une nouvelle nature. Cette nouvelle vie est parfaite et bonne parce qu’elle est réalisée par le Saint-Esprit. Quel cadeau !

D’après Näher zu Dir avril 2025

« De sa plénitude en effet, nous tous nous avons reçu et grâce sur grâce » Jean 1. 16.

PLUS À VENIR !

Un homme riche avait stipulé qu’après sa mort, une certaine somme devrait être transférée à un ami qui vivait dans des conditions modestes. Lorsque sa veuve a mis en œuvre cet ordre, elle a pensé qu’il serait préférable d’envoyer l’argent à l’ami de son mari en versements réguliers. Il recevait donc chaque mois une somme avec le commentaire : « Plus à venir ! »

C’est ainsi que le Seigneur Jésus agit avec nous qui croyons en Lui. Il nous donne sa grâce chaque jour afin que nous puissions Le suivre et vivre pour Lui. Ce qu’Il nous donne est entièrement suffisant pour la situation actuelle. En même temps, nous savons qu’il y a encore beaucoup à venir ! De son abondance, Il peut nous accorder ce dont nous avons besoin demain et après-demain.

Sa capacité à répondre à nos besoins spirituels et matériels est illimitée. Nous n’avons pas à craindre que la source de sa grâce se tarisse un jour. Dans la Parole de Dieu, nous trouvons de merveilleuses promesses :

« Ses compassions ne cessent pas ; elles sont nouvelles chaque matin » (Lam. 3. 22 et 23).

.« L’Éternel est bon ; sa bonté demeure à toujours, et sa fidélité de génération en génération » (Ps. 100. 5).

Le Seigneur ne nous donne rien d’avance, mais exactement ce dont nous avons besoin. Nous restons donc dépendants de Lui. Nous pouvons Lui demander sa grâce chaque jour dans l’assurance qu’il y en aura encore pour nous demain.

D’après Näher zu Dir avril 2025

« Mais, maintenant, Christ a été ressuscité d’entre les morts, prémices de ceux qui sont endormis » 1 Corinthiens 15. 20.

LE PREMIER

Nous sommes profondément reconnaissants au Seigneur Jésus de ce qu’Il est mort sur la croix pour nos péchés. Il a ainsi posé les bases de notre salut éternel. Trois jours plus tard, Il est ressuscité des morts. Tandis qu’il n’en était pas ainsi des autres personnes mortes, Lui fut ressuscité pour ne plus jamais mourir.

Christ est les « prémices de ceux qui se sont endormis ». Ce titre a une signification particulière. Le Seigneur Jésus est le premier être humain à être ressuscité d’entre les morts pour vivre éternellement. Mais d’autres le suivront et connaîtront la même résurrection que Lui. Ce sont les rachetés qui sont unis à Lui par la foi.

Lorsque le Seigneur Jésus viendra, lors de l’enlèvement, Il ressuscitera d’entre les morts tous les croyants endormis. Tandis que ceux qui sont morts sans être réconciliés avec Dieu resteront dans la tombe, tous les rachetés ressusciteront à la vie éternelle.

Il y a une belle image de cela dans l’Ancien Testament. Au début de la moisson des céréales, les Israélites apportaient la première gerbe au sacrificateur (Lév. 23. 10). Cela parle de Christ, qui fut le premier à ressusciter d’entre les morts. Par la suite, la moisson a continué sur le terrain et de nombreuses autres gerbes du même genre ont été collectées. Celles-ci parlent des croyants qui seront ressuscités d’entre les morts lors de l’enlèvement.

D’après Näher zu Dir avril 2025

« Le cœur joyeux fait du bien à la santé, mais un esprit abattu dessèche les os » Proverbes 17. 22.

L’AMOUR DE DIEU, CONNU ET APPRÉCIÉ, FONDEMENT DE LA JOIE POUR LE CROYANT

Toutes les fois que je lis ce verset, je pense à un frère, en particulier, dont la vie débordait de la joie du Seigneur. Maintenant qu’il est avec Celui qu’il aimait et qu’il servait, sa vie parle encore. Toute ma famille se souvient encore de l’ambiance de ce foyer où nous étions quelquefois. Et nous nous rappelons en particulier son cœur heureux plein d’une joie contagieuse.

Qu’est-ce qui produit un tel cœur heureux ? Pourquoi la vie de certains croyants déborde-t-elle de la joie du Seigneur, alors que d’autres résonnent du bruit d’os secs d’un esprit abattu ? Qu’est-ce qui produira, dans notre vie, ce caractère et cette fête continuelle qui apporte de la gloire à Dieu et de la bénédiction à ceux qui nous entourent ?

Est-ce simplement une question de bonne disposition, un sens aigu de l’humour, une attitude optimiste ? Je ne le pense pas. De telles choses sont des caractères humains, et peuvent être observés chez des incrédules aussi bien que chez des croyants. De plus, les croyants d’un caractère mélancolique seraient privés du remède d’un cœur joyeux si ce n’était qu’une question de tempérament. Il y a aussi de graves épreuves sur le sentier du chrétien, qui peuvent dessécher rapidement même le cœur le plus rayonnant.

Non, le cœur joyeux résulte plutôt du fait de se tenir proche de la seule source de vraie joie : Dieu Lui-même. Souvenez-vous de la réception du père quand il accueillit le fils prodigue de retour à la maison : les baisers pleins de compassion, la plus belle robe, l’anneau à sa main, les sandales à ses pieds, et le veau gras. Puis le père a dit : « Mangeons, et réjouissons-nous ». Et ils commencèrent à se réjouir et il n’est pas dit qu’ils aient jamais arrêté de le faire ! C’est ce qu’expérimentent les fils prodigues qui se tiennent près du Père et mangent à sa table. Êtes-vous un de ceux-là ?

D’après the Lord is near juin 1987

« Moi, je suis le chemin, et la vérité et la vie » Jean 14. 6.

LA VÉRITÉ RÉVÉLÉE EN CHRIST

Christ est la vérité : la vérité, comme la grâce, vinrent par Jésus Christ. Mesurées par rapport à Christ, toutes autres choses révèlent leur caractère véritable. La vérité quant à Dieu, son caractère, ses attributs, son amour saint, se trouvent en Lui, et brillent en Lui qui est la Vérité. La vérité triste et honteuse au sujet de l’homme tombé, de son péché, et de l’horreur que Dieu en a, cette vérité a été bien mise en évidence lorsque Christ est venu vers les hommes. La vérité merveilleuse, qu’il y a un autre Homme, un Homme qui plaît à Dieu, saint, fidèle, d’une piété sans faille, est vue parfaitement en Lui.

Mais toute l’ampleur de la vérité manifestée en Christ ne peut pas être exposée dans toute son étendue. Les vastes éléments de la création – le bien et le mal, le temps, l’histoire, la rédemption, la grâce souveraine, les effets du propos éternel, l’Église et sa destinée : comment la disposition de toutes choses est rendue visible, prend cohérence, nous devient réel (quoique nous n’en appréciions que peu), à mesure que nous voyons que l’Écriture nous la présente. Lui est la clé de toute vérité, Celui qui assure la vérité sur tout l’enseignement biblique. Certainement, c’est une vérité vivante, centrée sur une Personne. Et nous vivrons aussi dans la vérité si nous sommes guidés par l’Esprit de vérité, dont la mission est d’attirer notre attention sur Lui.

D’après the Lord is near juin 1987

« Et Moïse acheva l’œuvre. Alors la nuée couvrit la tente de rassemblement, et la gloire de l’Éternel remplit le tabernacle » Exode 40. 33 et 34.

LA NUÉE SUR LE TABERNACLE

Quel moment extraordinaire cela a dû être de voir le tabernacle dressé, et L’Éternel en prendre possession. De toute éternité Dieu avait eu le désir de demeurer avec les hommes. Quand Israël a été racheté de l’esclavage, et conduit dans le désert pour servir Dieu, l’Éternel leur a fait connaître son désir : « J’habiterai au milieu d’eux » (Ex. 25. 8). Maintenant, sous la direction de Moïse, la tente d’assignation avait été terminée, et l’Éternel vint habiter au milieu de son peuple. La nuée remplit le tabernacle.

Quand nous lisons soigneusement ce chapitre, nous voyons que la nuée correspondait à deux aspects de la présence de Dieu. Elle parlait de sa gloire, mais sa gloire est encore largement voilée. La gloire de Dieu a été vue de manière bien plus pleine et merveilleuse quand « la Parole devint chair et habita au milieu de nous » (Jean 1. 14). Alors les hommes ont pu contempler sa gloire. Comme elle brille clairement quand nous regardons l’œuvre du Seigneur Jésus !

La nuée montrait aussi que la présence de Dieu guide son peuple. Quand la nuée se levait, le peuple devait se mettre en route. Aujourd’hui nous avons la présence de l’Esprit de Dieu avec nous, à la fois dans l’assemblée et dans le croyant individuellement. C’est un point fondamental du christianisme. L’œuvre de Christ est terminée. Il est maintenant au ciel comme un homme, et par la foi nous pouvons Le voir là-haut. En même temps nous jouissons de la présence de Dieu par le Saint Esprit dans la compagnie de croyants sur la terre. Qu’il est triste que ces précieuses vérités soient tellement négligées, et qu’on n’agisse pas selon elles.

Prions pour que, aujourd’hui, nous puissions voir un peu de cette gloire du Seigneur Jésus, et en même temps, faire l’expérience de la direction du Saint Esprit nous guidant à travers le désert.

D’après the Lord is near juin 1987

« En ce temps-là, Jésus, répondant dit : Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre, parce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et que tu les as révélées aux petits enfants » Matthieu 11. 25.

SE SOUMETTRE À LA VOLONTÉ DE DIEU SANS DISCUTER

Si le Seigneur nous exhorte à rendre grâces en toutes choses, Il ne nous demande pas quelque chose qu’Il n’ait pas fait. Nous ne devrions jamais oublier qu’Il a parcouru cette scène en étant fatigué et éprouvé à tous égards comme nous le sommes.

Voyez-Le en Matthieu 11. 16 à 30, éprouvé par cette génération inconstante, qui ne se repentait encore pas, après toutes les œuvres d’amour et les grands miracles de puissance du Seigneur. Ces circonstances étaient pourtant propres à déprimer une personne quelconque ; il semblait que toutes ses œuvres avaient été faites en vain. Mais comment réagissait-Il à tout cela ? Il louait et remerciait selon le verset ci-dessus. Et quand nous voyons la même occasion rappelée en Luc 10. 21, nous voyons que « Jésus se réjouit en esprit ».

Remarquez qu’il est dit : « Jésus prit la parole et dit : Je te loue, ô Père ». À quoi répondait-Il ? Ah ! ici comme toujours Il voyait la main de son Père dans ces circonstances pénibles, et Il semblait entendre la voix de son Père disant : Cela est de par moi – et Il Lui répond du milieu de l’épreuve : « Je te loue, ô Père, Seigneur du ciel et de la terre » parce que c’est ce qui a été bon à tes yeux. Il reconnaît que son Père est Seigneur du ciel et de la terre, qu’Il a le pouvoir sur toutes choses et, avec actions de grâce, Il se courbe devant son ordre divin de ces circonstances douloureuses.

Que votre volonté soit soumise à votre Père, et vous trouverez vous aussi un grand réconfort malgré la pression de toutes les circonstances déprimantes. Vous recevrez une force renouvelée dans votre âme, et la joie dans l’Esprit chaque fois que vous répondrez à Dieu : Je te loue, ô Père. Quel encouragement de savoir que, quelque difficiles que puissent être les circonstances, le Seigneur ne se trompe pas en les ordonnant de manière divine.

D’après the Lord is near juin 1987

« Alors j’ai dit : Voici je viens ; il est écrit de moi dans le rouleau du livre. C’est mes délices, ô mon Dieu, de faire ce qui est ton bon plaisir, et ta loi est au-dedans de mes entrailles » Psaume 40. 8 et 9.

LE FILS DE DIEU, PARFAITEMENT DÉPENDANT DE SON PÈRE

Ce Psaume a été appelé avec raison le Psaume de l’holocauste. Quand toutes les offrandes, tous les sacrifices, à travers l’Ancien Testament, eurent complètement échoué à plaire au cœur de Dieu, que ces paroles de calme décision, venant de la bouche du bienheureux Fils du Père, sont douces et rafraîchissantes ! Quand nul autre ne pouvait accomplir le bon plaisir de Dieu, il y en avait Un qui pouvait parler de cette manière merveilleuse, sans qu’il soit possible que ces paroles perdent en rien leur valeur. Il est venu dans sa grâce sans pareille pour accomplir parfaitement tout ce qui avait été écrit de Lui dans l’Écriture.

Non seulement Il ferait le bon plaisir de Dieu : mais c’était pour Lui un pur délice de le faire. Quelle affirmation, alors qu’Il était pleinement conscient que cela impliquerait beaucoup plus qu’un service dévoué et parfait envers Dieu dans un monde hostile – beaucoup plus qu’une bonté constante envers les hommes – qui ne Lui rendirent que le mal pour sa bonté. Car Il était venu pour s’offrir Lui-même en sacrifice volontaire en faveur de ses ennemis – mais plus encore, pour la gloire éternelle de Dieu. Les souffrances et l’agonie de cette grande offrande sont infiniment au-delà de notre capacité à les discerner et à les apprécier dans notre esprit.

Il ne pouvait certainement pas trouver son plaisir dans les souffrances d’une telle mort ; mais Il acceptait d’y entrer parce qu’Il trouvait ses délices, par dessus tout, à faire la volonté de son Père. C’est le caractère précieux de l’holocauste qui, comme on le voit en Lévitique 1, était entièrement brûlé, tout montant vers Dieu dans le feu. Si nous voyons ici ses délices de faire la volonté de son Père, nous devons voir aussi les délices de son Père dans la valeur de ce sacrifice précieux, incomparable. « A cause de ceci le Père m’aime, c’est que moi je laisse ma vie » (Jean 10. 1).

D’après the Lord is near juin 1987 (L.M. Grant)