
PRÉFACE
Nous avons le plaisir de publier cette année un index de la Bonne Nouvelle qui paraît, par la grâce du Seigneur, depuis 1861. Il couvre ainsi les années de 1861 à 2010, soit 150 ans !
Ce petit index comprend :
- Les études sur la Parole de Dieu.
- Les poésies.
- Les sujets divers.
Bien des générations ont eu et ont toujours plaisir à lire les histoires de la Bonne Nouvelle, à répondre aux questions… à recevoir les récompenses ! (En effet qui n’a pas guetté l’arrivée du facteur pour avoir la joie de découvrir son cadeau préparé par des mains dévouées et des frères et sœurs pleins d’affection ?)
Pour ceux qui aiment les énigmes, les versets cachés… : ne manquez pas d’essayer de vous procurer les années concernées ! Dans une ou plusieurs assemblées, on peut reconstituer ce petit trésor qui a paru pendant un siècle et demi !
Ceux qui répondaient aux questions de la Bonne Nouvelle pourront retrouver leur nom et ceux des personnes de leur âge ! Ils pourront retrouver leurs histoires favorites.
Que le Seigneur bénisse la lecture de ces pages pour chacun (e), car on lit la Bonne Nouvelle à tout âge ! Qu’il nous accorde, dans la mesure du possible, de profiter de ce ministère si riche et si béni !
Le Seigneur s’est servi de serviteurs et servantes pour l’édification des jeunes générations qui se sont succédées au fil des temps. Ce travail a été richement béni et beaucoup d’enfants ont pu profiter de maints articles qui leur ont donné le goût de lire et de sonder ce trésor infini de la Parole de Dieu, une Parole qui nous parle avant tout de notre Bien-Aimé !
L’intérêt majeur des études bibliques de la Bonne Nouvelle réside en leur simplicité ; d’où une clarté qui rend ces articles agréables et intéressants à lire, même pour ceux qui ont avancé un peu dans leur vie avec le Seigneur.
Nous avons trouvé utile de transcrire textuellement le premier article paru dans la Bonne Nouvelle en 1861 et un article paru en 1877 qui s’intitule « Que dois-je lire ? »
Question bien sérieuse qui fait appel à notre responsabilité et à notre amour pour le Seigneur. Chacun de nous doit se poser la question et se placer dans la lumière de Dieu.
En conclusion, nous souhaitons de tout cœur que ce petit fascicule permette une meilleure exploitation des articles trop méconnus renfermés dans la Bonne Nouvelle.
À NOS JEUNES LECTEURS
Nous pensons qu’il peut être édifiant de reproduire textuellement le premier article paru dans la Bonne Nouvelle en janvier 1861 !
Mes chers enfants,
Celui qui écrit ces lignes aime beaucoup les enfants et il est heureux de pouvoir dire qu’il a bien des amis parmi eux. Il désire de tout son cœur le bonheur, non pas seulement de ceux qu’il connaît, mais de tous les enfants et naturellement surtout de ceux qu’il comptera désormais au nombre des lecteurs de ce petit journal. Même sans nous connaître, des relations d’amitié vont se former entre nous : chaque mois, s’il plaît à Dieu, je vous écrirai quelques pages qui vous parviendront imprimées sous la forme de cette brochure que vous tenez entre vos mains, que vous avez sous les yeux et que vous lisez. Mon désir ardent est qu’elle puisse vous intéresser et surtout vous amener à Jésus, si vous n’avez pas encore le bonheur de connaître ce meilleur de tous les amis, qui avait une affection particulière pour les enfants, qui aimait à les prendre dans ses bras et à les bénir ; à ce Jésus qui, par amour pour nous, pour vous aussi, quoiqu’il fût Dieu éternellement béni, est devenu un petit enfant, un enfant comme vous, à part le péché qu’il n’a jamais connu, et a été ainsi le modèle des enfants, comme il est leur Sauveur.
Nous appelons ce recueil : « La Bonne Nouvelle » ; c’est que, en effet, nous aurons beaucoup de bonnes nouvelles à vous faire entendre ou à vous rappeler. Des nouvelles du ciel, des nouvelles sur Dieu qui y habite, des nouvelles sur le chemin qui y conduit et sur le peuple saint et heureux qui doit y habiter éternellement. Grandes nouvelles, merveilleuses nouvelles, heureuses et vraiment bonnes nouvelles ! Si vous les croyez, chers enfants, elles devront nécessairement vous réjouir d’une joie ineffable et glorieuse.
Nous vous parlerons de la naissance de Jésus, de l’enfance de Jésus, de sa vie entière ici-bas, de la mort de Jésus, ainsi que de sa résurrection d’entre les morts. Oui, nous prendrons un plaisir tout particulier à vous entretenir du Seigneur Jésus, qui ne fit jamais une action mauvaise, ne prononça jamais une mauvaise parole, n’eut jamais dans le cœur une mauvaise pensée ; de Jésus qui allait de lieu en lieu faisant du bien, qui guérissait les malades, rassasiait ceux qui avaient faim, faisait marcher les boiteux, entendre les sourds, et voir les aveugles. Oui, nous aurons à vous redire comment il mourut sur la croix – lui juste à la place des pécheurs – afin que vous pussiez être sauvés ; comment il a porté nos péchés en son corps sur le bois ; comment vos mauvaises paroles, vos méchantes actions et pensées peuvent toutes être pardonnées : comment le péché peut être non seulement pardonné mais surmonté ; comment ce terrible ennemi, la Mort, a été vaincu. Nous vous parlerons de grands hommes et d’hommes pieux ; de petits enfants et de personnes âgées ; de bons et, hélas ! de méchants aussi. Nous vous raconterons comment ce monde a été fait, et comment il doit être un jour consumé par le feu. Nous espérons vous dire de petites histoires, vous prêcher de petits sermons que vous pourrez comprendre, vous écrire de petites lettres, vous donner d’utiles conseils, et vous offrir de petits cantiques ou d’autres poésies. Aimerez-vous à lire notre petit livre ? Voulez-vous essayer d’en profiter ? Si vous ne connaissez pas encore Jésus, désirez-vous le connaître ? Et si vous le connaissez, ne voulez-vous pas prier Dieu de bénir votre lecture de ces pages ?
Mais c’est assez, je ne veux pas vous ennuyer en vous en disant davantage aujourd’hui. Chers enfants, que Dieu vous bénisse tous ! Que la paix soit avec tous ceux d’entre vous qui aiment notre Seigneur Jésus-Christ. Et que dirons-nous à ceux qui ne l’aiment pas encore ? Seulement ceci – pour le moment : Vous ne connaissez pas Jésus – non, certainement, car autrement vous ne pourriez pas ne pas l’aimer. Oh ! que Dieu veuille que vous prêtiez une oreille attentive aux bonnes nouvelles que nous vous dirons de Lui. Adieu. Au mois prochain, si le Seigneur le veut.
Votre bon ami
Charles (Il s’agit de Charles François RECORDON).
« QUE DOIS-JE LIRE ? »
Article paru dans la Bonne Nouvelle de l’année 1877
Chers jeunes amis, c’est particulièrement à ceux d’entre vous qui êtes chrétiens que nous nous adressons maintenant. La question qui se trouve en tête de ces lignes est de toute importance, et mérite d’être prise par chacun de nous en sérieuse considération. « Dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es » ; tel est le dicton populaire. On pourrait dire avec la même vérité : « Montre-moi ta bibliothèque et je te dirais où tu en es ». Nos lectures peuvent généralement être prises comme un sûr indicateur de notre condition morale, intellectuelle et spirituelle. Nos livres sont les aliments dont notre homme intérieur se nourrit ; il est donc nécessaire que chacun de nous se demande : « Que dois-je lire ? ». Ce sujet, chers lecteurs, nous a beaucoup préoccupé ces derniers temps, et nous nous sentons pressé, par fidélité envers le Seigneur et envers vos âmes, de vous adresser quelques conseils sur ce point que nous envisageons comme étant de la plus haute importance pour chaque chrétien.
C’est avec une profonde tristesse que nous constatons autour de nous, et beaucoup, hélas ! parmi les jeunes chrétiens, un dégoût croissant pour des lectures solides et profitables. Avec quelle avidité ne dévore-t-on pas les romans religieux, les histoires émouvantes ou tragiques, les feuilletons, enfin toute espèce de littérature malsaine, empoisonnée, tandis que des brochures et des volumes, qui contiennent de précieuses et puissantes vérités, sont négligés, sur les rayons de la bibliothèque ? Ces faits ne sont-ils pas des plus alarmants ? Ne montrent-ils pas que le niveau spirituel est bien bas chez la plupart des chrétiens ? On ne conçoit pas comment une âme, qui possède la moindre étincelle de vie divine, peut trouver du plaisir à lire des choses mauvaises, nuisibles et positivement contraire, par conséquent, au développement de cette vie. L’apôtre inspiré exhorte les saints à désirer ardemment, comme des enfants nouveau-nés, le pur lait intellectuel, afin qu’ils croissent par lui à salut (1 Pier. 2. 2). Comment pourrez-vous croître, chers amis, si vous négligez la Parole de Dieu, et que vous vous nourrissiez d’une littérature futile et légère ? Comment un chrétien peut-il être dans un état d’âme prospère, s’il ne trouve qu’à peine le temps de jeter les yeux sur un ou deux versets de l’Écriture sainte, tout en sacrifiant, des heures entières à des lectures d’une nullité complète, sans fond ?
Soyons certains que par notre lecture nous prouverons, d’une manière évidente, où nous en sommes et ce que nous sommes. Si notre lecture est légère et frivole, l’état de notre âme y correspond. Si, au contraire, notre christianisme est d’un caractère réel et sérieux, il sera manifesté clairement par ce qui fait le sujet de notre lecture habituelle et favorite.
Quelqu’un dira peut-être : « Je ne puis pas toujours lire la Bible et des livres sérieux ». À cela nous répondrons, avec une entière conviction, que la nouvelle nature qu’a reçue l’enfant de Dieu ne désire jamais autre chose. Maintenant il s’agit de savoir si nous désirons servir la vieille nature ou la nouvelle ? Si c’est la nouvelle, nous pouvons être assurés que la littérature mondaine, les feuilletons, etc. ne sont pas les moyens convenables. Il est absolument impossible qu’un chrétien sérieux trouve une jouissance quelconque dans ces choses. On ne trouve ni la manne cachée, ni le blé du pays de Canaan dans les feuilletons ; on ne trouve pas Christ dans les romans à sensation.
Il est fort triste qu’un chrétien puisse dire : « Comment pouvons-nous toujours lire la Bible ? Quel mal peut-il y avoir à lire un livre amusant ? » Faire de telles questions, c’est laisser voir que Christ ne suffit plus au cœur, que l’on s’est éloigné de lui : position des plus alarmantes. Un chrétien qui raisonne ainsi montre qu’il a déjà beaucoup décliné moralement, et qu’il a fait de déplorable progrès dans l’indifférence ; il est inutile alors de discuter avec lui sur le bien ou le mal qu’il peut y avoir dans telle ou telle lecture ; car il a perdu la capacité de juger sainement des choses relatives au témoignage que nous devons à Christ ; le sens spirituel est faussé, « la mort est dans la marmite ». Ce qu’il faut à une âme qui en est là, c’est un changement complet de dispositions et de pensées ; il faut qu’elle renonce à tout ce qui lui est en piège, et qu’elle revienne à Christ avec humiliation et confession ; alors le Saint-Esprit appliquera le remède divin pour la guérison de cette âme, et lui fournira en abondance la nourriture nécessaire pour son affermissement et sa prospérité.
Effectivement, une âme ne peut prospérer, elle ne peut pas faire de vrais progrès dans la vie divine, si elle n’a pas un sincère et véritable attachement pour la Bible, et si elle n’aime pas à profiter des écrits qui en développent le précieux contenu. Est-il possible qu’un chrétien, qui préfère une lecture insignifiante à quelque ouvrage ayant pour but notre réelle édification personnelle, soit dans une bonne condition morale ? Nous ne saurions le croire, étant persuadé que tous les chrétiens pieux, tous ceux qui désirent vraiment avancer dans la connaissance des choses divines, tous ceux qui aiment Christ et soupirent après le ciel et les trésors célestes, sont justement des lecteurs assidus de l’Écriture sainte et de tout livre bon et utile qui se trouve à leur portée. Ils n’auront ni le temps, ni le goût de lire les pernicieuses productions de la littérature mondaine ; ils ne discuteront pas la question de savoir si ces choses sont bonnes ou mauvaises ; ils n’en éprouvent tout simplement ni le besoin, ni le désir ; ils ont quelque chose d’infiniment meilleur. Quel est l’homme qui regretterait d’abandonner un peu de cendres, quand on l’inviterait à se nourrir du pain des anges ?
Ah ! C’est parce que nous sentons tout le sérieux du sujet qui nous occupe, c’est parce que nous en connaissons toute l’importance pour la marche pratique du chrétien, que nous vous avertissons, chers jeunes amis. C’est notre devoir devant Dieu. Nous vous supplions, vous qui débutez dans la carrière chrétienne, d’éviter, de délaisser toutes lectures futiles ; elles ne sauraient qu’être nuisibles à votre âme, parce qu’elles n’apportent pas Christ. Avant de prendre un livre quelconque, demandez-vous : « Est-ce que je voudrais que mon Seigneur vint et me trouvât occupé de cette lecture ? Puis-je la faire dans la présence de Dieu, et réclamer sur elle sa bénédiction ? Puis-je la faire pour la gloire du nom de Jésus ? » Si vous ne pouvez répondre affirmativement, que Dieu vous fasse la grâce de rejeter loin de vous ce que votre conscience condamne, et de consacrer vos loisirs à la lecture de sa sainte Parole et de tout écrit propre à vous faire avancer dans l’intelligence de cette Parole. Ainsi nourris et fortifiés, vous croîtrez dans la grâce, dans la connaissance et dans l’amour de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, et des fruits paisibles de justice abonderont en vous à la gloire de Dieu le Père.
Nous voulons aussi vous mettre en garde, chers jeunes lecteurs, contre un autre danger dans lequel des âmes peuvent tomber, lorsque le manque d’équilibre dans leurs appréciations, venant fausser leur jugement spirituel, les empêche de penser de manière à avoir de saines pensées, quelque sincères d’ailleurs que puissent être ces âmes. En effet, l’on rencontre parfois des personnes qui croient bien faire en refusant de lire aucun ouvrage humain, pour ne s’en tenir qu’à la Bible, ce livre incomparable, le livre de tous les livres, dans lequel, disent-elles, elles trouvent tout ce dont elles ont besoin. Aux âmes droites et pieuses, même dans leur ignorance, nous répondrons que chacun doit juger pour soi-même de ce qu’il convient, l’un ne peut résoudre cette question pour un autre. Quand à nous, nous ne saurions prendre une position aussi élevée, ni dire, comme quelques-uns, que les écrits sont un empêchement plutôt qu’une aide, dans la lecture de la Bible. Au contraire, nous rendons grâce à Dieu, chaque jour davantage, pour le secours béni qu’Il nous accorde par le moyen de ses serviteurs bien-aimés, dont les travaux écrits sont comme un précieux courant de rafraîchissement et de bénédiction spirituelle, émanant de notre Chef couronné dans les cieux, auquel revient toute gloire. En n’admettant pas cela, on pourrait tout aussi bien refuser d’entendre un frère parler dans une assemblée, que lire ses écrits, car qu’est-ce que chacune de ces choses, sinon une branche spéciale du service du Seigneur pour notre profit et notre édification ?
Sans nul doute, nous devons avoir un soin particulier qu’il ne nous arrive de faire un cas exagéré du ministère écrit ou parlé ; mais l’abus possible d’une telle chose n’est pas un argument valable contre son emploi. S’attacher à un ministère, au détriment de Celui qui le donne, ou mépriser un ministère suscité de Dieu, sont certainement deux choses aussi dangereuses l’une que l’autre. Personne ne saurait se suffire à soi-même ; l’intention du Seigneur est que nous nous rendions utiles les uns aux autres. « Que les membres (du corps) aient un égal soin les uns des autres » (1 Cor. 12. 25). « Nous qui sommes plusieurs, sommes un seul corps en Christ, et chacun individuellement membres l’un de l’autre » (Rom. 12. 5).
Combien d’âmes n’y aura-t-il pas dans le ciel, qui rendrons grâces à Dieu pendant toute l’éternité, à cause des bénédictions qu’elles ont reçues par des traités et des livres ? Que de personnes il y a, qui ne reçoivent jamais autre chose du ministère que ce que le Seigneur leur dispense par l’intermédiaire de la presse. On dira peut-être : mais ces personnes ont la Bible. C’est vrai, répondrons-nous, mais toutes n’ont pas la même aptitude pour sonder les vivantes profondeurs et saisir les gloires morales de ce livre merveilleux. Nul doute que si nous étions placés dans des circonstances telles, que nous fussions privés des secours du ministère, soit par écrit, soit de vive voix, l’Esprit de Dieu opérerait pour nous nourrir directement dans les verts pâturages de l’Écriture sainte. Mais qui oserait nier que les écrits des serviteurs de Dieu ne soient employés par le Saint-Esprit comme un moyen puissant de fortifier, d’affermir les enfants de Dieu, et de les édifier sur leur très sainte foi ? C’est notre conviction intime que Dieu s’est servi de ce moyen, durant ces quarante dernières années, d’une manière bien plus bénie que dans aucun autre temps de l’Église. Aussi n’avons-nous pas de quoi bénir le Seigneur ? Certainement ; et nous devrions prier avec des cœurs brûlants de reconnaissance, en Lui demandant toujours plus ardemment de mettre sa bénédiction sur les écrits de ces serviteurs, d’étendre de plus en plus leur circulation, et de donner à ceux qui les rédigent de le faire dans un langage pénétrant et réellement puissant. Un ouvrage humain, s’il n’est pas l’écho vivant du Saint-Esprit, ne sera qu’un airain qui résonne, ou une cymbale retentissante.
Le Saint-Esprit se sert donc de ses deux sortes de ministères pour la bénédiction des âmes et le développement de la vérité ; par conséquent nous estimons que c’est une grave faute de mépriser les moyens, quels qu’ils soient, qu’il plaît à Dieu d’employer. Bien plus, nous pouvons déclarer que nous avons rarement vu que ceux qui méconnaissent l’utilité des instruments de toutes sortes dont Dieu se sert, ne fussent pas très étroits dans leur vues, bornés dans leur spiritualité et partiaux dans leur jugement. Il ne saurait en être autrement, tant il est vrai que c’est un principe divin que nous nous rendions utiles les uns aux autres ; ainsi vouloir être indépendants des autres pour se suffire à soi-même, est un mal dont on ressentira tôt ou tard les graves conséquences.
« Par quel moyen le jeune homme rendra-t-il pure sa voie ? Ce sera en y prenant garde selon ta Parole » (Ps. 119. 9).
Ceux qui sont intéressés par le détail des études sur la Parole de Dieu, les poésies et les sujets divers parus dans la Bonne Nouvelle, peuvent nous en faire la demande dans l’espace Questions et nous leur enverrons par mail.
J.D.L.