
« Vous êtes mes amis » (Jean 15. 14).
Bonjour à tous. Continuons le sujet des mois précédents. En fin de compte, les relations les plus intimes et durables, ne les avons-nous pas entre amis ?
Un ami, on le choisit parce qu’on partage des sentiments, qu’on a des intérêts communs, une confiance réciproque, une relation d’entraide.
Je suis toujours frappé de lire, à propos d’Abraham, qu’il a été appelé « ami de Dieu » (Jac. 2. 23).
En Ésaïe 41. 8, c’est même Dieu en Personne qui parle d’Abraham « mon ami ». Cette relation était connue puisque, bien plus tard, le roi Josaphat, s’adressant à Dieu dans une prière évoque « Abraham, ton ami » (2 Chron. 20. 7). Quelles douces communications ils devaient avoir l’un avec l’autre !
En Genèse 18. 17, nous lisons même : « Et l’Éternel dit : Cacherai-je à Abraham ce que je vais faire… ? » Quel était le secret d’une telle relation ? Certainement, la confiance, la foi d’Abraham en Dieu, et son obéissance. Est-ce impossible pour nous ? « Ceux qui sont sur le principe de [la] foi sont bénis avec le croyant Abraham » (Gal. 3. 9).
Nous voyons donc l’importance de la foi et de l’obéissance dans notre relation avec Dieu. Qu’il nous donne cette foi vivante et le désir de lui plaire à tous égards ! (Col. 1. 10)
Un autre exemple parlant est celui de Moïse. « Et l’Éternel parlait à Moïse face à face, comme un homme parle avec son ami… Et [l’Éternel] dit : Ma face ira, et je te donnerai du repos… Et il dit : Je ferai passer toute ma bonté devant ta face… et je ferai grâce à qui je ferai grâce, et je ferai miséricorde à qui je ferai miséricorde ». Quel est le résultat de ces dialogues ? « … la peau de son visage rayonnait, parce qu’il avait parlé avec Lui » (Ex. 33. 11 à 19).
Est-ce que mon visage rayonne, est-ce que mon cœur frémit de joie pendant que je parle avec mon Ami, et après avoir parlé avec Lui, mon « Ami » céleste ? Cela devrait se reproduire à chaque moment de prières avec Lui et de lecture de sa Parole ! Ô Dieu, augmente en moi les flammes de mon cœur !
Plus de cent fois il nous est dit dans les Écritures que Dieu parlait avec Moïse. Le secret de l’intimité, de la paix, de la joie, c’est d’écouter Dieu nous parler, nous guider, nous consoler, nous encourager.
C’était aussi le cas de l’apôtre Paul, dont nous lisons : « Le Seigneur se tint près de lui et dit : aie bon courage » (Act. 23. 11). Il a dit lui-même : « Le Seigneur s’est tenu près de moi et m’a fortifié… et j’ai été délivré de la gueule du lion » (2 Tim. 4. 17).
Le prophète Daniel, qui, dans son intimité avec Dieu, s’agenouillait sur ses genoux trois fois le jour, et priait, et rendait grâce devant son Dieu (ch. 6. 10) dira : Dieu… a fermé la gueule des lions (v. 22). Foi et obéissance !
Le Seigneur s’adresse à ses disciples, et à travers eux à nous aussi en nous considérant comme « ses amis » : « Mais je vous le dis à vous, mes amis : ne craignez pas… pas un seul d’entre eux (les moineaux) n’est oublié devant Dieu. Bien plus, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc pas… » (Luc 12. 4 à 7).
Dans son amour, Il veut nous rassurer dans nos circonstances et nous rappeler la valeur que nous avons pour Lui. Mais, ici aussi, il y a une condition pour pouvoir jouir de ce titre d’ami du Seigneur : « Vous êtes mes amis, si vous faites tout ce que moi je vous commande (Jean 15. 14). Sachons Lui obéir et faire sa volonté !
En Jean 11. 11 nous entendons Jésus dire à ses disciples : « Lazare, notre ami, s’est endormi ». Quelques versets plus haut (v. 5), nous lisons : « Jésus aimait Marthe, et sa sœur, et Lazare ».
En Jean 12. 2, il nous est dit : « On lui fit donc là un souper ; Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui étaient à table avec lui ».
La table nous parle de communion, de familiarité, de repas convivial, de joie, de paix. C’est ce que nous voyons avec David (image de Christ) et Mephibosheth. Et David lui dit : « Ne crains point, car certainement j’userai de bonté envers toi… et tu mangeras continuellement le pain à ma table… comme un des fils du roi… il mangeait toujours à la table du roi ; et il était boiteux des deux pieds… tu as mis ton serviteur parmi ceux qui mangent à ta table »(2 Sam. 9).
À la fin de sa vie, David dira à son fils Salomon : « tu useras de bonté envers les fils de Barzillaï, le Galaadite, et ils seront de ceux qui mangent à ta table, car ils sont venus ainsi à ma rencontre, quand je m’enfuyais devant Absalom, ton frère » (1 Rois 2. 7).
Nous avons vu Lazare à table avec le Seigneur, à Béthanie où on lui avait fait un souper. Mais chacun de nous peut avoir ce privilège d’avoir le Seigneur à sa table. Rappelons-nous l’invitation personnelle du Seigneur en Apocalypse 3. 20 : « Voici, je me tiens à la porte et je frappe : si quelqu’un entend ma voix et qu’il ouvre la porte, j’entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi ».
À Zachée, qui était monté sur un sycomore pour Le voir, Jésus dit : « Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison ». Sa réaction : « Vite, il descendit et le reçut avec joie » (Luc 19. 5 et 6).
Si Jésus est ton Sauveur, si Dieu est ton Père, L’invites-tu, chaque jour, avec joie, à ta table ? Est-il ton Seigneur, ton Maître, Celui qui règne dans ta maison, dans ta chambre, avec qui tu partages ton intimité ? « Quand tu pries, entre dans ta chambre, et, après avoir fermé ta porte, prie ton Père qui [demeure] dans le secret… » (Mat. 6. 6).
Il existe un cadre qu’on peut accrocher dans sa maison sur lequel il est écrit :
CHRIST EST LE CHEF DE CETTE MAISON,
L’HÔTE INVISIBLE DE CHAQUE REPAS,
L’AUDITEUR SILENCIEUX DE CHAQUE CONVERSATION.
Est-Il réellement le chef de ma maison ? Est-ce que je Lui demande conseil avant de prendre mes décisions ? Est-ce que je me soumets à Lui avec joie et confiance ?
Si nous étions réellement conscients de la présence du Seigneur à notre table ou dans notre lit, ou dans notre voiture, ne serions-nous pas plus sobres pour manger et boire, plus paisibles pour dormir, plus sages pour conduire ? Si nous étions conscients qu’Il entend chacune de nos conversations, ne tiendrions-nous pas un autre langage, n’aurions-nous pas des conversations sans mots déplacés, sans médisance, sans colère – mais au contraire, des paroles douces, gentilles, aimables, encourageantes, bénissantes ?
L’intimité avec le Modèle parfait devrait me changer radicalement et m’aider à marcher sans cesse en nouveauté de vie ! (Rom. 6. 4)
« Ta présence est le bien suprême » (Hymnes et Cantiques 161).
« Le soir venu, il se mit à table avec les douze » (Mat. 26. 20). « Or l’un de ses disciples, que Jésus aimait, était à table, tout contre le sein de Jésus » (Jean 13. 23). Tous les disciples étaient à table avec Jésus. Mais un seul s’était mis dans le sein du Seigneur, tout près de son cœur. Alors qu’ils sont tous perplexes, troublés, Jean – qui se nomme cinq fois le disciple que Jésus aimait (13. 23 ; 19. 26 ; 20. 2 ; 21. 7 et 20) – est calme et respire en paix la présence de son Maître.
Cette place, nous pouvons tous l’occuper, mais le désirons-nous ? Les deux disciples d’Emmaüs, après avoir invité leur « compagnon », rencontré sur le chemin, et qui leur avait ouvert les Saintes Écritures, n’ont qu’une envie, lorsque leurs chemins se séparent, c’est de Le retenir un peu plus longtemps avec eux. « Et ils approchèrent du village où ils allaient ; lui, il fit comme s’il allait plus loin. Mais ils le pressèrent, en disant : reste avec nous, car le soir approche et le jour a baissé. Et il entra pour rester avec eux… comme il était à table avec eux… leurs yeux furent ouverts et ils le reconnurent… Et ils dirent l’un à l’autre : notre cœur ne brûlait-il pas au-dedans de nous, lorsqu’il nous parlait en chemin, et qu’il nous ouvrait les Écritures ? » (Luc 24. 13 à 35)
La présence du Seigneur à leur côté, ses paroles bénies, les avaient transformés. Et malgré l’heure tardive, ils retournent à Jérusalem pour raconter aux autres disciples leur rencontre. C’est à ce moment que « Jésus vint, et se tint au milieu d’eux. Et il leur dit : « Paix à vous !… Les disciples furent remplis de joie quand ils virent le Seigneur ».
La proximité du Seigneur, la jouissance de son amour, apportent toujours la paix et la joie. Même au milieu des ennemis ! (« les portes [du lieu] où se trouvaient les disciple étaient fermées par crainte des Juifs » (Jean 20. 19). David dit dans son Psaume 23 : « Tu dresses devant moi une table, en la présence de mes ennemis ».
La bien-aimée dit : « Pendant que le roi est à table, mon nard exhale son odeur » (Cant. 1. 12). Lorsque nous sommes avec le Seigneur, dans une adoration sincère, alors se produit ce qui est dit à propos de la sœur de Lazare : « Alors Marie qui avait pris une livre de parfum de nard pur de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux : la maison fut remplie de l’odeur du parfum » (Jean 12. 3).
Et voici des promesses pour plus tard (adressées au peuple juif) : « En effet, qui est le plus grand, celui qui est à table ou celui qui sert ? N’est-ce pas celui qui est à table ? Or moi, je suis au milieu de vous comme celui qui sert. Mais vous, vous êtes ceux qui avez persévéré avec moi dans mes tentations (ou épreuves). Et moi, je vous confère un royaume comme mon Père m’en a conféré un, afin que vous mangiez et que vous buviez à ma table dans mon royaume ; et que vous soyez assis sur des trônes, jugeant les douze tribus d’Israël » (Luc 22. 27 à 30).
« Bienheureux sont ces esclaves, que le maître, quand il viendra, trouvera en train de veiller. En vérité, je vous dis qu’il se ceindra, les fera mettre à table et, s’avançant, il les servira » (Luc 12. 37).
Celui qui nous recevra au banquet céleste, c’est Jésus, qui s’est donné pour ses amis ; y a-t-il un acte d’amour plus élevé ? « Personne n’a un amour plus grand que celui-ci : que quelqu’un laisse sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis, si vous faites tout ce que moi je vous commande. Je ne vous appelle plus esclaves, car l’esclave ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai entendu de mon Père » (Jean 15. 12 à 15).
Et après avoir donné sa vie pour eux, Il s’occupe d’eux journellement et les protège : « Mais je vous le dis à vous, mes amis : ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui, après cela, ne peuvent rien faire de plus… Ne vend-on pas cinq moineaux pour deux sous ? Et pas un seul d’entre eux n’est oublié devant Dieu ! Bien plus, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc pas : vous valez mieux que beaucoup de moineaux » (Luc 12. 4, 6 et 7).
Le Seigneur a appelé ses disciples « mes amis », comme nous l’avons vu, et plus tard Il parle de « mes frères » (Jean 20. 17 ; Mat. 28. 10).
Cela ne correspond-il pas parfaitement au verset de Proverbes 17. 17 « L‘ami aime en tout temps, et un frère est né pour la détresse » ? Ce verset ne parle-t-il pas, en tout premier lieu, du Seigneur ?
Et on peut aussi rajouter le v. 14 de Job 6 : « À celui qui est défaillant est due la miséricorde de la part de son ami, sinon il abandonnera la crainte du Tout-Puissant ».
Oui, le Seigneur Jésus est notre Sauveur, notre Seigneur, notre Berger, le Fils de Dieu dans toute sa gloire ; mais Il aime aussi se faire connaître à nous comme l’Ami fidèle, tendre et secourable, Celui qui nous encourage, qui nous donne les meilleurs conseils, qui nous guide, qui va à notre recherche quand nous nous égarons, qui nous écoute, qui nous supporte avec patience lorsque nous sommes fâchés, fatigués, qui s’inquiète de nous – bref, qui nous aime !
Puisque nous avons un tel ami, recherchons avec zèle sa présence et rejetons tout ce qui est un obstacle à sa communion : « rejetant tout fardeau et le péché qui [nous] enveloppe si aisément… vous êtes venus… à Jésus » (Héb. 12. 1, 18 à 24).
Si nous ne sommes pas attirés par notre « Ami céleste », c’est peut-être parce que nous sommes trop attachés à ce monde ! « Ne savez-vous pas que l’amitié du monde est inimitié contre Dieu ? Ainsi, quiconque voudra être ami du monde se constitue ennemi de Dieu » (Jac. 4. 4).
Nous entretenons peut-être des amitiés terrestres nuisibles ? « Ne sois pas l‘ami de l’homme colère, et n’entre pas chez l’homme violent » (Prov. 22. 24). « Aucun serviteur ne peut servir deux maîtres ; en effet, ou il haïra l’un et aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera l’autre : vous ne pouvez pas servir Dieu et les richesses » (Luc 16. 13).
À l’opposé, on peut dire, concernant le Seigneur, que « la douceur d’un ami est le fruit d’un conseil qui vient du cœur » (Prov. 27. 9), et qu’« un homme ranime le visage de son ami ».
Un ami, c’est aussi quelqu’un qui ne nous cache pas nos quatre vérités, mais qui est sincère et honnête avec nous, dans le but de nous épargner des problèmes, et pour notre bien : « Les blessures faites par un ami sont fidèles » (Prov. 27. 6). C’est aussi cela, la discipline de l’amour.
Que Proverbes 22. 11 soit notre part à chacun : « Celui qui aime la pureté de cœur a la grâce sur les lèvres, [et] le roi est son ami ».
Nous avons un « Ami » parfait qui nous dit à chacun : « Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos » (Mat. 11. 28). Alors, allons à Lui et demeurons près de Lui. « Près de toi je veux vivre, cœur qui souffris pour moi ! » (Hymnes et Cantiques n°133).
Je vous laisse avec des cantiques sur notre meilleur Ami.
Salutations chaleureuses, Marco. Octobre 2024.
1. Quel ami fidèle et tendre
Nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous entendre,
À répondre à notre cri !
Il connaît nos défaillances,
Nos luttes de chaque jour.
Parfait dans ses exigences,
Il est riche en son amour.
2. Quel ami fidèle et tendre
Nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous comprendre
Quand nous sommes en souci !
Disons-lui toutes nos craintes,
Ouvrons-lui tout notre cœur.
Bientôt ses paroles saintes
Nous rendront le vrai bonheur.
3. Quel ami fidèle et tendre
Nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous défendre
Quand nous presse l’ennemi !
Il nous suit dans la mêlée,
Nous entoure de ses bras.
Et c’est lui qui tient l’épée
Qui décide des combats.
4. Quel ami fidèle et tendre
Nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous apprendre
À vaincre en comptant sur lui !
Il nous veut vrais et sincères
Pour marcher en sainteté,
Il écoute nos prières
Et nous met en liberté.
5. Quel Ami fidèle et tendre
Nous avons en Jésus-Christ !
Bientôt Il viendra nous prendre
Pour être au ciel avec lui.
Suivons donc l’étroite voie
En comptant sur son secours.
Bientôt nous aurons la joie
De vivre avec lui toujours !
Venez à Moi n°60
Si vous saviez quel Sauveur je possède !
Il est l’Ami le plus tendre de tous.
Il sympathise, il prie, il intercède.
Oh ! je voudrais qu’il fût aussi pour vous !
Refrain
Mon Sauveur vous aime,
Ah ! cherchez en lui
Votre Ami suprême,
Votre seul appui.
Hymnes et Cantiques n°261 (ancien)
1. Jésus est notre ami suprême.
Oh ! quel amour !
Mieux qu’un tendre frère il nous aime…
3. Il s’est offert en sacrifice…
Nous bénir est tout son délice…
Qu’à sa voix notre âme attentive,
Toujours en paix, jamais craintive,
Près de son cœur doucement vive
Dans son amour !
Hymnes et Cantiques n°50
Oh ! qu’il est doux de trouver à toute heure
Un tendre ami prêt à nous soulager,
D’avoir accès, Seigneur, en ta demeure,
D’avoir ton aide au plus fort du danger !
Hymnes et Cantiques n°126
T’aimer, Jésus, te connaître,
Se reposer sur ton sein ;
T’avoir pour Ami, pour Maître,
Pour modèle et pour Seigneur ;
Savoir que ta mort efface ;
Nos péchés, puissant Sauveur,
Savourer en paix ta grâce,
Quel repos, quelle douceur !
Hymnes et Cantiques n°49
Jésus est l’Ami suprême,
Le tendre Ami de mon cœur ;
Jésus est Celui qui m’aime,
Mon Refuge et mon Sauveur.
Hymnes et Cantiques n° 205
Ta gloire, ô notre Dieu, brille dans ta Parole ;
Elle est, pour tes enfants, un trésor précieux ;
C’est la voix d’un ami qui soutient et console ;
C’est la lettre d’amour écrite dans les cieux.
Hymnes et Cantiques n°152
Trésor incomparable,
Tendre et fidèle ami !
Toi qui seul fus capable
De vaincre l’ennemi !
Garde par ta puissance
Nos esprits et nos cœurs,
Toi qui, par ta présence,
Nous remplis de bonheur.
Hymnes et Cantiques n°66
Nous nous sentons devant ta face
Comme donnés à ton cher Fils,
Objets de ta divine grâce,
Près de ton cœur ayant tous place,
Comme Jésus et ses amis.
Hymnes et Cantiques n°130
Qu’il est bon de t’avoir, Jésus, pour sacrifice,
Pour berger, pour ami, pour salut, pour justice !
Qu’elle est douce, la paix dont tu remplis le cœur !
Quel bonheur d’être aimés, d’avoir un tel Sauveur !
Hymnes et Cantiques n°87