TRADUCTION DE FEUILLETS (71)

« À celui qui, sans faire des œuvres, croit en Celui qui justifie l’impie, sa foi est comptée à justice » Romains 4. 5.

L’ASSURANCE DU SALUT

Avant de poursuivre, j’aimerais vous demander : Dans quelle relation êtes-vous avec ces choses ? Vous êtes-vous vu comme un pécheur perdu, et comme tel, avez-vous recherché la présence de Dieu, confessant vos péchés et vous reposant, pour être pardonné, seulement sur le terrain de ce que le Sauveur a souffert ?

Nous posons cette question d’autant plus sérieusement que, de toutes parts, il y a ceux qui sont prêts à affirmer les vérités de l’Écriture, mais qui ne vont pas plus loin. Il n’est que trop évident que, avec toute leur connaissance, ils ne sont jamais tombés sur leur face devant Dieu, le cœur brisé, en confessant leurs péchés et leur culpabilité. S’ils ont vu qu’une telle attitude est la seule convenable pour eux, leur cœur a été trop orgueilleux pour s’incliner, et ils restent ainsi sans être pardonnés et sauvés. Êtes-vous l’un d’eux ? Dans ce cas, croyez-moi, on ne saurait décrire dans quel danger vous êtes, et si vous aurez encore le temps de vous repentir.

Il se peut, toutefois, que vous ayez fui vers Christ, mais que, comme beaucoup d’autres, vous n’avez pas un repos complet quant au salut de votre âme. Des doutes vous assaillent, et par moments vous vous demandez si la profession que vous avez faite était bien la réalité. Est-ce parce que vous trouvez tellement d’imperfection en vous, et parce que vos efforts pour vous amener dans un meilleur état ont été vains ? Ah ! Vous avez cherché la paix d’où elle ne vient jamais. Si grande que soit votre amélioration, si vous vous appuyez sur cela, vous vous appuyez sur un roseau brisé. Christ seul doit être votre repos, Lui qui est mort pour les impies et pour ceux qui n’ont point de forces (Rom. 5. 6).

D’après the Lord is near juillet 1985

« Nous avons un autel dont ceux qui font le service du tabernacle n’ont pas le droit de manger » Hébreux 13. 10.

L’OPPOSITION ENTRE LE JUDAÏSME ET LE CHRISTIANISME – EN PRATIQUE

L’épître aux Hébreux, comme son nom le suggère, montre le contraste entre le judaïsme et le christianisme. Un aperçu des différents sujets le montrera. Les prophètes, les anges, Moïse, la sacrificature aaronique, les sacrifices de chair, la loi, sont tous mis en contraste et laissent la place au Seigneur Jésus Christ qui, par sa mort et son ascension à la droite de Dieu, a déplacé le sanctuaire terrestre et une religion terrestre, pour introduire son peuple dans la présence de Dieu dans la joie et la liberté d’une adoration spirituelle, et pour faire des chrétiens des étrangers et des pèlerins ici-bas.

Toute l’épître montre que le Judaïsme et le Christianisme s’excluent l’un l’autre. C’est ce que nous enseigne ce verset. L’autel est l’image de tout le christianisme fondé sur l’œuvre expiatoire de Christ. Ceux qui sont en liaison avec le judaïsme – une anticipation terrestre – n’ont pas le droit de se réclamer d’aucun lien avec la réalité spirituelle céleste.

Le principe peut s’appliquer, évidemment, à tout système de religion terrestre, qui n’est qu’une faible copie du Judaïsme. Il faut prendre garde, toutefois, à ne pas insister sur cela de manière violente, et se souvenir que le Seigneur a de nombreux rachetés qui n’ont pas la connaissance et la foi pour sortir du système où ils sont « vers lui hors du camp, portant son opprobre » (Héb. 13. 13).

D’après the Lord is near juillet 1985

« Confie-toi de tout ton cœur à l’Éternel, et ne t’appuie pas sur ton intelligence ; dans toutes tes voies connais-le, et il dirigera tes sentiers » Proverbes 3. 5 et 6.

VIVRE DANS LA DÉPENDANCE DU SEIGNEUR

Notre Seigneur bien-aimé aime qu’on Lui fasse confiance, qu’on Lui demande de l’aide, qu’on fasse appel à Lui. Nous ne pouvons jamais Lui demander trop, de l’amour de son cœur ou de la force de son bras. Il n’y a rien de trop petit ou de trop grand pour Lui ; Il a tout pouvoir au ciel et sur la terre ; Il est le Chef sur toutes choses à son assemblée ; Il maintient l’univers ; Il soutient toutes choses par la parole de sa puissance. Les philosophes parlent des forces et des lois de la nature – le chrétien pense avec délices à Christ, à sa main, à sa parole, à sa grande puissance. Par Lui toutes choses ont été créées, et par Lui elles subsistent.

Pourquoi donc, alors, nous tourner vers un autre ? Pourquoi, toujours, directement ou indirectement, faire connaître nos besoins à un pauvre compagnon mortel ? Pourquoi ne pas aller directement à Jésus ? Avons-nous besoin de sympathie ? Qui peut sympathiser avec nous comme notre Souverain Sacrificateur plein de grâce ? Qui est sensible à nos sensations d’infirmité ? Avons-nous besoin d’une aide quelconque ? Qui peut nous aider comme notre tout-puissant Ami, qui possède des richesses infinies ? Avons-nous besoin de conseils ou de direction ? Qui peut nous les donner comme Celui qui est la sagesse même de Dieu, et qui nous est fait sagesse de la part de Dieu ?

Oh ! N’attristons pas son cœur plein d’amour, et ne déshonorons pas son nom glorieux en nous détournant de Lui. Prenons jalousement garde contre la tendance qui nous est si naturelle de poursuivre des espoirs humains, de la confiance dans la créature, et des attentes terrestres. Restons proches de la fontaine, et nous n’aurons jamais à nous plaindre des courants. En un mot, cherchons à vivre par la foi, et ainsi à glorifier Dieu dans notre jour et notre génération.

D’après the Lord is near juillet 1985 (C.H.M.)

« Ouvre ta bouche pour le muet, pour la cause de tous les délaissés. Ouvre ta bouche, juge avec justice, et fais droit à l’affligé et au pauvre » Proverbes 31. 8 et 9.

COMMENT AIDER LES FAIBLES

Ce sage conseil de valeur est donné par une mère sage à son fils qui est préparé à occuper le trône comme roi. Comme c’est souvent le cas dans la Parole de Dieu, elle commence ses conseils par la mise en garde de résister à la tentation de jouir du monde. Dans le désir de réveiller encore l’affection de son fils pour ce qui est bon, elle termine son enseignement par le cantique de la femme vertueuse, qui est encore aujourd’hui une source spirituelle d’inspiration.

Nous ne devrions pas limiter la recommandation de cette reine au fait d’ouvrir sa bouche pour aider ceux qui ont de la difficulté à s’exprimer. Le monde est plein de jeunes et de plus âgés, savants ou ignorants, qui cachent leurs sentiments, craignant d’ouvrir leur bouche pour exprimer leur peine. Ils peuvent être timides ou ignorants, ou même oppressés, mais peut-être, dans de nombreux cas, c’est seulement leur sentiment de honte qui les maintient désespérément muets.

Quand le Seigneur Jésus est venu sur cette scène de misère, Il pouvait lire dans ces cœurs brisés sans que personne doive le Lui dire. Que cela est précieux ! Il était accessible à tous, disant : « et celui qui vient à moi, je ne le mettrai pas dehors » (Jean 6. 37). Une femme pécheresse méprisée vint à Lui en pleurant, sans dire un mot, mais Il l’a comprise. En vérité, Il ne jugeait pas selon la vue de ses yeux, et ne réprouvait pas selon ce qu’Il entendait. Le remède qu’Il appliquait à un cœur brisé, c’était le pardon des péchés.

Mais Il faisait plus que cela ! Il déliait la langue bégayante et remplissait le cœur de reconnaissance, à le faire déborder, de sorte que de telles langues étaient changées en la plume d’un écrivain habile.

D’après the Lord is near juillet 1985

« Là où le péché abondait, la grâce a surabondé » Romains 5. 20.

LA GRÂCE DE DIEU EST ENCORE OFFERTE AUJOURD’HUI

Aussi profond que soit le besoin, pour un homme, de la grâce de Dieu, il y en a toujours une ressource sans défaut et inépuisable. Le remède de Dieu, c’est la grâce, et Il en est Lui-même la source. Dieu est lumière et Dieu est amour. L’homme, dans les ténèbres et le péché, non seulement n’est pas convenable pour sa présence, mais il craint et hait la lumière, et aime les ténèbres dans lesquelles il se trouve : « Les hommes ont mieux aimé les ténèbres que la lumière, car leurs œuvres étaient mauvaises » (Jean 3. 19 et 20). De son propre choix, l’homme resterait dans les ténèbres, et cela, éternellement, si ce n’était pas ce qu’est Dieu – qui est amour aussi bien que lumière ; et tandis que la lumière révèle le péché et déplaît au pécheur, l’amour, au temps propre, est devenu actif en manifestant la grâce. Le Fils de Dieu, Jésus Christ, était plein de grâce et de vérité. Mais l’homme, en général, n’était pas prêt à Le recevoir.

La grâce aurait plu à l’homme, séparée de la vérité. Nous avons un exemple frappant de cela dans l’évangile (Luc 4. 16 à 30) ; la grâce et la vérité, dans la Personne de Jésus Christ – le don de l’amour de Dieu – ont été refusées. Le cas de l’homme est devenu désespérément mauvais dans le rejet et la mise à mort de Christ.

Mais la grâce a surabondé. Celui qui a été rejeté, étant remonté dans la gloire, a amené une grâce surabondante à l’homme de la part du cœur même de Dieu. L’acte suprême de méchanceté de l’homme a servi à Dieu pour qu’Il agisse comme le Dieu de toute grâce. La pire chose qu’ait faite l’homme contre le Seigneur Jésus a amené vingt siècles de grâce et de patience du cœur de Dieu, et elle coule encore aujourd’hui.

Quelle terrible condamnation tombera sur tous ceux qui méprisent ou négligent la grâce ! L’homme, dans ses ténèbres et son incrédulité, pèche hardiment, et suit la convoitise et les désirs de son propre cœur. Il est la proie de Satan, avec indifférence quant à ce qui est dans le cœur de Dieu envers lui.

D’après the Lord is near juillet 1985

« Ne crains point, car je suis avec toi ; ne sois pas inquiet, car moi je suis ton Dieu. Je te fortifierai, oui, je t’aiderai ; oui, je te soutiendrai par la droite de ma justice » Ésaïe 41. 10.

FAIRE CONFIANCE À DIEU EN TOUTES CHOSES

Nous sommes, pour la plupart, de bons marins quand il fait beau temps et que le bateau avance doucement sur les vagues. Mais quand les vents sont contraires et que les vagues s’élèvent, nos cœurs, souvent, défaillent. Il est possible de croire en Dieu pour le salut de son âme, et de perdre confiance quand les circonstances changent, que la santé se dégrade, que l’âge avancé nous fait perdre les forces – ou que nous perdons des êtres chers et sommes laissés seuls.

Ce sont des choses qui nous éprouvent tous. Or Dieu aimerait que nous soyons parfaitement en paix quand tous ces changements se produisent autour de nous, bien que nous puissions, et devions, les ressentir profondément. Et nous serons en paix si nous ne faisons que suivre son conseil sage et plein d’amour. Et quel est son conseil ? « Ne vous inquiétez de rien mais, en toutes choses, exposez vos requêtes à Dieu par la prière et la supplication avec des actions de grâce ». Faisons-nous cela ? Pensez que Dieu a toujours l’oreille ouverte et vous dit : Dites-moi tout, vos soucis, vos peines, vos craintes, vos chagrins, dites-moi tout. Remarquez que ces choses ne nous seront peut-être pas enlevées, Il ne l’a pas promis. Mais vous trouverez que la paix de Dieu gardera votre cœur et vos pensées dans le Christ Jésus. Dieu est tout-puissant, et ses richesses sont inépuisables.

D’après the Lord is near juillet 1985

« Pierre dit : homme, je ne sais pas ce que tu dis. Et, à l’instant, comme il parlait encore, un coq chanta. Le Seigneur, se retournant, regarda Pierre ; et Pierre se ressouvint de la parole du Seigneur, qui lui avait dit : Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois. Étant sorti dehors, il pleura amèrement » Luc 22. 60 à 62.

ÊTRE RESTAURÉ

Êtes-vous tombé ? Avez-vous erré ? Avez-vous fait une chute ? Avez-vous perdu la conscience heureuse de la faveur divine ? S’il en est ainsi, que devez-vous faire ? Simplement ceci : Revenez ! C’est là la Parole de Dieu à celui qui s’est écarté. Revenez, en vous jugeant vous-même, et dans la pleine confiance dans l’amour sans faille et sans changement du cœur de Christ.

Ne restez pas loin, nous vous en prions, dans votre incrédulité. Ne jugez pas le cœur de Jésus par vos pensées propres. Qu’il vous dise ce qui est dans son cœur pour vous. Vous avez péché, vous avez failli, vous vous êtes détourné, et maintenant, peut-être, vous avez peur ou honte de tourner votre regard vers Celui que vous avez peiné et déshonoré.

Satan, aussi, vous suggère les pensées les plus sombres, car il aimerait bien vous maintenir loin de ce précieux Sauveur qui vous aime d’un amour éternel. Mais vous n’avez qu’à fixer votre regard sur le sang, sur le plaidoyer, sur le cœur de Jésus, pour obtenir une réponse triomphante à toutes les terribles suggestions de l’ennemi, et de tous les raisonnements infidèles de votre propre cœur.

Ne restez donc pas une heure de plus sans chercher une réponse complète à la question entre votre âme et Christ. Rappelez-vous que son amour ne change pas, qu’il est gratuit et fidèle, fort comme la mort. Souvenez-vous aussi de ses propres paroles : « Revenez à moi ». Enfin, souvenez-vous que Jésus aime qu’on Lui fasse confiance.

D’après the Lord is near juillet 1985 (C.H.M.)

« On lui fit donc là un souper ; Marthe servait, et Lazare était un de ceux qui étaient à table avec lui. Alors Marie, qui avait pris une livre de parfum de nard pur de grand prix, oignit les pieds de Jésus et les essuya avec ses cheveux : et la maison fut remplie de l’odeur du parfum » Jean 12. 2 et 3.

LE PLUS ÉLEVÉ DES SERVICES : L’ADORATION

Au cours du dernier trajet de Jésus vers Jérusalem, un souper est préparé spécialement pour Lui à Béthanie, car beaucoup d’affection pour Lui avait été éveillée dans ce village – affection qui s’était approfondie lorsqu’Il avait ressuscité Lazare. Sachant bien l’angoisse qu’Il devrait traverser, peu de jours après, en étant fait un sacrifice pour les péchés, que cela devait Lui être précieux de goûter l’affection de ces quelques disciples fidèles !

Et il est insisté sur Marthe, Lazare, et Marie. Marthe servait, n’étant pas embarrassée par beaucoup de service comme en Luc 10. 40, mais avec reconnaissance et dévouement. Lazare, en communion avec le Seigneur, était assis à table, se réjouissant sans aucun doute de la douceur de toutes les paroles de son Maître. Et Marie, dans une muette adoration, oignit les pieds de Jésus de son nard de grand prix, essuyant ses pieds avec ses cheveux.

Ne voyons-nous pas ici les caractères qui conviennent exactement à tout croyant ? Car, bien que l’un puisse avoir plus de capacités qu’un autre pour le service, un autre peut-être plus attiré par les joies de la communion – un autre jouissant particulièrement d’adorer le bien-aimé Fils de Dieu – chacun de ces caractères devrait être vrai, au moins en partie, de tout enfant de Dieu. Mais le plus élevé de ces caractères, c’est l’adoration, car la maison fut « remplie de l’odeur du parfum », ce qui figure pour nous ce qui devrait être vrai en tout temps de la maison de Dieu, l’Assemblée.

D’après the Lord is near juillet 1985 (L.M.G.)

« Remets tout cela en mémoire, avertissant solennellement devant le Seigneur qu’on n’ait pas de disputes de mots, ce qui est sans aucun profit, mais pour la ruine des auditeurs… évite les discours vains et profanes, car ceux qui s’y livrent iront plus loin dans l’impiété, et leur parole rongera comme une gangrène » 2 Timothée 2. 14, 16 et 17.

ÉVITER LES DISPUTES DE MOTS

Timothée est chargé devant le Seigneur d’avertir concernant les disputes de mots, qui ne sont d’aucun profit. C’est une mise en garde des plus utiles, largement et en tout temps. Ceux qui apprécient la vérité sont particulièrement en danger de tomber dans des discussions sans profit. Un tel zèle en fait de vaillants combattants de la Parole. Il est bien vrai que cela ne sert à rien, mais que cela peut facilement perturber ceux qui écoutent. Il y a beaucoup de vanité, et bien peu de sincérité dans de telles disputes ; elles n’apportent pas d’édification, mais du mal réel et très grave.

Mais il peut y avoir un autre devoir quant aux babillages profanes d’hommes prétentieux. Timothée n’était pas appelé à s’en occuper, et encore moins à entrer en controverse avec eux. L’apôtre lui dit de les éviter. Certains, conscients de leur capacité à reconnaître le mal et à s’y opposer, se mêlent volontiers de ces vains discours profanes. Cela n’est pas sain pour eux-mêmes, mais peut faire du mal à des croyants qui remplissent leur esprit de ces tristes efforts, ceux-ci, en général, enflant les coupables plutôt qu’ils ne les convainquent. Le temps est trop précieux et doit être conservé pour ce qui édifie. Il n’est pas bon de s’occuper du mal, à moins que cela soit le devoir le plus nécessaire.

D’après the Lord is near juillet 1985 (W.K.)

« Et Dieu dit à Noé : … Fais-toi une arche… Tu feras un jour à l’arche. Et l’Éternel dit à Noé : entre dans l’arche, toi et toute ta maison, car je t’ai vu juste devant moi en cette génération » Genèse 6. 13, 14 et 16 ; 7. 1.

LA FENÊTRE DE L’ARCHE

Quand nous entrons dans l’arche, nous avons la lumière divine : il y a là une fenêtre. Le mot traduit par fenêtre, ou jour, est employé 24 fois dans l’Ancien Testament, Cela implique que dans l’arche nous venons à l’endroit où l’on trouve la lumière divine, la lumière de ce que Dieu est, en grâce et en amour pour l’homme.

L’arche représente l’endroit que Christ a préparé pour le salut de sa maison, la place où les croyants et leurs familles sont trouvés, reconnaissant la seigneurie de Christ, et sont sous la protection de sa mort ; l’endroit où le monde est vu comme condamné, et où la fin de la chair est connue. Christ, comme le véritable Noé, est honoré, l’alliance est connue et appréciée – c’est-à-dire, l’amour de Dieu rendu connu en Christ qui est l’alliance.

Les enfants de Dieu, amenés dans la conscience d’être liés à Christ, et connaissant Dieu, trouvent leur place à l’abri de la mort de Christ dans ce monde. Ils sont sortis du monde, publiquement, pour ainsi dire, par le baptême, et en appliquant la vérité du baptême dans leurs voies et dans leur esprit, ils connaissent ce qu’est l’arche, et jouissent du salut. La lumière divine et la sécurité sont trouvées au milieu des enfants de Dieu, et dans la séparation du monde.

D’après the Lord is near juillet 1985