
« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle ». Jean 3. 16.
AVEUGLE ET SOURD
Dans les montagnes du Liban, une missionnaire invitait chaque soir des enfants pour leur apprendre à lire et profiter de cette occasion pour leur parler du Seigneur Jésus. Mais parmi ceux qui l’écoutaient se trouvait un vieil homme aveugle et sourd.
– Renvoyez-le, lui conseilla une amie, il n’entendra rien de ce que vous direz aux enfants. Il perturbe simplement vos cours avec ses marmonnements.
– Je ne peux pas faire ça, répondit la missionnaire, car alors l’enfant qui le conduit ne viendrait plus non plus.
Le vieil homme continua donc à venir tous les soirs. Alors la missionnaire a eu une idée. Elle lui a pris la main et a écrit le mot « Dieu » à l’intérieur, en caractères arabes. Il l’a compris et l’a répété. Le lendemain, la dame continua et a écrit : « C’est ainsi que Dieu a aimé. » Le troisième jour, elle ajouta : « C’est ainsi que Dieu a aimé le monde. » Cela a continué jusqu’à ce que le vieil homme apprenne tout le texte de Jean 3. 16 : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle ».
À partir de ce moment-là, on voyait chaque jour le vieil homme assis près du marché et proclamant ce verset biblique à haute voix. Tous ceux qui passaient pouvaient entendre ce qui avait apporté la paix à son âme et la joie dans son cœur.
D’après Näher zu Dir juin 2024
« Il continua son chemin tout joyeux ». Actes 8. 39.
EN ROUTE – MAIS COMMENT ?
Nous sommes tous en mouvement. Notre vie est comme un voyage vers l’éternité. Tout le monde n’est pas de la même humeur lors de ce voyage.
– Certains avancent avec courage et gaieté. Ils ne savent encore rien des journées chaudes et fatigantes et des nuits sombres de souffrances. Ils sont jeunes et profitent de la vie. D’autres se fraient un chemin avec défi et obstination. Ils sont déterminés à suivre « leur » chemin malgré tous les obstacles. Personne ne doit s’immiscer dans leur vie.
– D’autres encore se traînent, fatigués et apathiques. Ils ont perdu la joie de vivre parce que leur vie est devenue trop difficile et n’offre plus aucune perspective.
– Il y a encore les gens irréfléchis, qui avancent avec la masse sur des sentiers battus. Ils n’ont pas d’objectif propre, mais sont guidés par l’opinion de la majorité.
Le verset du jour parle de quelqu’un qui repartait en voyage avec joie. Le disciple du Seigneur Jésus, Philippe, lui avait annoncé l’évangile, qu’il avait reçu dans son cœur. Sa vie, maintenant, n’était ni un rêve naïf ni un combat acharné. Au contraire, il avait abandonné toutes ses propres voies, ordonné sa vie devant Dieu et s’était remis au Seigneur Jésus. Il avait le pardon des péchés et la paix avec Dieu. C’est pourquoi son cœur était si heureux.
Celui qui emprunte ce chemin et se laisse conduire par Dieu connaîtra la joie du Seigneur, qui ne dépend pas des circonstances. S’il recherche la volonté de Dieu dans la Bible, il peut avancer avec joie vers le but : la Maison du Père.
D’après Näher zu Dir juin 2024
« Si donc le Fils vous affranchit, vous serez réellement libres ». Jean 8. 36
L’AMOUR DE SOI
Le tsar de la mode Karl Lagerfeld (1933-2019) s’intéressait aux beaux tissus et aux parfums, mais surtout à lui-même. Lorsqu’on lui a posé une question sur Dieu, il a répondu : cela commence par moi ; cela finit par moi, c’est tout ! Il n’avait pas de place pour Dieu.
Il y a des gens qui ne tournent qu’autour d’eux-mêmes et qui n’ont de place que pour eux-mêmes dans leur vie : ni pour le conjoint, ni pour l’enfant, et certainement pas pour Dieu. Un partenaire n’est le bienvenu que s’il flatte son propre ego – sinon, il est rejeté. Un enfant ne ferait que perturber son propre développement dans la vie : il est rejeté (et souvent avorté). Un Dieu qui formule des normes n’est qu’un facteur perturbateur.
L’égocentrisme – se focaliser sur soi-même – est un problème qui nous touche tous plus ou moins. Lorsqu’il fut promis au premier couple humain : « Vous serez comme Dieu », ils furent trompés et tombèrent dans le péché (Gen. 3. 5). Et si nous sommes honnêtes, nous avouerons que notre propre vie montre aussi exactement cet effet destructeur de notre comportement égoïste : amitiés brisées, mariages rompus, enfants rejetés, vieillissement solitaire… Nous n’avons souvent pas non plus de place pour Jésus-Christ dans notre vie : parce qu’Il nous dérange et nous gêne, parce qu’Il nous dit ce qui est bien et ce qui est mal. Il veut nous libérer de ne penser qu’à notre propre condition ; Il veut guérir, réconcilier et donner ; Il veut élargir notre perspective et nous rendre « vraiment libres ».
Une vie qui ne tourne qu’autour d’elle-même est solitaire et pauvre ; en revanche, une vie transformée et orientée par la foi en Jésus-Christ et son œuvre accomplie sur la croix est libre et riche. C’est une vie qui vaut vraiment la peine d’être vécue, qui se vit dans l’amour et qui a le ciel pour avenir.
D’après die gute Saat juin 2024
« Tu feras un jour à l’arche, et tu l’achèveras en lui donnant une coudée d’en haut ; et tu placeras la porte de l’arche sur son côté ». Genèse 6. 16.
LE TÉMOIGNAGE RENDU PAR NOÉ
Il a été dit que la construction de l’arche par Noé était l’un des plus longs sermons qui aient été prononcés. Noé lui-même est nommé dans la Bible « un prédicateur de justice » (2 Pier. 2. 5). Tout le mépris et le péché qui entouraient Noé ne l’ont pas empêché de faire ce que Dieu lui avait commandé.
Avant que le déluge ne commence, Noé entra dans l’arche par sa seule porte, et Dieu ferma la porte derrière lui. Cela signifiait une sécurité parfaite parce que c’était Dieu qui l’avait fait. Dieu connaissait tout ce qui concernait le jour de jugement proche, ainsi que le jour où l’arche serait ouverte de nouveau. Quand l’arche fut élevée au-dessus des eaux, laissant sans être sauvés tous ceux qui n’y étaient pas entrés, Noé et sa famille étaient parfaitement en paix. Ils restèrent dans l’arche pendant un an et dix jours, et pendant ce temps-là leur foi fut mise à l’épreuve. Mais ils pouvaient regarder vers le ciel par la fenêtre vers Dieu qui les avait sauvés du déluge.
Dieu purifiera à nouveau la terre par le jugement, et il y aura un résidu qui passera par ces grands jugements et sera sauvé pour une terre purifiée. Mais même aujourd’hui nous pouvons nous réjouir dans la sécurité et la protection qui sont trouvées en Christ, Celui qui « nous délivre de la colère qui vient ». Avant que le jugement puisse tomber sur la terre, nous serons enlevés vers la gloire, comme cela est vu en figure par l’enlèvement d’Énoch avant le déluge. Étant encore dans le monde, nous ne sommes pas du monde, mais nous pouvons, même maintenant, jouir de notre relation avec le ciel en attendant notre avenir glorieux.
D’après the Lord is near avril 1985
« Par la foi, Abel offrit à Dieu un meilleur sacrifice que Caïn ; par ce sacrifice il a reçu le témoignage d’être juste, Dieu lui-même rendant témoignage à ses dons ; et par celui-ci, étant mort, il parle encore ». Hébreux 11. 4.
UNE FOI QUI ADORE
« Par la foi, Abel offrit à Dieu ». La foi d’Abel le poussa à apporter une offrande à Dieu. Son offrande rend témoignage à l’enseignement complet que Dieu avait donné à Adam et Ève, et eux à leurs enfants, sur la manière de s’approcher de Dieu.
Abel comprit les instructions de Dieu et y fut obéissant. En conséquence, Dieu le reconnut et accepta son sacrifice. Peut-être que le feu de Dieu descendit et consuma l’offrande.
Au tout début de la race humaine, Abel comprit la vérité fondamentale que « sans effusion de sang il n’y a pas de rémission » (Héb. 9. 22). En apportant un agneau – le premier-né de son troupeau – Abel reconnut sa condition de pécheur. L’agneau, une image de Christ, l’Agneau de Dieu, est le symbole de l’innocence et de la soumission de Christ. Dans l’agneau égorgé, Abel reconnaît aussi qu’il est sous la sentence de mort, et montre en même temps son besoin d’un substitut.
Êtes-vous venu à Dieu par la foi, de la manière qu’Il a désignée ? Vous êtes-vous reconnu comme étant mort dans vos fautes et dans vos péchés ? Avez-vous vu dans le Seigneur Jésus Christ l’Agneau de Dieu, Celui qui est votre Substitut, dont le sang a été versé et qui a donné sa vie en rançon pour votre âme ? S’il n’en est pas ainsi, nous vous pressons de venir maintenant – où que vous soyez car maintenant est le temps acceptable, maintenant est le jour du salut (2 Cor 6. 2).
Si vous venez de la manière fixée par Dieu, votre foi sera récompensée, vous serez accepté par Dieu, et Il rendra témoignage à votre être intérieur que vous êtes rendu juste devant Lui. Alors, par la foi, vous pourrez offrir à Dieu le sacrifice de louange, le fruit de vos lèvres, rendant grâces à son nom.
D’après the Lord is near avril 1985
« En vérité, en vérité, je vous dis : celui qui entend ma parole, et qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie ». Jean 5. 24.
L’ASSURANCE, POUR LE PRÉSENT ET L’ÉTERNITÉ
Comme ce verset donne pur réconfort, encouragement et repos à l’âme qui a été troublée par le fait sérieux de ses péchés, et qui est incertaine quant à avoir une relation réelle avec Dieu ! Le Seigneur Jésus parle, avec insistance : « En vérité, en vérité ». Sa Parole est fidèle, elle a la pleine autorité de Dieu, exprimée dans la pleine unité avec le Père qui L’a envoyé. On peut lui faire absolument confiance. Et le Seigneur exprime deux choses simples : d’abord, que l’on doit entendre sa Parole, c’est-à-dire l’accepter honnêtement comment étant vraie. Et deuxièmement, croire que le Père a envoyé le Fils. Fait merveilleux ! – fait vital pour qu’une âme soit sauvée. Car Dieu a envoyé son Fils pour qu’Il meure pour nos péchés et ressuscite d’entre les morts le troisième jour.
Et pour quiconque ces deux choses simples sont vraies, il est maintenant assuré d’avoir la vie éternelle. Assurance précieuse et merveilleuse. Et pour qu’il ne reste aucun doute quant à cette merveilleuse déclaration, le Seigneur ajoute que, quant à l’avenir, tout est parfaitement réglé. À une telle personne est donnée la vie et non le jugement : elle ne viendra jamais en jugement, mais elle est déjà passée de la mort à la vie. Tout dépend, non de quelconques sentiments ou œuvres de la personne, mais de la puissance et de la grâce si grandes du Père et du Fils, auxquelles le croyant fait simplement et réellement confiance.
D’après the Lord is near avril (L.M.G.)
« Le matin venu, tous les principaux sacrificateurs et les anciens du peuple tinrent conseil contre Jésus pour le faire mourir ». Matthieu 27. 1.
LA RELIGION ET LA CROIX
Il n’y a rien qui sonde le cœur aussi profondément que la doctrine de la croix – le sentier de Jésus de Nazareth rejeté et crucifié. Cela met à l’épreuve le cœur de l’homme jusque dans ses profondeurs. S’il était seulement question de religiosité, l’homme peut aller très loin ; mais la justice n’est pas Christ. Regardez un moment le palais du souverain sacrificateur, qu’y voyez-vous ? Une rencontre spéciale des conducteurs du peuple.
Vous avez là la religion dans une forme très imposante. Nous devons nous souvenir que ces sacrificateurs, scribes et anciens, étaient regardés par le peuple professant de Dieu comme les grands dépositaires de la connaissance sacrée, comme la seule autorité dans toutes les questions de religion, et comme ayant reçu leur rôle sous Dieu dans ce système qui avait été ordonné par Dieu aux jours de Moïse. Et que faisaient-ils ? Ils « tinrent conseil contre Jésus pour le faire mourir » Il y avait là des hommes religieux, et des hommes instruits et influents au milieu du peuple, et cependant ces hommes haïssaient Jésus, et ils se réunissaient en conseil afin de comploter sa mort – pour Le faire crucifier et Le tuer. Ils étaient capables de parler de Dieu et de son culte, de Moïse et de la loi, du sabbat et de toute la religion juive. Mais ils haïssaient Christ.
Souvenez-vous de ce fait si solennel ! Les hommes peuvent être très religieux, même des conducteurs et des docteurs pour les autres, et cependant haïr le Christ de Dieu. C’est une leçon solennelle à apprendre dans ce palais de Caïphe, le souverain sacrificateur. La religiosité n’est pas Christ ; au contraire, les hommes les plus zélés dans la religion ont souvent été ceux qui ont haï le plus amèrement et avec la plus grande véhémence ce Sauveur béni.
D’après the Lord is near avril 1985 (C.H.M.)
« Moi, je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, celui-là vous le recevrez ». Jean 5. 43.
L’ORGUEIL, LE GRAND MAL CHEZ L’HOMME
Cet orgueil de l’homme qui recherche l’honneur de la part de l’homme est vraiment aveugle. Pourtant ce grand mal prédomine de façon alarmante dans toute notre société aujourd’hui. Sans avoir conscience, honnêtement, d’être sous le regard de Dieu, l’homme devient, d’une part d’une arrogance d’acier et d’autre part d’une ignorance lamentable. Mais le Fils du Dieu, béni, est venu, ne recherchant aucun honneur de la part de l’homme, mais l’honneur qui vient de Dieu seul. Car Il est venu au nom de son Père, recherchant exclusivement l’honneur de son Père. Les hommes fiers et se recherchant eux-mêmes n’ont pas compris cela. Il ne les a pas flattés pour obtenir leur faveur. Ils n’ont pas voulu Le recevoir, car ils n’avaient dans le cœur aucun respect réel pour son Père.
Un autre viendra en son propre nom, faisant honorer son nom, s’exaltant lui-même, et Israël, dans son ignorance, le recevra. C’est, évidemment, « l’homme de péché » de 2 Thessaloniciens 2. 3 à 10, appelé en 1 Jean 2, l’Antichrist. Cet homme étalera l’orgueil de la chair, mais ses prétentions se termineront brusquement dans une humiliation totale. Comment les Juifs pouvaient-ils croire au Fils de Dieu, doux et humble, aussi longtemps qu’ils manifestaient le même orgueil que celui de l’antichrist, recherchant l’honneur de simples humains ? Ils n’avaient pas dans leurs pensées le désir de recevoir l’approbation de Dieu.
Si nous admirons le dévouement parfait de notre Seigneur pour le Père, que son exemple nous impressionne profondément afin que nous puissions rechercher l’approbation de Dieu seul, en L’honorant dans nos actes et nos paroles.
D’après the Lord is near avril 1985 (L.M.G.)
« Notre Sauveur Jésus Christ, qui a annulé la mort ». 2 Timothée 1. 10.
« Dieu l’a ressuscité, en déliant les douleurs de la mort, puisqu’il n’était pas possible qu’il soit retenu par elle ». Actes 2. 24.
POUR CELUI QUI CROIT EN JÉSUS, LA MORT EST VAINCUE
Tandis que l’Écriture insiste fortement sur la gravité et la puissance de la mort, il y a de nombreux passages qui en parlent en contraste avec la puissante action de notre Seigneur qui en a annulé le pouvoir, en l’éteignant et la désarmant de manière infiniment puissante.
L’homme, dans sa chute, a déshonoré Dieu, et cela a entraîné une grande perte pour lui. La désobéissance et la rébellion ont amené inévitablement mort et jugement. Mais un autre Homme a affronté la mort, non parce qu’elle est inévitable, mais de son propre accord, en humilité et totale obéissance, en parfaite soumission, et en cela « même la mort de la croix ».
Quelle gloire immense et excellente éclaire cette scène sombre de la mort de notre bien-aimé Seigneur. Il a changé la mort en un endroit où Dieu a été glorifié, en une place de triomphe, et en écartant tout adversaire ! Comme Goliath, l’ennemi a été mis à mort par sa propre épée. La captivité a été rendue captive, et la délivrance et la liberté sont venues à ceux qui reçoivent le bénéfice de cet acte sublime de sacrifice et d’amour. L’amour divin s’est montré plus fort que la mort. La force de l’opposition de l’ennemi à Dieu a été le moyen de la contre-attaque de Dieu contre lui !
D’après the Lord is near avril 1985
« Que rien ne se fasse par esprit de parti ou par vaine gloire ; mais que, dans l’humilité, l’un estime l’autre supérieur à lui-même, chacun ne regardant pas à ce qui est à lui, mais chacun aussi à ce qui est aux autres ». Philippiens 2. 3 et 4.
LES RELATIONS ENTRE CHRÉTIENS
La Bible nous montre que la vie de notre pensée est un aspect extrêmement important et vital du fait d’être un chrétien. Ce que nous sommes est largement déterminé par la manière dont nous pensons. Proverbes 23. 7 dit : « Comme il a pensé dans son âme, tel il est ».
Un esprit humble est une part importante du contrôle de son esprit. Cependant, on parle beaucoup plus de la responsabilité de combattre l’orgueil que de mettre cela en pratique. Le passage ci-dessus, de Philippiens 2 nous donne quelques indications sur la manière d’acquérir l’humilité de l‘esprit. Le verset 3 nous donne des conseils très pratiques pour commencer à identifier notre tendance à l’orgueil. Ne pensez jamais que vous êtes meilleur ou plus grand que la personne avec qui vous avez à faire – même si vous êtes plus grand ou plus riche ou plus âgé, ou de figure plus plaisante, ou plus athlétique… En fait, considérez toujours « l’autre » comme plus important que vous-même.
Il est certain que quelques-uns des chrétiens de l’assemblée de Philippe étaient plus doués que d’autres, que certains portaient plus la charge que d’autres, et que certains étaient plus spirituels que d’autres. Et cependant les conseils de Dieu dans cette situation étaient pour chacun, de regarder chaque autre frère comme une personne plus importante que soi !
Vous pouvez être certains que si nous suivions cette ligne de pensée, le problème de l’orgueil serait résolu et que nous aurions plus de contrôle sur notre esprit. Un chrétien fier a l’apparence d’avoir toutes choses, mais l’orgueil non retenu ressort toujours à la vue des autres, par des vagues méchantes, et il est un signe sûr d’un esprit non surveillé devant Dieu.
D’après the Lord is near avril 1985