LE FILS BIEN-AIMÉ DU PÈRE

« Et voici une voix qui venait des cieux : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir » Mat. 3. 17.

LE FILS BIEN-AIMÉ DU PÈRE

À deux reprises, dans la vie du Seigneur Jésus sur la terre, la voix de Dieu s’est faite entendre pour déclarer : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j’ai trouvé mon plaisir ».

La première fois, c’est sur la rive du Jourdain, quand Jésus s’est fait baptiser par Jean le Baptiseur (Mat. 3. 17). La seconde fois, c’est sur la montagne où Il a été transfiguré, Son visage devenant resplendissant comme le soleil (Mat. 17. 5).

Le regard de Dieu suit continuellement ce qui se passe sur la terre. Depuis le début de l’histoire de l’homme sur la terre, Il a toujours eu sous les yeux le spectacle du péché qui marque toute chose de son empreinte malfaisante.

Aucun être humain n’a jamais mérité l’approbation de Dieu. Seul le Seigneur Jésus, l’Homme obéissant à la volonté divine jusqu’au sacrifice de Sa propre vie (Jean 10. 17, 18), a reçu ce témoignage de l’approbation divine : « J’ai trouvé mon plaisir en lui ».

C’était la première fois que Dieu exprimait Sa pleine satisfaction au sujet d’un homme. Ainsi, en Christ, se trouvait accompli ce que les anges avaient proclamé à Sa naissance : « Sur la terre, paix ; et bon plaisir dans les hommes ! » (Luc 2. 14).

Jésus, le Fils bien-aimé du Père, quoique possédant la puissance de Dieu, est venu sur la terre « prenant la forme d’esclave » (Phil. 2. 7). Il est devenu véritablement Homme, tout en demeurant le Fils éternel de Dieu, absolument sans péché. Sa vie a été parfaite et sans aucun reproche.

Inclinons-nous devant le témoignage d’un tel amour manifesté dans la Personne unique du Seigneur Jésus ; et, comme l’a dit la voix venant du ciel : Écoutons-le ! (Mat. 17. 5).

D’après « Il buon seme » août 2023