
Le miroir
« Car si quelqu’un écoute la Parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui observe son visage naturel dans un miroir : il s’est observé lui-même, s’en est allé, et aussitôt il a oublié comment il était » Jac. 1. 23 et 24.
Dans la vie quotidienne, nous nous regardons dans un miroir pour vérifier si nous avons l’air correct et, si besoin est, nous apportons les améliorations nécessaires à notre aspect.
Le même principe s’applique à notre vie spirituelle, et notre miroir, c’est la Parole de Dieu, la Bible. Elle décrit ce que la nature humaine est capable de faire ou de penser, et elle nous informe de ce qui est conforme ou non à la nature de Dieu.
Dans sa seconde partie, le Nouveau Testament, la Bible nous parle du Seigneur Jésus. Lire la Bible, c’est écouter Dieu, qui s’adresse à notre cœur et à notre conscience.
Après que le roi David eut gravement péché, en prenant la femme d’un de ses soldats, puis en faisant mettre à mort celui-ci (voir 2 Sam. 12. 1 à 14), le prophète Nathan, envoyé par Dieu, lui a fait le récit d’un riche propriétaire, qui possédait de nombreux troupeaux. Pour préparer un repas pour un invité, cet homme avait pris l’unique petite brebis d’un homme pauvre. Le roi fut indigné par ce récit, et quand le prophète lui a dit : « Tu es cet homme », sa conscience, restée jusque-là insensible, a été touchée. Conscient du mal qu’il avait commis, David s’est profondément humilié et a demandé pardon à Dieu.
Le message de la Parole de Dieu est révélateur, elle nous montre ce qui honore Dieu dans notre vie et nous encourage à y persévérer ; elle nous indique aussi ce qui est mal et comment l’éviter.
Nous vous proposons de considérer un court livre de la Bible qui est très actuel, l’épître de Jacques. Les passages que nous examinerons nous feront connaître la pensée de Dieu à l’égard des attitudes et des comportements qui peuvent se faire jour même parmi ceux qui se disent chrétiens.
Demandons à Dieu de nous aider à vivre une vie conforme à Sa volonté !
- Le croyant qui doute
« Et si l’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans faire de reproches, et elle lui sera donnée ; mais qu’il demande avec foi, sans douter en rien ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, que le vent agite et soulève » Jac. 1. 5 et 6.
Le croyant possède une ressource extraordinaire qu’il peut utiliser à tout moment et en toutes circonstances : c’est la prière. Prier signifie tout simplement parler à Dieu. Il est important de prier avec foi et dans la confiance que Dieu peut et veut répondre à nos prières. Nous devons reconnaître que lorsque nous prions nous doutons souvent, peut-être même inconsciemment, de la réponse de Dieu.
Au temps des apôtres, Pierre avait été fait prisonnier par le cruel roi Hérode, qui avait probablement l’intention de le faire décapiter, comme l’avait été Jean le baptiseur quelques années auparavant. Les chrétiens de cette ville se sont alors réunis dans une maison afin de prier pour Pierre (Act. 12).
Dieu répondit à leurs prières : Pierre a été miraculeusement libéré par un ange, alors qu’il était enchaîné et surveillé par plusieurs soldats, et enfermé derrière une porte de fer. Désormais libre, en pleine nuit, il s’est dirigé vers la maison où il savait que les croyants avaient l’habitude de se retrouver. Il a frappé et une servante est venue à la porte pour demander qui était ce visiteur inattendu. En reconnaissant la voix de Pierre, sa joie a été telle qu’elle a oublié d’ouvrir la porte et s’est précipitée pour apporter la bonne nouvelle aux croyants réunis en prière.
Quelle a été leur réaction ? Que lui ont-ils répondu ? – « Tu es folle » (Act. 12. 15) ! Quand enfin ils ont ouvert la porte et vu Pierre, ils ont pris conscience de la grandeur et de la puissance de Dieu. Dieu avait répondu à leur foi et à leurs prières, d’une manière qui dépassait toute imagination ! N’est-Il pas Celui « qui peut faire infiniment plus que tout ce que nous demandons ou pensons » (Éph. 3. 20) ?
- Le croyant confiant
« La fervente supplication du juste peut beaucoup. Élie était un homme ayant les mêmes penchants que nous : il pria avec instance pour qu’il ne pleuve pas, et il ne tomba pas de pluie sur la terre pendant trois ans et six mois ; il pria de nouveau, et le ciel donna de la pluie » Jac. 5. 16 à 18.
La prière fervente est l’opposé d’une prière faite du bout des lèvres, sans conviction. C’est une prière qui attend avec patience une réponse précise. C’est ainsi que le prophète Élie priait. Quand on lit les chapitres 17 et 18 du 1er livre des Rois, on comprend que c’est Dieu qui a empêché la pluie de tomber pendant trois ans et six mois, et qu’Il avait conseillé à Élie de se cacher près d’un torrent où il a été miraculeusement nourri par des corbeaux qui lui apportaient à manger du pain et de la viande. C’est aussi Dieu qui fit revenir la pluie. Toutefois, Jacques, inspiré par le Saint Esprit, nous révèle que Dieu a agi ainsi en réponse à la fervente prière du prophète.
Le patriarche Isaac a prié pendant vingt ans pour avoir un fils, sachant pourtant que sa femme était stérile (Gen. 25. 20 à 26). On pourrait s’étonner que Dieu ait mis si longtemps à lui répondre ; Isaac aurait aussi pu se lasser et cesser de prier. Cependant, Dieu a un plan pour chacun de nous, et Il veut parfois éprouver notre foi, non pas pour nous amener à douter ou pour nous décourager, mais, au contraire, pour que nous apprenions à placer notre foi en Lui seul.
Un croyant qui se confie habituellement en Dieu pour tous les détails de sa vie, Lui présentera sans hésitation les situations difficiles qui l’atteignent au plus profond de son cœur, et qui, peut-être, humainement, apparaissent sans solution.
Prions avec foi, avec persévérance, seul ou avec d’autres croyants. Dieu répondra, pour notre bien, à Sa manière et au moment qu’Il estimera être le bon moment.
- Celui qui allume un feu
« … la langue est un petit membre et elle se vante de grandes choses. Voyez comme un petit feu peut allumer une grande forêt ! Et la langue est un feu… de la même bouche sortent la bénédiction et la malédiction. Mes frères, il ne devrait pas en être ainsi » Jac. 3. 5 à 10.
Qui ne se rappelle pas avoir prononcé des paroles hors de propos, inconvenantes ou insensées, qui ont eu le même effet qu’un feu qui, dévorant bois et buissons, détruit tout sur son passage, laissant des traces encore visibles des années plus tard ? Dans sa lettre, Jacques, s’adressant à des croyants qui n’étaient pas à l’abri de ces dangers, donne des enseignements auxquels, encore aujourd’hui, nous devons prêter attention. Combien de communautés chrétiennes, mais aussi combien de familles, de liens d’amitié et même conjugaux, ont été détruits par les critiques, les médisances, les calomnies… Rapporter, critiquer, répandre une calomnie, peut avoir de graves conséquences :
– La division : « Celui qui répète une chose divise les intimes amis » (Prov. 17. 9) ;
– Les querelles : « Faute de bois, le feu s’éteint ; et, quand il n’y a plus de rapporteurs, la querelle s’apaise » (Prov. 26. 20) ;
– L’indignation : « Le vent du nord enfante les averses ; et les visages indignés, une langue qui médit en secret » (Prov. 25. 23) ;
– La souffrance : « L’homme qui rend un faux témoignage contre son prochain est un marteau, et une épée, et une flèche aiguë » (Prov. 25. 18). « Il y a tel homme qui dit légèrement ce qui perce comme une épée » (Prov. 12. 18). Notons que ce dernier Proverbe ajoute qu’à l’opposé : « … la langue des sages est santé ».
Le faux témoignage et la jalousie des chefs du peuple ont conduit le Seigneur Jésus à la croix. Nous sommes exhortés à refuser la méchanceté, le mensonge, l’hypocrisie, l’envie et toutes médisances (1 Pier. 2. 1).
- Le croyant qui calme
« La sagesse d’en haut est premièrement pure, ensuite paisible, modérée, conciliante, pleine de miséricorde et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie. Or le fruit de la justice, dans la paix, est semé pour ceux qui procurent la paix » Jac. 3. 17 et 18.
Nous pouvons tous, en usant de paroles inappropriées, allumer un « incendie » qui produira de grands dommages. Mais nous pouvons aussi faire partie de ceux qui savent empêcher ou éteindre les incendies, non pas avec de l’eau, mais avec la sagesse de Dieu, qui est puissante.
Les chapitres 7 et 8 du livre des Juges nous rapportent l’histoire de Gédéon (cinquième juge d’Israël, de la tribu de Manassé) et de sa victoire contre Madian, un peuple voisin et ennemi. De nuit, Gédéon, avec 300 hommes, guidés par la sagesse de Dieu, ont silencieusement encerclé le camp de leurs ennemis Madianites. Sur l’ordre de Gédéon, les soldats sonnent de la trompette, brandissent leurs torches allumées et s’écrient : « L’épée de l’Éternel et de Gédéon ! » (Jug. 7. 20). L’ennemi, croyant être entouré de toutes parts par une grande armée, s’enfuit ; plusieurs autres tribus d’Israël se joignent à la poursuite, et Dieu leur donne la victoire.
Mais alors, quelques hommes d’une autre tribu, Éphraïm, qui n’avait pas été appelée au combat, contestent fortement avec Gédéon. Mais il leur répond paisiblement et avec douceur, en mettant en avant leurs qualités. « Alors leur esprit s’apaisa envers lui, quand il leur eut dit cette parole » (Jug. 8. 3). Salomon a écrit : « Une réponse douce calme la fureur » (Prov. 15. 1).
Quels devraient donc être les caractères du croyant ? La douceur, la recherche du bien, de ce qui est juste, de tout ce qui contribue à la paix. Nous manquons tous de sagesse, mais les paroles de l’apôtre Jacques nous encouragent à la demander à Dieu : « Si l’un de vous manque de sagesse, qu’il demande à Dieu qui donne à tous libéralement sans faire de reproches, et elle lui sera donnée » (Jac. 1. 5).
- Le croyant adultère
« Adultères, ne savez-vous pas que l’amitié du monde est inimitié contre Dieu ? Ainsi, quiconque voudra être ami du monde se constitue ennemi de Dieu » Jac. 4. 4.
Commettre adultère, dans le langage courant, signifie trahir son propre conjoint. Demandons à Dieu de nous aider à ne jamais céder à ce péché dont les tristes conséquences sont souvent dramatiques, et pas seulement pour nous. Mais, dans le verset cité, l’apôtre se réfère plutôt à l’adultère spirituel. Certains chrétiens, après avoir aimé et suivi le Seigneur, se sont éloignés pour suivre les nombreuses idoles qu’offre le monde. Dans l’Ancien Testament, le peuple d’Israël s’est souvent éloigné du Dieu vivant pour adorer des idoles de bois et de pierre.
Aujourd’hui, dans nos pays dits christianisés, les idoles peuvent prendre de multiples formes : argent, mode, sport, sexe, smartphone, internet, etc. Même des activités légitimes peuvent prendre la place de Dieu dans notre cœur, et devenir de véritables idoles. Elles sont dangereuses, car elles ont une belle apparence mais, en réalité, elles nous éloignent de Dieu.
Qu’est-ce que Dieu attend des croyants ? Certainement pas qu’ils abandonnent leurs activités et leurs loisirs. Il désire plutôt être présent dans leur vie quotidienne, être au centre de leurs pensées et de leurs relations, être Celui vers lequel ils se tournent en premier, parce qu’Il les aime.
Le Seigneur a-t-Il effectivement, sans compromis, la place d’honneur dans notre vie ? Notre christianisme doit être vécu avec joie, avec le désir d’honorer notre Dieu et Père, non pas comme une contrainte ou une restriction. Si nous faisons entrer Dieu dans notre quotidien, notre vie chrétienne prendra une autre dimension. Nous considérerons nos tentations intérieures comme mortes et les choses matérielles occuperont leur juste place dans notre cœur.
- Le croyant qui se repent
« Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs, et purifiez vos cœurs, vous qui êtes double de cœur. Sentez vos misères, menez deuil et pleurez… Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera » Jac. 4. 8 à 10.
Le sacrifice de Jésus Christ à la croix a la puissance de sauver quiconque se reconnaît pécheur devant Dieu et croit en Lui. Le croyant devient ainsi l’un de Ses enfants. La beauté de l’Évangile, c’est qu’il s’adresse non seulement au pécheur, mais aussi au croyant né de nouveau. En effet, ce dernier, même comme fils, peut lui aussi se laisser surprendre à commettre le mal ou à y penser.
En lisant notre Bible, nous constatons qu’il y a dans notre vie des choses que Dieu ne peut pas approuver. Les péchés ne nous font pas perdre notre salut – nous l’avons reçu lors de notre conversion à Jésus – mais ils obscurcissent notre relation avec Dieu. Dieu nous aime toujours comme des fils, mais Il est un Dieu saint.
Le croyant qui a péché sait que tout n’est pas perdu, car les ressources de la grâce de Dieu sont immenses. Il est toujours possible de revenir à Lui et de se repentir afin de remettre sa vie en ordre. Il ne s’agit pas de se convertir à nouveau, mais de reconnaître nos fautes devant Dieu. « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité » (1 Jean 1. 9). L’iniquité, c’est tout ce qui n’est pas juste selon Dieu.
La confession s’accompagne de la repentance, c’est-à dire du profond regret du mal que nous avons commis, ainsi que du désir et de l’engagement de ne plus le commettre.
Le pardon nous est acquis une fois pour toutes lors de notre conversion, mais vivre dans une communion quotidienne avec Dieu nous impose de Lui confesser nos erreurs. Nous serons ainsi pardonnés grâce au sacrifice de Jésus Christ accompli à la croix.
- Le croyant « indépendant »
« À vous maintenant, qui dites : Aujourd’hui ou demain nous irons dans telle ou telle ville et nous y passerons une année, nous ferons des affaires et nous gagnerons de l’argent, vous qui ne savez pas ce qui arrivera le jour de demain… ; au lieu de dire : Si le Seigneur le veut, et si nous vivons, nous ferons aussi ceci ou cela » Jac. 4. 13 à 15
L’indépendance et l’autonomie sont des valeurs importantes dans la société dans laquelle nous vivons. Pour un chrétien, toutefois, la question essentielle doit être toujours : Où est-ce que Dieu intervient dans mes projets ? Dieu est en fait le seul qui puisse guider les croyants vers une vie spirituellement pleine et utile à Ses yeux. Et pourtant, très souvent, nous ne Le consultons pas lorsque nous faisons nos choix de vie, avec le risque de devoir nous repentir par la suite de ne pas l’avoir fait.
Jésus avait dit à Ses disciples que, après Sa résurrection, Il les précéderait en Galilée. Ils s’étaient donc rendus là où le Seigneur désirait les revoir (Jean 21. 1 à 14), mais leur vie avait déjà repris son cours normal : ils étaient retournés aux activités qui étaient les leurs avant qu’ils deviennent des disciples de Jésus, comme si une parenthèse de leur existence venait de se refermer.
Simon Pierre avait décidé d’aller pêcher, et ses amis l’avaient accompagné. Nous aussi, dans des moments de crise spirituelle, nous sommes prompts à agir selon nos impulsions personnelles, comptant sur nos propres forces. Le Seigneur avait dit aux Siens : « Séparés de moi, vous ne pouvez rien faire » (Jean 15. 5), et pourtant nous les trouvons en train de pêcher pendant la nuit, sans le Seigneur. Mais les heures passent et leurs filets restent vides. Au matin, Jésus vient vers eux, les invite à jeter de nouveau le filet et, cette fois, ils ont du mal à le sortir hors de l’eau tellement il contient de poissons !
Prendre nos décisions d’une façon indépendante, en excluant Dieu, nous amènera souvent à affronter de durs échecs et des déceptions, et à prendre des risques sans en peser les conséquences.
Cher lecteur, apprenez à mettre Dieu au centre de votre vie et à rechercher Son aide, quelles que soient les circonstances dans lesquelles vous vous trouvez. Appuyez-vous sur ce que dit la Bible pour comprendre quelle est Sa volonté pour vous. Alors, votre vie sera transformée.
- Être guidés par Dieu
« Voici, le cultivateur attend le fruit précieux de la terre : il prend patience à son égard, jusqu’à ce qu’il reçoive les pluies de la première et de la dernière saison. Vous aussi, prenez patience ; affermissez vos cœurs, car la venue du Seigneur est proche » Jac. 5. 7 et 8.
Comme l’agriculteur se laisse guider par les cycles des saisons pour savoir à quel moment il doit semer, moissonner ou récolter ce qu’il a planté, ainsi le croyant ne peut pas ignorer les indications qui lui sont données d’en-haut.
Si le cultivateur trouve ses directives dans les saisons, le croyant est appelé à chercher les siennes auprès de Dieu, qui le guide par le moyen de l’Esprit Saint. Dans le livre des Actes, nous trouvons le récit des différents voyages que l’apôtre Paul a accomplis pour prêcher l’Évangile. Nous lisons que le Saint Esprit l’a empêché d’annoncer la Parole en Asie, et ensuite, ne l’a pas autorisé à aller en Bithynie, où l’apôtre aurait souhaité se rendre (Act. 16. 6 et 7). À travers la vision d’un Macédonien, qui l’appelait à l’aide, Paul a compris qu’il devait se diriger vers l’Europe (Act. 16. 9 et 10).
Chacun de nous, dans sa vie, est appelé à prendre des décisions importantes qui auront, à court ou à long terme, des conséquences évidentes : Où poursuivre des études ? Où s’établir ? Acheter ou louer un logement ? Où et comment investir son épargne ? Se marier, et avec qui ? Comment rencontrer le conjoint avec qui partager sa vie ? Quel service le Seigneur m’invite-t-il à accomplir ? Comment apporter une aide concrète à ceux qui ont le plus de besoins, aux personnes âgées, aux personnes en situation de handicap, aux jeunes, aux enfants, et aux familles ?… Les questions sont multiples et concernent les différents aspects de notre existence.
Le croyant doit chercher à dépendre de Dieu, non seulement pour s’orienter dans les choix importants de son existence, mais aussi dans tous les aspects de sa vie quotidienne. Alors il entendra la voix de Dieu qui lui promet : « Je t’instruirai, et je t’enseignerai le chemin où tu dois marcher ; je te conseillerai, ayant mon œil sur toi » (Ps. 32. 8).
D’après « Il buon seme » juin 2023