LE REGISTRE DU PÉCHÉ

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L’heure vient où tous ceux qui sont dans les tombeaux entendront sa voix (du Fils de Dieu) ; et ils sortiront, ceux qui auront pratiqué le bien, pour une résurrection de vie ; et ceux qui auront fait le mal, pour une résurrection de jugement. Jean 5. 28 et 29.
Le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus, notre Seigneur. Rom. 6. 23.

 

LE REGISTRE DU PÉCHÉ

 

Le titre d’un article en première page d’un journal, il y a quelques années était : Le registre du péché s’allonge toujours plus. Il s’agissait d’un reproche, de l’opposition au gouvernement, au sujet de décisions politiques qui avaient été prises, qui semblaient erronées, et même malhonnêtes et louches sur plusieurs points.
On peut être surpris que, dans un tel contexte, le mot « péché » ait été employé, car il est aujourd’hui complètement tombé en désuétude lorsqu’il s’agit de comportements individuels inconvenants et immoraux. Dans le meilleur des cas, mais sur un ton moqueur, on parle de « péché » quand on ne se tient pas rigoureusement aux directives d’un régime alimentaire, et qu’on se laisse aller au « péché » de gourmandise. Mais même dans ce cas, de toute façon, le registre des péchés est assez long…
Les hommes politiques qui sont accusés, très souvent à raison, savent que, probablement, ils devront rendre compte de leurs actes devant une commission d’enquête parlementaire, et en répondre devant un tribunal. Et ils savent aussi qu’aux prochaines élections, ils risquent de ne pas être réélus.
Mais, que nous devions rendre compte de nos péchés est un fait qui ne concerne pas seulement la politique ou les activités professionnelles, mais bien toute notre vie. Il ne sert à rien de chercher à se convaincre que Dieu n’existe pas, que nous n’aurons pas à Lui rendre compte de nos actes, qu’après la mort il n’y a plus rien…
Éloigner de ses pensées Dieu et le concept même du péché, est un grave « péché » qui s’ajoute à tous les autres et duquel on devra répondre, un jour, devant le Juge suprême.
Les exigences de Dieu ne changent pas en fonction de nos idées ; le fait de ne pas croire en Lui n’enlève rien à la responsabilité que nous avons vis-à-vis de Lui et ne diminue pas du tout notre faute.
Nous sommes tous pécheurs. L’histoire de l’humanité le dit et, surtout, la Parole de Dieu l’affirme en termes clairs : « Il n’y a pas de juste, non pas même un seul… ils se sont tous détournés, ils se sont tous ensemble rendus inutiles… il n’y a pas de crainte de Dieu devant leurs yeux » (Rom. 3. 11 à 18). Si nous examinons notre vie, notre comportement, nos pensées, les preuves en sont plus qu’évidentes pour nous.
Bientôt, lorsque notre vie sur la terre arrivera à son terme, nous devrons tous comparaître devant Dieu : « Il est réservé aux hommes de mourir une fois – et après cela le jugement » (Héb. 9. 27). Celui qui ne croit pas ou qui s’imagine pouvoir compenser ses péchés par de bonnes œuvres, sera condamné de la même manière lorsqu’il devra comparaître devant le tribunal de Dieu (Rom. 14. 10).
Mais il y a un moyen d’éviter la condamnation – un seul, établi par Dieu Lui-même : Lui confesser nos péchés et croire que le Seigneur Jésus Christ en a payé le jugement pour nous à la croix.
« Quiconque croit en lui reçoit le pardon des péchés » (Act. 10. 43).
« Il n’y a de salut en aucun autre » (Act. 4. 12).
« Celui… qui croit celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement ; mais il est passé de la mort à la vie » (Jean 5. 24).
Dieu est amour et le sacrifice de Jésus, Son Fils, en est la preuve suprême. Croyez en Lui.

D’après « Paroles de grâce et de vérité »

 

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