PENSÉES SUR L’ÉDIFICATION DE L’ASSEMBLÉE

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PENSÉES SUR L’ÉDIFICATION DE L’ASSEMBLÉE

Dans l’Assemblée, « que tout se fasse pour l’édification » (1 Cor. 14. 26).

Désirons des dons de grâce. Le Seigneur se plaît à donner à ceux qui Lui demandent quelque chose selon Sa volonté. « N’en demande pas peu !»

Expressions vulgaires sous prétexte d’être mieux comprises, et qui finissent par ébranler les âmes. (A.G.)

« Prends ta part… » Ceci est une exhortation pour les jeunes frères, afin qu’ils prennent de l’action au sein de l’assemblée.

Nous n’aurions rien à dire, mais nous serions dans la présence de Dieu, que nous ne sortirions pas à vide.

Un don est donné pour tout le Corps. On peut exercer un don dans toute l’assemblée.

On peut exposer des vérités, on peut dire des choses justes, des choses qui peuvent toucher la conscience de l’auditoire, mais si cela n’est pas sous l’action du Saint Esprit, c’est vain. Ce qui compte, c’est l’édification de l’assemblée et non ce que nous disons.

Il est impossible de présenter de l’édification aux frères et sœurs sans en recevoir soi-même.

Le don n’est jamais pour notre propre bénéfice, mais pour le bien des autres.

Nous sommes toujours au-dessous de ce que nous prêchons.

Même si un frère est exercé pour présenter la Parole, en réunion d’édification, il est bon qu’il attende un moment – ce qui est un moment d’exercice pour l’assemblée. De toutes façons, s’il est guidé par l’Esprit, il parlera. S’il n’attend pas, c’est en quelque sorte frustrant pour les autres, et peut être inquiétant à son sujet.

Le ministère de la Parole, ce n’est pas raconter des anecdotes, mais prêcher la Parole.

Il est important de dire des choses profitables devant les auditeurs, plus que des choses agréables.

En parlant d’une manière incertaine, nous ne communiquons aux autres que nos propres doutes et nos ténèbres.

Une réunion, cela se prépare. Non pas en prenant des notes de ce que l’on va dire. C’est une préparation de cœur et de conscience.

Lire la Parole à travers des notes que nous avons pu écrire, n’est-ce pas offensant pour le Saint Esprit, et triste pour le Seigneur ?

Le don est pour les autres.

On doit avoir en vue l’édification du Corps du Seigneur (et non la recherche de l’approbation des autres).

Si un homme n’étudie pas sa Bible avec soin et prières, il aura peu à donner à ses lecteurs ou à ses auditeurs. Ceux qui travaillent dans la Parole doivent creuser pour eux-mêmes, et creuser profond.

Le mobile de tout ministère, c’est de ramener à Christ.

On ne peut pas présenter à ses frères quelque chose que l’on n’a pas médité. Ce n’est pas le livre des hommes, mais le livre de Dieu !

Il est nécessaire que nous nous nourrissions avant de nourrir le troupeau.

Les frères ont une grande responsabilité de puiser pour eux-mêmes, afin de pouvoir arroser.

L’instrument est responsable de laisser passer l’eau aussi pure qu’elle l’est à la source, dans la présentation de la Parole.

Il y a deux dangers : rester dans la réserve et ne jamais s’exprimer en assemblée, parler par habitude mais sans l’Esprit.

Le peuple de Dieu a besoin plus que jamais d’être consolé et édifié.

Le don doit être exercé dans un amour profond pour le Seigneur et pour l’assemblée.

Quand un frère présente la Parole, il doit avoir été exercé à ce sujet et il faut que, quand il parle, toute l’assemblée soit exercée.

Quand l’Esprit est libre, chacun reçoit.

L’église n’enseigne pas, elle est enseignée.

Désirons avec ardeur d’avoir un don, non pour notre gloire personnelle, mais pour le bien de l’assemblée.

Tout serviteur qui a un ministère ne sera jamais une source, mais seulement un canal.

Si nous ne recevons pas d’édification dans le rassemblement, posons-nous la question : cela vient-il de notre état personnel, ou de celui de l’assemblée ?

En assemblée, celui qui prie doit être la bouche de l’assemblée, celui qui édifie doit être la bouche de Dieu.

Nous entendons souvent les mêmes choses en assemblée, car l’Esprit de Dieu insiste pour que nous écoutions.

Lorsqu’un frère a quelque chose à exprimer dans l’assemblée, il faut que cela passe par son cœur.

Si je ne peux pas ouvrir la bouche pour édifier l’assemblée, je ne peux pas l’ouvrir pour critiquer.

Il est beaucoup plus agréable de dire quelque chose de sympathique plutôt que quelque chose qui dérange.

Aucun don n’a été donné pour l’auto-édification.

Nous pouvons avoir tendance à discréditer le message d’un serviteur, ou le serviteur lui-même.

La grande affaire, c’est d’être dépendant de Celui qui donne la parole, le passage, la pensée qu’il faut au moment même et pour la circonstance même.

Si quelqu’un parle, il doit le faire… dans la conviction qu’il apporte un message qui donne la pensée de Dieu pour le moment présent.

Le service d’un frère, ce n’est pas de dire des choses nouvelles, mais de chercher, avec le secours de l’Esprit, les choses qui nous font du bien.

Il y a 5% de don et 95% d’exercice. Ce n’est pas parce que j’ai un don que je ne dois pas être guidé par l’Esprit.

Si tu as cinq paroles placées sur ton cœur, tu les dois aux autres.

Si le Saint Esprit nous donne quelque chose, nous n’avons pas le droit de le retenir.

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