PENSÉES SUR LE SERVICE

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PENSÉES SUR LE SERVICE

Qu’il nous soit accordé de mettre à la banque du ciel ce que Dieu nous a confié !

Consommé : rendu propre à accomplir un service.

Le service, ce n’est pas faire, mais laisser faire le Seigneur.

Si nous faisons quelque chose par amour pour le Seigneur, nous aurons les yeux fixés, non sur notre œuvre mais sur le Seigneur seul.

Le Seigneur nous dira : Qu’as-tu fait de ce que je t’avais confié ?

Le Seigneur peut être obligé de renouveler Son personnel. Il n’a pas besoin de nous, et Le servir est une grâce.

Dieu ne nous laisserait pas sur la terre si nous n’avions pas quelque chose à y faire pour Lui.

« À chacun selon son ouvrage ». « À chacun selon sa capacité ».

Exemple de Samuel : il fermait et ouvrait les portes du temple (service simple).
Service d’Élisée : il versait de l’eau sur les mains d’Élie.

Dieu est avec nous dans le service.

Le service doit être accompli d’une manière qui soit agréable à Dieu, avec révérence et avec crainte (Héb. 12. 28)

Si l’un d’entre nous ne fait pas tout son service, fait plus que son service, ou fait un service autre que le sien, c’est au détriment de l’ensemble.

Marie de Magdala suivait Jésus et Le servait. Elle L’assistait de ses biens, elle se tenait près de la croix, elle courut au sépulcre, elle se tint près du sépulcre et pleura, elle alla voir les disciples pour leur dire qu’elle avait vu son Maître.

Le vrai serviteur se cachera toujours derrière Son Maître.

Il faut que la grâce de Dieu opère, pour que le serviteur sache se cacher derrière Son Maître.

Le Seigneur n’a pas besoin de nous, et pourtant Il désire nous employer.

Il faut garder, tout au long du service, la capacité de se laisser enseigner.

Quel usage faisons-nous des capacités que Dieu nous a données ? Servons-nous Dieu ou le roi de ce monde ?

« Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? » (1 Cor. 4. 7) Et ce que nous avons reçu, nous ne devons pas l’employer pour notre propre intérêt.

Rien, dans le service, ne doit être de nature à exalter le serviteur.

Le Seigneur veut préserver Ses serviteurs de tout orgueil spirituel.

Pour les jeunes croyants dans le service, il est nécessaire qu’ils aient du respect et de la convenance pour leurs aînés.

Le ministère public appartient aux hommes, celui des femmes est plus caché. La sphère de la femme demeure essentiellement celle de la maison, de la famille. La maison est le lieu propice à la prière.

Le premier des services que le Seigneur nous donne, c’est notre famille.

L’amour se plaît à servir.

Il est difficile de séparer le service du témoignage. « Vous serez mes témoins » (Act. 1. 8). Nous sommes toujours des témoins, même devant le monde invisible.

Le service n’est pas un travail. Nous sommes toujours au service.

Rom. 12. 3 à 8. Service envers l’assemblée ; v. 9 à 16 : service envers nos frères ; v. 17 à 21 : service envers tous les hommes.

Il ne faudrait pas choisir un service comme une profession.

Nous n’avons pas à choisir notre service, c’est Dieu qui le fait.

Il y a des moments où le service change. Nous sommes appelés à des services variés.

Chacun est en mesure d’expliquer l’évangile, s’il est converti, mais pas nécessairement de parler devant une foule en ayant la parole à propos.

Tout le témoignage ne repose pas sur des frères doués. Chacun a sa responsabilité, les sœurs comme les frères.

Le Seigneur ne va pas prendre quelqu’un qui n’a pas envie de servir.

L’exercice d’un service comporte d’abandonner certaines choses, ou au contraire, de s’attacher à d’autres.

« Prends garde au service que tu as reçu dans le Seigneur, afin que tu l’accomplisses » (Col. 4. 17).

Le service peut être l’occasion de vaincre sa timidité.

La timidité est naturelle mais pas recommandable (dans le service de la Parole). Si nous nous laissons arrêter par des obstacles, il y aura toujours des obstacles.

Nous ne sommes pas à la réunion en tant que spectateurs. Nous y participons.

Lorsque quelqu’un prie, et que l’assemblée dit « Amen », elle accomplit un service.

Tous les instruments sont faibles. Plus un serviteur est faible, plus Dieu Se glorifie.

Le danger de s’occuper du fruit, c’est d’oublier Celui qui est la source de la sève.

Servir, ce n’est pas forcément avoir un service d’évangéliste, mais cela réside dans chaque acte, dans chaque parole que nous disons. Chacun de nous a un service que le Seigneur lui confie, et cela tout au long de sa vie.

On ne peut pas accomplir un service si l’on est marqué de quelque manière que ce soit par le péché.

Dès que je suis sauvé, je suis dénombré, je suis un serviteur (fils de Lévi).

L’appel ne se fait pas tout de suite, mais il est la suite d’un long travail de cœur.

Pour pouvoir réaliser le service, il faut d’abord prendre conscience que l’on n’est rien.

La base du service, c’est la disponibilité.

Le service se commence à genoux.

Celui qui est appelé et qui ne répond pas perd beaucoup, mais Dieu ne perd rien car Il emploi un autre à sa place.

Personne n’est écarté du service. Même un invalide peut servir.

Ce n’est pas en arrivant à la retraite que l’on doit se mettre au service du Seigneur.

Nous sommes toujours au service du Seigneur jusqu’à notre dernier jour.

Le Seigneur ne revendique jamais le service de celui qu’Il a sauvé. C’est la liberté de l’amour.

On ne choisit pas un service. C’est le Seigneur qui le place devant nous.

Le témoignage de l’évangile n’est pas le propre de l’assemblée. C’est un service individuel. L’assemblée n’est pas le porte-parole de Dieu.

Un service ne s’exerce pas sur un terrain d’indépendance, chacun faisant ce qui est bon à ses yeux. Il est nécessaire que la communion dans le service soit réalisée.

Nous avons tendance à rabaisser le service à un rôle négatif (par exemple, en disant que nous ne sommes que des canaux), mais nous devons montrer un esprit d’initiative (intelligence spirituelle).

Ce qui compte avant tout, ce n’est pas ce que nous faisons pour Dieu, mais pourquoi nous le faisons.

La récompense donnée par Christ dépasse toujours la fidélité.

Il ne faut pas faire des œuvres pour faire des œuvres. Il faut qu’elles soient faites par la foi.

La vraie grandeur du chrétien, c’est de servir sans être vu et de travailler sans être remarqué.

Le service chrétien, c’est de mettre le Seigneur en avant et de disparaître soi-même.

Le service obscur, secret, caché : le service pour l’œil de Dieu.

Nous n’aimons pas rester seuls, surtout dans le service !

Suivre Christ dans le service implique dépendance et soumission.

Dans le service, il n’y a qu’un seul Maître.

La constatation d’un besoin ne constitue pas forcément un appel à un service !

La chair n’a aucun droit et aucune place dans le service, ni dans le sein de l’assemblée.

Dans le service, il ne doit y avoir ni concurrence, ni jalousie.

Le Seigneur veut que nous soyons prêts à partir pour Son service.

La caractéristique d’une bonne œuvre est d’être faite pour le Seigneur et au nom du Seigneur. Ceci n’a rien à voir avec les bonnes œuvres du monde, de la chrétienté professante, qui sont faites sans Dieu.

Différents sens de servir : être esclave, rendre culte, donner des soins, et se dévouer.

Nous n’avons pas le droit de choisir notre service, c’est le Seigneur qui le donne.

Le service envers les frères n’exclut pas le service envers le monde et ne peut conduire à le déprécier, et vice-versa.

Tout ce qui n’est pas fait avec le cœur perd de sa valeur.

Celui à qui l’on a fait du bien doit toujours s’en souvenir, et celui qui l’a fait doit toujours l’oublier !

Une bonne œuvre, c’est ce qui est fait pour Christ, par amour pour Lui.

Le service et l’assemblée sont intimement liés.

On peut servir le Seigneur en faisant l’humble travail de chaque jour.

La véritable fin de tout service, c’est que la gloire revienne à Dieu.

C’est Dieu qui nous donne l’ouvrage pour Le servir, ce n’est pas à nous à chercher l’ouvrage.

Il n’y a pas de chômage dans l’œuvre de Dieu.

C’est dans le secret de la communion avec le Seigneur que l’on discerne le service qu’Il veut nous confier.

Dans le service, il faut se débarrasser de notre grand ennemi : le moi. Ce peut être une entrave. Porter le mourir de Jésus (2 Cor. 4. 10) en rapport avec le service, c’est être esclave de Christ.

Deux dangers : l’esprit d’indépendance, et la crainte des autres. Quels sont mes motifs ? Est-ce l’œuvre de Dieu dans laquelle je rentre ?

Être près du Seigneur : clé du service.

Humilité : ce que l’on était obligé de faire, on l’a fait.

Un serviteur engage par son service la vie du Corps. Il peut recevoir la communion pratique dans ce service par la main d’association de l’assemblée. Il nous faut être soumis les uns les autres dans la crainte de Christ.

Le Seigneur n’appelle pas des gens oisifs. Il n’attend pas que nous lui donnions les restes de notre vie.

Il faut être disciple avant d’être apôtre. Il faut suivre Christ pour Le servir. Disciple : celui qui suit l’enseignement du Maître. Apôtre : celui qui est envoyé par le Maître (Jean 20. 21).

L’amour aime à servir, non pas à être servi.

Ceux dont Dieu se sert, ne serait-ce que pour le service d’un jour, ont souvent été longtemps préparés en secret.

La visite des âmes forme un serviteur.

Christ seul envoie, un serviteur ne peut pas en envoyer un autre.

Dieu n’a pas besoin de notre service, mais Il attend que nous le lui offrions.

Il y a des moments pour écouter et des moments pour servir.

Le Seigneur note ce qui est fait pour Lui, même si cela est fait d’une façon obscure.

Le serviteur n’est pas propriétaire de son service. Il peut laisser un autre prendre la suite, si Dieu le juge bon.

Nos vies ne sont-elles pas stériles parce que nous manquons de dépendance et de disponibilité ?

Nous devons passer plus de temps dans le secret avec le Seigneur que dans le service pour Lui. Le Seigneur apprécie plus notre présence avec Lui que notre service.

Ne gaspillons pas notre vie : employons-la pour Lui.

Que le Seigneur nous donne d’être disponibles !

Le Seigneur peut nous confier un service ignoré de tous, sauf de Lui.

Tout ce que l’on fait dans l’ombre n’est pas oublié de Dieu.

Le danger, pour les serviteurs, est de penser être quelque chose.

Le serviteur ne doit pas chercher à faire de grandes choses, mais à mieux connaître son Maître.

Il nous faut attendre l’heure de Dieu pour Le servir.

Nous avons à discerner les occasions que le Seigneur nous donne de Le servir ici-bas.

Ce qui nous est confié dépend de notre connaissance du Maître.

Tout service doit être fait avec un profond amour pour les âmes.

Avant de servir le Seigneur, nous avons à connaître la pensée de Dieu en lisant Sa Parole.

Le service public représente un bien petit pourcentage du service qui est accompli dans l’ombre pour le Seigneur.

Si le Seigneur nous demande quelque chose, Il fournit aussi les ressources pour l’accomplir.

Est-ce que nous réalisons que pouvoir servir Dieu est un privilège qui nous est accordé ?

Un petit service aux yeux des hommes peut être – suivant comment il est accompli – grand aux yeux de Dieu.

Le serviteur du Seigneur doit être fidèle à tout prix. Son approbation vaut infiniment mieux que celle des hommes.

Posons-nous la question : Qu’est-ce que je peux faire pour être utile à mon frère ?

Ce qui compte dans le service, c’est l’obéissance : être là où le Seigneur veut que nous soyons.

Il s’agit de servir et de suivre le Seigneur : il ne s’agit pas de se distancer de Lui dans le service.

La communion verticale et horizontale est indispensable pour tout serviteur. Verticale : avec le Seigneur. Horizontale : avec l’assemblée.

Il serait anormal d’avoir un service extérieur pour le Seigneur sans que l’assemblée en soit informée.

Servir Dieu est un grand honneur que Dieu nous fait.

Les vrais ouvriers vont sans bruit, conduits par la force de leur Maître.

Que nous puissions servir, et avoir de la compassion pour ceux qui sont autour de nous !

Nous sommes simplement des serviteurs, et nous regardons à la main de notre Maître (Ps. 123. 2).

Un chrétien doit se livrer au Seigneur entièrement (Rom. 12. 1 et 2).

Que ce soit notre profond désir d’être utile au Maître jusqu’à Son retour !

Personne n’est menacé de chômage dans l’œuvre du Seigneur.

Nous voyons continuellement dans l’Écriture que Dieu utilise des instruments insignifiants pour accomplir de grandes tâches.

La vie chrétienne n’est pas passive.

La chose importante est de recevoir son service du Seigneur, de travailler sous Sa direction, d’aller où Il nous envoie, soit seul, soit en compagnie, et de maintenir toujours Sa gloire avec un œil simple. C’est la volonté de Dieu et non la nôtre qui doit diriger toute notre activité.

On ne compensera jamais ce qui manque dans nos cœurs pour le Seigneur par une activité extérieure qui ne correspond pas à notre état intérieur.

Chaque chrétien a sa propre place que personne d’autre ne peut occuper, et son propre travail que personne d’autre ne peut faire.

Si nous ne servons pas le Seigneur nous servirons le monde ou nous-mêmes.

On peut faire des choses pour le Seigneur sans les faire avec Lui !

Le Seigneur peut se servir d’expériences que nous avons vécues dans notre travail pour les mettre à Son service.

Nous ne sommes pas appelés à être des forçats du service !

Chacun à affaire au Seigneur et doit Lui dire : Seigneur, qu’est-ce que Tu m’as confié ?

Nous commençons une nouvelle année, peut-être qu’elle se terminera dans la maison du Père. Ne perdons donc pas le temps bien court qui nous est accordé dans les bas lieux que nous traversons.

Nous sommes ici-bas pour Le connaître, pour faire des progrès et pour Le servir.

Nous sommes rachetés pour être libres, et achetés pour être esclaves de Christ.

Dans quel champ travaillons-nous chaque jour : celui du divin Boaz ou celui du monde ?

Est-ce que je travaille essentiellement pour la terre, ou pour Christ ?

Le Seigneur sait très bien ce qui a été fait pour Lui, mais aussi ce qui n’a pas été fait pour Lui !

Que le Seigneur nous donne de mettre à profit les capacités qu’Il nous a données.

Il n’y en a qu’Un qui ait le droit de nous dire : – Viens. C’est le Seigneur.

Une bonne œuvre, c’est faire la volonté de Dieu dans les détails de notre vie.

Même si c’est quelque chose de petit qui est à notre portée, accomplissons-le car c’est une bonne œuvre.

La vie chrétienne n’est pas passive.

Comme nous ne pouvions rien faire, le Seigneur a tout fait et ensuite nous pouvons faire quelque chose pour Lui.

Le Seigneur veut se servir du peu que nous avons.

Employons le temps que nous avons pour ce qui a de la valeur aux yeux du Seigneur.

Quel honneur d’être serviteur de Dieu !

N’ayons qu’un seul désir : nous cacher derrière le Maître.

Il y a des bonnes œuvres partout : il suffit d’ouvrir les yeux et son cœur.

Faites votre service, parlez peu et faites votre chemin.

Est-ce que ma vie est utile au Maître ? Est-ce que ma vie est utile à l’assemblée où je suis placé ?

Ce que nous faisons pour le Seigneur, faisons-le de tout notre cœur, avec détermination et avec persévérance.

Dieu a un livre de mémoire dans lequel il enregistre tout ce qui a été fait pour Christ, tandis qu’il ne restera rien de tout ce qui a été fait pour nous-mêmes.

Chacun de nous est appelé à travailler à l’œuvre du Seigneur.

Si nous vivions à la lumière du tribunal de Christ, nos vies seraient caractérisées par le dévouement, l’absence de mondanité et le zèle.

Celui qui n’a plus de tâche précise, pour quelque motif que ce soit, doit demander au Seigneur comment son temps libre peut être occupé raisonnablement pour lui. L’oisiveté est toujours un danger.

Un serviteur vraiment dévoué regarde, non son service mais son maître. Si j’aime mon maître dans la chair, il m’importe peu d’être appelé à nettoyer ses souliers ou à conduire sa voiture ; mais si je pense à moi-même plus qu’à lui, je préférerai être chauffeur que nettoyer ses souliers.

Dieu, qui connaît toutes choses et lit dans les cœurs, ne laissera pas sans récompense le plus petit geste fait en son nom.

Si nous voulons servir le Seigneur, cela commence par le cœur.

Le Seigneur désire t’utiliser, comme tu es, là où tu es.

Ce qui est important c’est d’accomplir notre mission, d’être fidèles dans ce que le Seigneur nous confie.

Ce qui est important, ce n’est pas ce que l’on fait mais c’est de faire ce que le Seigneur veut que l’on fasse.

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