PENSÉES SUR LE SALUT

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PENSÉES SUR LE SALUT

« Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé, toi et ta maison » (Act. 16. 31).

Trois sortes de salut : le salut de l’âme, le salut journalier, le salut du corps.

Ce qui est glorieux, ce n’est pas que j’aie été appelé, mais que Dieu m’ait appelé.

Les nations peuvent bénéficier des restes de bénédiction d’Israël.

Les âmes qui viennent à la connaissance du salut sont comme des épis ajoutés aux gerbes. Ces gerbes seront ensuite tournoyées.

Dieu n’a pas transformé les ténèbres où nous étions pour les rendre lumière. Il nous a transportés d’une sphère à l’autre.

Si quelqu’un dit : je n’ai pas été prédestiné pour être sauvé, répondons-lui : êtes-vous venu à Christ et vous a-t-Il rejeté ?

Le refus de recevoir le salut est le seul péché qui ne sera pas pardonné.

Miséricorde : mouvement du cœur tourné vers la misère.
Grâce : élan du cœur gratuit.

Grâce : Dieu nous donne ce que nous ne méritons pas.
Miséricorde : Dieu ne nous donne pas ce que nous méritons.

La miséricorde : la misère de l’homme et le cœur de Dieu.

C’est avec le cœur que l’on croit. C’est avec l’intelligence que l’on reçoit la foi.

Rédemption : ou rachat.

Rédemption : nous avons été rachetés en vertu de l’œuvre de Christ pour être délivrés.

Propitiation. Côté de Dieu. Il trouve une pleine satisfaction dans l’œuvre de Christ et donc Il fait grâce. « Pour Tous ».

Propitiatoire : couvercle de l’arche. La propitiation signifie que nos péchés sont couverts par le sang de Christ.

Par le propitiatoire le péché était couvert mais il n’était pas ôté. Il a fallu le sacrifice de Christ à la croix.

On peut naître de nouveau à tout âge.

Il faut commencer par croire, ensuite nous comprendrons.

La foi sans œuvres, c’est la conversion.

Une conversion vaut ce qu’elle a coûté.

La conversion, c’est le demi-tour sur le chemin de la vie.

L’homme est libre de laisser faire le travail de Dieu en lui pour sa conversion. Il peut aussi s’y refuser.

Il y a deux sortes de purification : la purification par le sang (1 Jean 1. 7) et la purification par l’eau (Jean 3. 5, par exemple).

Il faut distinguer deux sortes de repos : le repos de l’âme et le repos éternel.

Aujourd’hui, c’est le jour de Dieu. Demain, c’est le jour du diable.

La culpabilité n’est pas d’être né pécheur, mais de rejeter la lumière quand Dieu nous la présente.

Toujours présenter la Parole comme un mourant à des mourants (Spurgeon).

Nous sommes à la « dernière heure ». Ne comptons pas sur les secondes qui vont suivre cette heure !

La foi, c’est croire Dieu et non pas croire en Dieu. Croire en Dieu ne sauve pas.

Le remords n’est pas le repentir.

Repentance : littéralement, changement d’opinion.

La repentance est un changement de pensées à l’égard de soi-même et à l’égard de Dieu.

La repentance ne suffit pas pour être sauvé, il faut la foi.

Le Seigneur n’a que faire de paroles qui ne sont pas le fruit de repentance à salut.

Personne ne sera perdu par une décision de Dieu. Chacun est responsable de recevoir l’évangile qui lui est annoncé.

La joie n’est pas forcément la preuve qu’une âme appartient à Christ ; ce peut être plutôt la peine, la conscience de son péché devant Dieu qui en est une preuve.

Quand Dieu a parlé, il n’appartient pas de penser, de raisonner. Je dois croire.

Allez à Golgotha ; et là vous verrez combien vos péchés sont odieux.

Il n’y a pas de « petit » péché. Le « petit » péché d’Adam et Ève a perdu le genre humain. Il a fallu une bien grande Victime pour l’expier.

Personne n’a le droit de dire : – je ne peux pas être sauvé. Il peut dire : – je ne veux pas être sauvé.

Il est des seuils glacés où Jésus ne va plus parce qu’on n’a pas ouvert à l’appel de Jésus.

C’est quelque chose d’extrêmement solennel d’être en contact avec les choses saintes sans en être touché.

Croire Dieu, c’est croire ce qu’Il dit ; croire en Dieu, c’est simplement croire qu’Il existe – mais on peut croire en quelqu’un sans croire ce qu’il dit.

Dieu ne veut pas seulement délivrer les hommes des maux dont ils souffrent ici-bas ; Il veut les sauver pour l’éternité.

La grâce descend dans les plus profonds abîmes et y recueille ses plus éclatants trophées.

L’incrédulité exclut invariablement Dieu.

Ce n’est pas tout, de se reconnaître pécheur, il faut aussi se reconnaître coupable devant Dieu. Il faut un travail de l’esprit de Dieu dans le cœur.

Le but des catastrophes que Dieu permet est de rappeler aux hommes Sa Présence.

Le rôle du serviteur est de placer une âme en contact avec Dieu. Il ne doit pas faire écran entre cette âme et Dieu.

Abandonnons tous nos efforts pour être heureux et acceptons Christ !

Un transgresseur est celui qui connaît la pensée de Dieu et qui n’y obéit pas.

La foi n’est pas de famille, mais individuelle.

Est-ce que nous avons dit : Seigneur, entre dans ma vie, dans mon cœur ?

Il n’y a pas de deuxième chance : Dieu n’a rien à donner de mieux que l’excellence de Son Fils. Ceux qui L’auront refusé n’auront pas de deuxième chance !

Il y aura beaucoup d’honnêtes hommes en enfer. Comme c’est solennel !

Appartenons-nous au monde ou à Dieu ?

Chaque fois qu’une âme est amenée au Seigneur, il s’agit d’un vrai miracle.

Tous les hommes et les femmes sont convoqués au pied de la croix.

Pour que la joie soit durable, il faut une chose plus grande que d’avoir trouvé le salut, il faut avoir trouvé le Sauveur.

Il y a deux confessions : celle des lèvres et celle du cœur. On peut dire : j’ai péché, et mourir dans ses péchés.

La confession sera plus profonde si nous savons voir la miséricorde de Dieu à notre égard.

Demain, c’est le mot du diable, aujourd’hui, c’est le mot de Dieu.

La chose la plus grave que l’on puisse faire, c’est l’offense profonde que l’on fait à Dieu.

Le péché a créé un gouffre entre Dieu et l’homme. Christ est le pont qui passe par-dessus ce gouffre.

Le salut c’est la main de l’homme qui saisit la main de Jésus-Christ.

Pour que la joie soit durable, il faut plus qu’avoir trouvé le salut, il faut avoir trouvé le Sauveur.

Si le Seigneur venait aujourd’hui, est-ce que la salle serait vide ?

Nous ne convertirons pas nos enfants. Personne n’a converti quiconque. Dieu seul peut le sauver.

Nous devons croire Dieu et non pas seulement croire en Dieu. Les démons croient et ils frissonnent.

« Nul ne peut dire : Seigneur Jésus, si ce n’est par l’Esprit de Dieu (1 Cor. 12. 3). Ce ne fut pas le cas pour Judas, ni pour la femme qui avait un esprit de python (Act. 16. 17). Toutefois le fait de dire : Seigneur, n’est pas une formule magique qui garantit que l’on a le Saint Esprit. « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le royaume de Dieu » (Mat. 7. 21).

Adam est le seul homme qui soit devenu pécheur parce qu’il a péché. Nous, nous sommes pécheurs parce que c’est notre état de pécheur, qui a besoin du salut.

Repentance : avoir la même pensée que Dieu sur le mal.

« Dans chaque cœur, il y a un grand vide en forme de Dieu » (Pascal).

Plus nous réalisons notre état de perdition, plus nous réalisons la grâce dont nous sommes les objets.

La repentance, c’est le changement complet de la disposition d’un homme, le jugement sans ménagement du moi vu à la lumière de Dieu.

On parle beaucoup du « bon Dieu » mais on oublie qu’il est juste et va juger ceux qui négligent un si grand salut.

Le même homme qui autrefois haïssait la lumière, l’aime maintenant.

L’homme naturel aime le mal et hait la lumière, tandis que l’homme spirituel hait le mal et aime la lumière.

La parole de la croix est prêchée à tous gratuitement. La seule question qui se pose est de savoir si nous voulons la recevoir ou non par la foi.

Une simple confession des lèvres, sans vraie foi du cœur, n’a aucune valeur.

La foi du cœur doit précéder la confession de la bouche.

Ce n’est que par une confession ouverte du nom de Jésus qu’une vraie joie et une vraie assurance du salut entrent dans le cœur.

La grâce est venue nous chercher au fond de l’abîme où le péché nous avait plongés, afin de nous sauver et de nous amener à Dieu.

Il y a une grande différence entre dire : j’ai péché, ou dire : je suis un pécheur.

Ce n’est pas une faveur que l’homme fait à Dieu lorsqu’il croit à l’évangile, mais bien un acte d’obéissance à un ordre de Dieu.

Pour être sauvé, il ne s’agit pas de connaître les vérités générales, il faut que l’âme les saisisse et se les approprie.

L’Esprit de Dieu sauvera immanquablement une personne quand elle s’arrête de résister.

Le péché d’Adam et Ève n’était pas grand-chose, une simple désobéissance ; ceci pour que nul d’entre nous ne dise : ils ont commis un grand péché, mais moi je n’ai pas fait cela !

Pour Dieu, il n’y a pas de grand ou de petit péché.

Religion : système bâti par les hommes.

Quelqu’un a dit : je ne connais pas le cœur d’un malfaiteur mais je connais le cœur d’un honnête homme, et ce n’est pas beau.