PENSÉES SUR LE MARIAGE CHRÉTIEN

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PENSÉES SUR LE MARIAGE CHRÉTIEN

 

« Que le mariage soit tenu en honneur à tous égards » (Héb. 13. 4).

« La joie que le fiancé a de sa fiancée » (És. 62. 5).

« Ton désir sera tourné vers ton mari » Gen. 3. 16.

Soumission de la femme à son mari : Éph. 5. 22 – Col. 3. 18 – 1 Pier. 3. 1.

Amour du mari pour sa femme. Éph. 5. 25, 28, 33 – Col. 3. 19.

« Celui qui a l’épouse est l’époux » Jean 3. 29.

« Préparée comme une épouse ornée pour son mari » Apoc. 21. 2.

« Une seule chair » (Gen. 2. 23 et 24.

Pour faire les grands choix avec le Seigneur, il faut avoir appris à faire les petits choix avec Lui.

On ne bâtit pas sa maison tous les jours. Pesons bien les choses avant de bâtir et bâtissons nos maisons sur Christ !

C’est un travail pénible que de faire les fondations d’une maison, et cela ne se voit pas ; mais c’est essentiel pour la solidité de la maison. Ne faisons pas cela à la légère.

Après la rencontre avec Dieu, le choix d’un conjoint est le plus important. On peut changer de métier mais non pas de conjoint. La vie moderne ébranle nos foyers.

Trois phares que Dieu permet pour guider son enfant : la Parole de Dieu, la conviction intérieure, les circonstances.

On n’a pas le droit de jouer avec le cœur de l’autre. Le cœur engagé nous fait perdre le discernement.

Le cœur d’une jeune fille, d’un jeune homme, n’est pas un jouet.

Tomber amoureux, c’est un amour qui vieillit très mal.

Pour choisir son conjoint, nous avons deux genoux pour demander à Dieu Sa direction.

Le mariage n’est pas une réponse à la tristesse. C’est le Seigneur qui est une réponse à la tristesse.

Cette personne va-t-elle me tirer vers le haut ou vers le bas ?

Nous devons prendre garde au deuxième regard !

« Celui que tu as n’es pas ton mari » (Jean 4. 18). L’union libre est ainsi assimilée à la fornication.

La polygamie n’a jamais reçu l’approbation de Dieu, elle fut seulement tolérée – ce qui est différent.

Les fiançailles, autant que possible, doivent être courtes, entre l’état de celui qui est encore chez ses parents et de celui qui est joint à son épouse.

Le mariage est conclu devant l’autorité de l’État. L’assemblée n’a pas le mandat de marier.

Ce n’est pas un homme ou une femme qui s’unissent, c’est Dieu qui unit.

Dans le foyer chrétien, il s’agit de mettre le Seigneur à la première place.

C’est une grande responsabilité pour l’homme que de savoir que sa femme lui est soumise ! Quel exercice de cœur !

La femme a tout particulièrement besoin d’être entourée d’affection, et son cœur sait la rendre.

Dans le monde, on dit parfois : l’amour ne se commande pas. La Parole de Dieu dit positivement : « Maris, aimez vos propres femmes » (Éph. 5. 25).

Éph. 5. 22. « Femmes soyez soumises à vos propres maris ». La soumission n’est pas l’obéissance. On peut obéir sans être soumis intérieurement. La soumission est un état d’esprit.

On n’est pas gardé parce que l’on est marié.

L’amour, c’est donner sans retour possible.

Dans le mariage, il faut apprendre à s’accepter soi-même et à accepter l’autre tel qu’il est.

Il faut céder dans le couple pour s’aider.

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