PENSÉES SUR LE DIMANCHE ET SUR LA BIENFAISANCE

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PENSÉES SUR LE DIMANCHE ET SUR LA BIENFAISANCE

DIMANCHE.

La Parole de Dieu enseigne-t-elle aux chrétiens à s’abstenir de travailler le dimanche ?

Il ne faudrait pas nous attendre à trouver des passages formels qui interdisent le travail, car on voit que pour un cœur qui entre dans la pensée de Dieu, il devient clair que le dimanche n’est pas un jour de travail comme les autres. Le chrétien comprend qu’il doit tout faire « au nom du Seigneur » (Col. 3. 17).
Si le chrétien travaille pour lui-même seulement, en cherchant ses propres intérêts, il ne fait qu’imiter le monde. Nous sommes appelés à vivre constamment pour Celui qui est mort pour nous. Pour le cœur qui aime Jésus, la grâce et l’amour de Dieu ont plus d’empire et plus d’effet que les exigences de la loi et d’un code formel.

Héb. 4. Le sabbat renferme l’idée de la participation au repos de Dieu. Ceci est un privilège accordé aux croyants.

Le jour du repos a été sanctifié dès le commencement. Gen. 2. 3.

Dieu avait commandé à Son peuple terrestre de garder le jour du sabbat. Deut. 5. 15.

Le sabbat était donné comme signe de l’alliance de Dieu. Ex. 31. 13.

Le Seigneur Jésus est le Seigneur du sabbat. Mat. 12. 8.

Attention : Il ne faudrait pas confondre le sabbat et le dimanche. Le sabbat – 7ème jour de la semaine – n’est pas le dimanche – 1er jour de la semaine. Les croyants de la période de la grâce ne connaissent pas le sabbat, jour de repos sous l’ancienne alliance, mais le dimanche, journée dominicale (Apoc. 1. 10) particulièrement consacrée au Seigneur et dans laquelle ils sont appelés à se souvenir de Lui, comme Il l’a désiré, en participant à la cène (Act. 20. 7).

Le premier jour de la semaine est le jour de la résurrection de Jésus. Luc 24. 1.

Nous trouvons le repos de Dieu dans la résurrection.

Moralement, dans ce monde, nous commençons notre vie spirituelle par le repos, au lieu de ne le goûter qu’à la fin de nos travaux.

Nous n’avons pas d’ordonnances semblables, dans le Nouveau Testament, à celle de l’ancienne loi qui précisait : « Souviens-toi du jour du sabbat pour le sanctifier » (Ex. 20. 8). Mais l’Esprit de Dieu a désigné de diverses manières le premier jour de la semaine, quoiqu’Il n’ait pas imposé ce jour :

Le premier jour de la semaine, le Seigneur paraît au milieu de Ses disciples rassemblés (Jean 20. 19).
Ce jour est signalé comme celui où l’on s’assemblait pour rompre le pain (Act. 20. 7).
Les chrétiens sont exhortés à mettre leur offrande à part chez eux, selon qu’ils auront prospéré, chaque premier jour de la semaine (1 Cor. 16. 2).
Ce jour est appelé le jour du Seigneur. Jean fut en esprit dans la journée dominicale (Apoc. 1. 10). Dominical veut dire, littéralement : qui a rapport au dimanche. Cela veut donc dire : qui appartient au Seigneur.
(Dans d’autres versions, ce terme : la journée dominicale est traduit par : le jour du Seigneur).

Par conséquent, le premier jour de la semaine se distingue de ceux qui le suivent, comme étant le « jour du Seigneur ».

Il importe de préciser que le dimanche n’est pas le septième jour de la semaine, mais bien le premier.

Ce jour-là est le repos de Dieu et non pas uniquement un repos pour l’homme.

Nous devons lutter contre toute tentative qui aurait pour but et pour résultat de déshonorer le jour du Seigneur ou de le rabaisser au niveau d’un jour ordinaire.

Veillons à ce que la journée du dimanche soit tout entière pour le Seigneur !

Gardons-nous de rabaisser le jour du Seigneur au niveau d’un jour ordinaire !

Le premier jour de la semaine n’est pas l’un de ces jours que l’on est libre de ne pas observer. C’est le jour du Seigneur, un jour qui lui appartient d’une manière particulière. C’est le jour de sa résurrection. Pour le chrétien, il n’y a pas de jour qui puisse être comparé au jour de la résurrection de son Sauveur, il l’aime et l’honore, non pas comme un commandement légal, mais parce qu’il est le signe caractéristique et précieux de l’économie actuelle de la grâce, le jour dans lequel il se réunit avec ses frères pour penser à son Seigneur, pour lui exprimer sa reconnaissance et pour annoncer sa mort.

BIENFAISANCE.

Comment préparons-nous notre budget ? Est-ce que nous pensons premièrement au Seigneur ?

Ce qui est important, ce n’est pas ce que nous donnons au Seigneur, mais ce que nous retenons pour nous. Le Seigneur ne regarde pas ce que nous donnons mais comment nous le donnons (Marc 12. 41).

L’avarice commence quand nous préférons avoir deux sous plutôt qu’un.

Soyons économes, mais ne soyons pas avares.

La bienfaisance est une occasion de prouver notre amour au Seigneur autrement que par des paroles.

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