PENSÉES SUR LE COMBAT

PENSÉES SUR LE COMBAT

Quand nous comptons sur le Seigneur, nous sommes beaucoup moins en danger qu’après que nous avons remporté la victoire. Attention aux lendemains de victoires !

Le combat, c’est résister, mais c’est aussi fuir.

Nous sommes dans un état de guerre permanent.

C’est avant le combat qu’il faut revêtir l’armure, et donc il faut la porter continuellement.

Un chrétien ne doit jamais devenir un « ancien combattant ».

L’armure complète de Dieu (Éph. 6) : l’armure doit être complètement revêtue, car si elle ne l’est pas, l’Ennemi saura trouver la faille de l’armure. Il ne faut jamais nous en défaire.

Une fois que nous avons revêtu l’armure complète de Dieu, nous avons à la garder et à ne pas la quitter.

Tant que nous serons ici-bas, le combat sera permanent ; mais les ressources de Dieu, elles aussi, sont permanentes.

Le Seigneur désire des vainqueurs.

Il n’y a pas, pour le chrétien, de démobilisation.

Serons-nous des vainqueurs pour Christ ou des vaincus de l’ennemi ?

La vie chrétienne commence par la victoire du Seigneur sur l’Ennemi ; puis elle continue par le combat du croyant.

Si nous sommes en paix, préparons-nous pour le combat, car tôt ou tard l’Ennemi viendra !

Dans le combat chrétien, nous avons de notre côté : Dieu, le Chef de l’armée de l’Éternel (Christ. Jos. 5), les anges (2 Rois 6. 16 ; Héb. 1. 14), et les prières de nos frères et sœurs.

Ressources : vivre dans la communion avec le Seigneur chaque jour (Marc 6. 31) ; puiser la force en Christ (car nous n’en avons pas en nous-mêmes) ; revêtir l’armure complète de Dieu. Le chrétien doit être prêt pour le combat, pour chaque combat quotidien. Après chaque victoire, nous avons à tenir ferme. Se nourrir de la Parole ; veiller à ce que notre marche soit juste, prier (Col. 4. 12) : la prière pour soi, mais aussi pour les autres.

Le chrétien doit vaincre ; la lutte avec le monde et son prince n’est pas toujours violente, mais permanente et sans merci.

Nous honorons le Seigneur par notre foi, notre confiance en Lui. Le Seigneur nous connaît, Il sait que nous sommes faibles. Lui est fort ! Il sait ce que c’est d’être fatigué, Il sait ce que c’est que d’avoir de la tristesse. Il nous comprend. Si nous sommes malades, Il nous comprend. Il nous donne l’aide au moment opportun. Après avoir tout surmonté, il ne faut pas se reposer mais tenir ferme !

Il n’y a pas de victoire sans combat ; il n’y a pas de combat sans souffrance.

Nous avons à être vigilants jusqu’au bout de notre vie.

Demander aux constructeurs de cesser leur travail serait faire l’œuvre de l’Ennemi. Par ailleurs, quand la tempête se fait entendre, c’est une infidélité que de continuer son ouvrage. La pensée du Seigneur, c’est la défense, le combat, ce n’est plus la construction.

Nous avons trois adversaires : Satan, le monde, la chair (le moi), mais nous avons un allié qui est plus puissant qu’eux tous : Christ.

La vie chrétienne est une marche, c’est une course et c’est aussi un combat.

La persécution actuelle, ce sont les reproches du monde faits aux chrétiens d’être différents de lui.

Résister suppose souffrir. N’ayons pas honte d’être des exceptions.

Chaque serviteur de Christ est engagé dans le combat.

La puissance qui est contre nous est infiniment plus grande que notre propre puissance, mais la puissance qui est pour nous est une puissance supérieure. En dehors de Christ, nous n’avons aucune puissance.

Il ne faut pas fermer les yeux en face des attaques de l’Ennemi. Il ne faut pas se dérober devant lui, ni aller au combat avec sa force.

Devant l’Ennemi qui attaque l’assemblée, nous n’avons pas le droit de fuir.

Souvent après une victoire, on se croit fort et c’est là un grand danger.

Le combat nécessite courage et persévérance.

Celui qui est invisible est avec nous et nous entoure de sa puissance. C’est ce qui fait triompher le fidèle dans les moments les plus critiques.

Tant que nous serons sur la terre, il y aura la guerre car l’Ennemi veut nous faire tomber individuellement ou en assemblée.