PENSÉES SUR L’ASSEMBLÉE

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PENSÉES SUR L’ASSEMBLÉE

Le Corps est caractérisé par l’unité et la diversité.

L’assemblée est un organisme (c’est-à-dire un Corps vivant) et non pas une organisation.

Si un membre a péché, l’état moral de l’assemblée en est affecté.

L’Église monte du désert comme une colonne de nuée parfumée de myrrhe et d’encens.

La vie d’assemblée ne se limite pas aux réunions. Elle se déroule également dans les familles de l’assemblée.

L’Église est constituée de pierres vivantes, spirituelles. Ce n’est pas un bâtiment, c’est le Corps de Christ, Corps édifié par le Saint Esprit.

L’assemblée porte un caractère essentiel : la sainteté, la séparation de tout mal.

Dans l’assemblée, nous avons l’unité dans la diversité ; alors que, dans la fonction sacerdotale, nous avons l’unité dans l’égalité.

Nous n’avons pas le droit d’établir des surveillants, mais nous avons le désir d’en avoir.

Le surveillant doit s’imposer par une autorité morale.

Les serviteurs sont les frères ayant une charge dans l’assemblée.

Une charge est donnée pour un besoin local.

L’assemblée n’est pas la vérité, mais elle est le soutien de la vérité.

Le fait d’être réunis ensemble ne vient qu’après le sentiment d’être seul avec le Seigneur.

Il faut qu’il y ait la paix en nous et entre nous.

Un croyant nouvellement converti devient tout de suite un frère. Ananias appelle l’apôtre Paul, après sa conversion : « Saul, frère ». C’est le frère pour lequel Christ est mort.

Les lettres de recommandation sont signées par deux ou trois frères. Il est nécessaire qu’il y ait un double ou triple témoignage (Deut. 19. 16).

L’erreur consent à ce qu’on ne lui accorde qu’une petite place. Mais un jour, elle renversera tout.

Le Seigneur regarde si nos cœurs sont sincères, lorsque nous sommes dans le lieu de la bénédiction, en assemblée, et si nos paroles ne vont pas au-delà de l’état pratique de nos cœurs. Il nous connaît et Il nous sonde !

Ne négligeons pas la doctrine. C’est lorsque nous la connaissons que nous pouvons la mettre en pratique.

Il n’y a jamais eu d’ancienne alliance avec l’église, et donc il ne peut y en avoir de nouvelle.

Quoique nous ne voyions pas l’unité du Corps de Christ, nous savons qu’elle existe.

L’humiliation est une chose solennelle et douloureuse. C’est le couteau du chirurgien appliqué aux membres qui n’ont pas été mortifiés et qui sont, par conséquent, sensibles au point de crier quand l’instrument atteint la chair vive. Mais combien l’humiliation est précieuse !

On ne passe pas, sans transition, du monde dans le sanctuaire. Cela est impossible.

La marche de l’assemblée est le résultat de la marche individuelle.

L’imposition des mains correspondait à l’état de la chrétienté à ses débuts. On ne saurait en aucun cas l’appliquer aujourd’hui. Ce serait plutôt, maintenant, un signe de communion.

Nous ne pouvons être que l’expression de l’unité du Corps.

Nous sommes réunis sur le terrain de la communion – et non de la séparation. La séparation est une conséquence de notre état.

Imposer les mains : participer au service de quelqu’un (identification avec lui). L’imposition des mains concernait les apôtres. Puisque aujourd’hui il n’y a plus d’apôtre, personne ne peut imposer les mains. L’imposition des mains, le parler en langues etc, recherchés par plusieurs aujourd’hui… sont l’indice que nous sommes à la fin de l’économie de l’Église, marquée par de nombreux désordres entraînant la ruine du témoignage.

Les surveillants (ou chargés d’âmes).

Nous voyons souvent le terme : les anciens, dans la Parole. Il n’y a pas qu’un seul ancien, un évêque responsable de l’assemblée. Non ! Il est secondé dans sa tâche.

On peut être un frère âgé sans être un ancien.

Gardons-nous de dire que nous sommes un résidu ! Prenons garde à notre état !

Ce n’est pas tellement le danger, pour Philadelphie, de devenir Laodicée c’est l’apostasie (Apostasie : littéralement, qui se détourne).

Nous ne pourrions sortir de l’Église en ruine sans apostasier.

On ne trouve jamais, dans l’Écriture, que nous soyons membres d’une assemblée locale, mais du Corps de Christ.

La douceur n’exclut pas la fermeté quand cela est nécessaire.

Ne condamnons pas notre frère quant à sa conduite, mais portons-le devant le Seigneur.

On veut discuter avec le Seigneur. Quand on aime quelqu’un, on l’écoute, pour pouvoir répondre à ses besoins. On aime à discuter avec le Seigneur parce que l’on n’est pas brisé. Quand il y a des difficultés dans une assemblée, bien souvent on discute. Sachons être brisés !

Il manque des larmes dans les assemblées, larmes sur l’état de misère de l’Église. Sachons pleurer !

En tant que Personne divine, le Seigneur est complet, mais Il n’est pas complet comme Homme, sans Son Corps, Son Épouse – c’est-à-dire l’Assemblée. Le Seigneur est au ciel. Et alors, dirons-nous, le Corps est sur la terre ? Cela n’est pas possible, l’Assemblée ne peut être séparée de Christ, sa position est donc dans les lieux célestes.

Dans l’Assemblée de Dieu, il n’y a pas de distinction de nationalités, de races. Il n’y a plus de nationalité, nous sommes concitoyens des saints, cohéritiers et coparticipants d’un même corps dans le Christ Jésus. Unité dans la diversité et diversité dans l’unité.

Nous sommes tous joints l’un à l’autre et il nous faut surveiller ces jointures pour qu’elles fonctionnent bien.

Un réveil ne commence pas dans la masse, mais dans un individu. Il concerne ceux qui ont la vie.

Des vases d’or et d’argent ne sont pas automatiquement des vases à honneur (2 Tim. 2. 20).

Est-ce que le tort de mon frère c’est d’être différent de moi ?

Ce qui différencie mon frère de moi, c’est qu’il a ce que je n’ai pas.

Les croyants sont complémentaires les uns des autres. Aucun de nous n’est complet, mon frère est ce qui me manque.

Le Corps n’existe que s’il y a la Tête : le Seigneur.

Si un membre du corps souffre, Christ, la Tête du corps, souffre aussi.

S’il y avait la moindre interruption dans la relation entre le Corps et la Tête, ce serait la mort du Corps et en conséquence, celle des membres.

Les relations entre le Corps et la Tête ne seront jamais rompues.

Les croyants endormis ne font pas partie du Corps de Christ, car celui-ci ne saurait être constitué de membres morts. Ils le seront toutefois lorsqu’ils seront ressuscités.

Si nous critiquons un membre du Corps de Christ, c’est une offense directe faite à Christ. « Je suis Jésus que tu persécutes » (Act. 9. 5).

Chaque membre du Corps de Christ a besoin de tous les autres, et tous les autres ont besoin de lui.

Nous avons besoin les uns des autres. Nous ne devons pas nous comparer les uns aux autres.
L’œil a besoin du petit doigt pour sortir la poussière qui est en lui. Ainsi, dans le Corps de Christ, nous avons besoin les uns des autres.

L’œil, la partie la plus noble du corps, a besoin du petit doigt pour enlever la poussière qui le gêne : nous avons tous besoin les uns des autres.

Les pieds ont besoin de l’œil pour se diriger.

Secte : « Toute corporation religieuse fondée sur un autre principe que celui de l’unité du Corps de Christ ».

Une secte est un ensemble où l’on mélange les pensées humaines aux pensées divines.

On ne jouit pas pleinement de la bénédiction si l’on ne fait que la recevoir.

Dans l’assemblée, nous sommes tous responsables les uns des autres. Nous ne saurions en aucun cas dire, comme Caïn : « Suis-je, moi, le gardien de mon frère ? »

On ne peut dissocier l’amour pour Christ et l’amour pour l’assemblée.

Un croyant n’est jamais un être isolé. Son attitude a des conséquences sur les autres croyants.

On ne peut garder les choses de Dieu que si on les donne.

L’expression l’assemblée du Seigneur ne se trouve pas dans la Parole. La seigneurie de Christ s’exerce surtout individuellement. C’est plutôt l’assemblée de Christ, de Dieu. On trouve une fois « les assemblées du Christ » (Rom. 16. 16), dix fois « l’assemblée de Dieu ».

Unité ne veut pas dire uniformité. Nous sommes différents les uns des autres.

Chacun de nous a un don ; chacun de nous a un service. Les sœurs aussi ont un don (par exemple, le don de la foi. 1 Cor. 12. 9).

Une sœur peut avoir un don. Ex : Phoebé (Rom. 16. 1 et 2).

L’assemblée est l’objet de tous les ministères, mais elle n’a aucun ministère.

Le silence dans les réunions vaut encore mieux que ce qu’on dirait ou ferait simplement pour le rompre.

Il y a des silences, dans les réunions de l’assemblée, qui sont édifiants. Il y en a d’autres qui sont pesants.

Avons-nous de la sollicitude, tout d’abord pour notre assemblée locale, puis pour toutes les assemblées ?

Que nous soyons toujours plus attachés à l’assemblée locale à laquelle nous sommes rattachés.

Si l’apôtre vivait de notre temps et écrivait une lettre à ceux de notre ville, à qui la porterait-on ?

La pensée de s’accommoder de la ruine de l’assemblée vient de l’Ennemi.

L’assemblée locale est constituée de ceux qui se rassemblent selon la Parole.

L’assemblée de Dieu est constituée de ceux qui appartiennent au Seigneur.

Peut-être que nous manquons de frères qui soient pleinement convaincus (2 Tim. 3. 14).

Nous pouvons pleurer parce que c’est la ruine, mais nous pouvons nous réjouir de ce qu’un lumignon brille au milieu des ruines, de ce qu’une poignée de croyants fidèles subsiste.

Le déclin n’excuse pas l’infidélité.

Principes du rassemblement : présence de Christ, libre action du Saint Esprit, séparation du mal moral et doctrinal, autorité de la Parole de Dieu.

Caractère du camp religieux : l’homme peut apporter quelque chose pour son salut, le Saint Esprit – quoique présent parfois – n’a pas Sa libre action.

Le témoignage de l’assemblée n’a pas été suscité d’abord en vue de l’évangélisation, mais a pour objet, avant tout, la proclamation de la gloire du Seigneur, de Sa Personne et de Son œuvre, de l’intégrité de la Parole de Dieu.

Nous sommes responsables de juger la marche de nos frères et non les motifs qui les font agir (cela n’appartient qu’au Seigneur qui lit dans les secrets des cœurs).

Quelle sollicitude avons-nous pour notre assemblée locale ?

Comme est belle la communion entre serviteurs, et entre générations !

La communion entre générations est souhaitable, elle doit être recherchée !

La communion entre générations trouve sa source dans la contemplation de Christ.

On ne peut être plus grand que ce que le Seigneur nous a donné. Nous avons à rechercher des dons spirituels plus grands, bien sûr, mais prenons garde à la jalousie, à la prétention spirituelle.

L’unité chrétienne, ce n’est pas étouffer nos différences.

Les réunions de l’assemblée sont-elles inscrites sur notre agenda comme des rendez-vous prioritaires ?

Songe-t-on assez à la perte que l’on subit, et que l’on fait subir à l’assemblée toute entière, en venant assister à la réunion sans y prendre part, au moins par la pensée et la prière ?

Nous ne devons jamais rester passifs dans une réunion d’assemblée.

La maison de Dieu est une maison de sainteté (Ps. 93. 5), de prière (És. 56. 7), d’adoration (1 Pier. 2. 5).

L’assemblée n’est pas la vérité ; elle est gardienne de la vérité.

Le Seigneur est là au milieu des deux ou trois assemblés à Son nom qu’ils le sachent ou non, qu’ils s’en souviennent ou non.

Dans les combats entre frères, il n’y a ni vainqueur, ni vaincu ; tout le monde est perdant !

Ne méprisons pas les bénédictions que nous trouvons dans les réunions d’assemblée.

On réalise l’ordre lorsque chacun, dans l’assemblée, réalise sa toute petite place.

L’assemblée est un organisme vivant (et non une organisation humaine).

Est-ce que nous cherchons toujours à trouver quelque chose de positif dans notre frère, notre sœur ?

Chacun est concerné par la vie de l’assemblée.

Abandonner le rassemblement, c’est se priver de la bénédiction, priver ses frères et sœurs du partage de la bénédiction, et surtout priver le Seigneur.

Lorsque quelqu’un a abandonné le rassemblement, nous devons chercher à restaurer la jouissance de l’amour de Christ chez ce frère, son goût pour ce rassemblement.

Une vie d’isolement loin de l’assemblée est une vie qui s’étiole.

Le Seigneur ne nous a pas simplement placés côte à côte, Il nous a liés ensemble.

Une réunion d’assemblée doit être la manifestation de la vie réelle du Corps.

Nos rassemblements doivent être réalisés dans la présence du Seigneur, sous l’action du Saint Esprit et l’autorité de Sa Parole.

Don : énergie de l’Esprit donnée pour le bien de l’ensemble.

À partir du moment où je vais au rassemblement, je suis quo-responsable de ce qui sera dit.

L’Église elle-même est un corps étranger dans ce monde.

Que Dieu nous garde de dresser un camp en dehors du camp !

Prenons garde à ne pas introduire hors du camp les principes du camp (Ex : contestation, indépendance…).

Venir tôt aux rassemblements pour s’incliner devant Dieu.

Si, pendant la semaine, on se désintéresse de l’assemblée, il y aura des répercussions évidentes sur les réunions d’assemblée le dimanche.

La discipline peut être préventive, curative, ou formatrice. Elle peut être paternelle, fraternelle, ou ecclésiastique.

Tout frère, toute sœur est responsable devant Christ du bien du troupeau tout entier. Nous sommes, chacun de nous, gardiens de notre frère.

Les vrais conducteurs conduisent à Christ.

Dans l’assemblée, nous sommes chez le Seigneur ; ce n’est pas Lui qui est chez nous !

Aimons l’assemblée ; que notre cœur soit là où le Seigneur se trouve !

Nous ne sommes pas les gardiens d’une assemblée-musée. Nous devons rechercher pourquoi nos devanciers ont dit telle ou telle chose.

Nous ne pourrons jamais, dans l’assemblée, faire l’économie, ni du support, ni du pardon.

On ne peut donner aux autres que ce que l’on a reçu soi-même.

La Maison de Dieu est le lieu de la présence de Dieu. Dieu est là pour bénir les Siens, Il y attend de nos cœurs la louange et la bénédiction.

Nous ne sommes pas le témoignage, mais nous sommes un témoignage.

L’unité du Corps de Christ n’est pas à faire : elle existe !

Il n’y a pas d’unité du Corps sans unité de l’Esprit.

Si vous aimez le monde, allez dans le monde, mais n’introduisez pas le monde dans l’assemblée, elle ne vous appartient pas.

Il ne devrait pas y avoir de réunion sans prières préalables de chacun.

Il faut souvent parler de la croix dans nos réunions, sinon les enseignements risquent de dégénérer en une simple leçon de morale.

Le secret de la bénédiction dans une assemblée, ce ne sont pas les dons, mais l’exercice profond de chaque frère et de chaque sœur pour la prospérité spirituelle de l’assemblée.

Prenons garde aux coulisses de l’assemblée.

Un docteur expose la vérité, mais il ne l’impose pas ; sinon c’est un doctrinaire.

Les croyants ont à rechercher à être ensemble – comme les brebis d’un même troupeau.

Que le Seigneur nous aide à manifester l’esprit de pauvreté, de renoncement dans nos assemblées !

Dans les réunions, pensons à l’autre Présence ! Nous sommes là pour Lui et non pour nos frères.

Ce qui importe, ce n’est pas le nombre, mais la fidélité.

Tous les croyants sont sacrificateurs ; tous ne sont pas docteurs, pasteurs, évangélistes…

Il nous faut apprendre la différence entre l’âme (les sentiments) et l’esprit (ce qui en nous est en relation avec Dieu), avant de vouloir l’enseigner aux autres.

L’évangile, prophétiquement, annonce l’assemblée ; et les épîtres, formellement, s’adressent à l’assemblée.

Nous n’entrons pas dans l’assemblée en vue d’être sauvés, mais comme étant sauvés.

Chacun de nous influence la vie de son assemblée locale.

L’assemblée est la maison de Dieu (Éph. 2. 19), un temple saint (Éph. 2. 21) et l’édifice de Dieu (1 Cor. 3. 9).

C’est Christ qui donne à l’assemblée sa valeur.

L’amour est le ciment spirituel entre les pierres vivantes. S’il n’existe pas, la maison de Dieu est ruinée.

Quand il y a une question de doctrine, il faut que nous manifestions l’unité. Quand il y a une question d’opinion, il faut que nous respections les autres.

Le signe est là pour confirmer la foi, et non pour la créer.

Le cœur anime le corps.

Dans un temps comme celui-ci où nous sommes criblés par Satan, nous avons plus que jamais besoin de nourriture et d’édification. Nous avons aussi besoin les uns des autres.

Nous avons tous à fonctionner dans le corps, pour le Seigneur.

La réunion n’est pas le simple fait de ceux qui parlent. Tout le monde y participe.

Nous souffrons facilement qu’un ou deux dons s’exercent parmi les enfants de Dieu, tandis qu’une quantité d’autres restent paralysés ! Est-ce bien l’état normal du Corps de Christ ?

Nous sommes-nous toujours réunis pour Lui ?

Mettre de l’huile là où il le faut pour que nos relations fraternelles soient heureuses, voilà un don utile !

Un vrai réveil est caractérisé par la prise de conscience qu’il y a la maison de Dieu sur la terre et l’obéissance à la Parole de Dieu.

Ce que l’on apprend dans une réunion d’étude de la Parole est comme la rosée qui tombe doucement et sans bruit, si bien que l’on s’aperçoit à peine combien la vérité est rafraîchissante, stimulante et fortifiante, mais l’effet bénéfique en est ressenti plus tard.

Est-ce que nous ne voyons pas seulement les choses négatives du peuple de Dieu aujourd’hui ?

À chaque réunion, le Seigneur nous attend. Il nous a fixé un rendez-vous.

Le sang des martyrs est la semence de l’église.

L’assemblée est laissée sur la terre pour manifester l’unité, enseigner la vérité, louer Dieu, attendre le Seigneur.

L’assemblée, c’est là où est le Seigneur, et là où l’on trouve tout ce qui est sanctionné par Sa présence.

S’il n’y a pas de paix entre les frères, comment pourront-ils entendre le « Paix vous soit » du Seigneur ?

Si le mal n’est pas jugé dans l’assemblée, nous ne forcerons jamais le Seigneur à y rester.

Il faut parler souvent de la croix dans nos réunions, sinon les enseignements risquent de tourner en une simple leçon de morale.

Si quelquefois les réunions d’assemblée sont languissantes, c’est peut-être parce que la vie de l’assemblée dans l’intervalle des réunions est pauvre.

Si une doctrine est nouvelle, elle n’est pas vraie, et si elle est vraie, elle n’est pas nouvelle.

Avoir la pensée du Seigneur implique la confiance l’un dans l’autre.

Nous ne pouvons goûter la joie dans le Seigneur si nous avons de l’amertume entre nous.

La grande pensée de Dieu, c’est la formation de l’église, et de l’église comme témoignage.

Plusieurs corps ou dénominations ne font pas une unité, mais plusieurs membres d’un seul Corps forment l’unité.

Il y a une seule église : l’assemblée de Dieu ou l’assemblée de Christ.

Nous nous réunissons non comme membres d’une église particulière, mais comme la seule et unique assemblée de Dieu.

Une même vérité peut être répétée cent fois par l’Esprit avec la même fraîcheur.

Lorsque nous sommes réunis autour du Seigneur, fermons la porte de nos cœurs aux soucis de cette vie, à tout vain bruit.

Nomination d’un pasteur : les brebis choisissent-elles leur berger ?

Nous sommes héritiers de nos devanciers.

Dans l’assemblée, il faut exprimer tout ce dont le cœur est plein.

Si deux frères ne sont pas d’accord, il y a au moins un frère qui a tort, si ce n’est les deux.

Il vaut mieux bégayer que de bien parler et de s’en glorifier.

On ne vient certainement pas à une réunion sans exercices.

On dit parfois : – Allons à la réunion. Ne faudrait-il pas dire : allons à Christ ?

Préparer une réunion, c’est vivre jour après jour dans la communion avec le Seigneur.

Ce n’est pas à nous de porter une appréciation sur la valeur d’une réunion. C’est Dieu qui l’apprécie.

Ne nous imposons pas de règles : laissons-nous conduire par l’Esprit !

Chaque action dans l’assemblée doit être accomplie avec la crainte qui convient.

Que les sœurs prient pour les frères, afin qu’ils soient gardés dans l’humilité et la dépendance du Saint Esprit !

On ne peut pas aimer le Seigneur si l’on n’aime pas l’assemblée.

Une réunion dépend de l’état spirituel de chaque participant, frère ou sœur.

Une vérité mal adaptée est plus dommageable qu’une erreur.
Ce qui est plus dommageable que l’erreur, c’est la Parole de Dieu mal appliquée.

La période de l’Église commence par l’accomplissement de la promesse du Saint Esprit et se termine par l’accomplissement de la promesse de la venue du Seigneur.

Nous sommes les membres du Corps de Christ et non les membres d’une église.

Aimons-nous l’assemblée ?

Le Seigneur voit l’assemblée, non pas selon ce que nous en avons fait, mais selon ce que Lui en a fait.

On peut vivre de l’assemblée, on peut vivre pour l’assemblée. On vient à l’assemblée parce que notre cœur est là.

Jeunes frères, si vous ne prenez pas la relève, il n’y aura plus d’assemblée ! Réjouissons le Seigneur dans ces derniers temps.

Ne pensons pas que le réveil viendra de nous, que nous aurons un mérite. C’est Dieu qui le produira.

Ne regardons pas nos frères en fonction de leurs positions sociales : ce n’est pas spirituel.

Un frère disait : – On s’est toujours fait violence pour aller à la réunion du soir, avec ma femme. On ne l’a jamais regretté !

Ne pensons pas qu’une bonne réunion soit une réunion où l’on a dit des choses compliquées.

Je n’ai pas à regarder à ce que le Seigneur a confié à mon frère, mais à ce qu’Il me confie – et Il me le confie selon ma capacité.

Le Seigneur te donne quelque chose. Tu le dois au rassemblement.

Dans les difficultés d’assemblée, celui qui connaît le mieux les pensées du Maître est celui qui est le plus près du Maître.

Se regarder l’un l’autre ne donne aucune force : regardons à Christ !

Une bonne réunion, c’est lorsque Christ a été manifesté à la conscience et au cœur.
Une bonne réunion, c’est quand Dieu est glorifié et honoré.

Humiliation : sentiment profond de la peine que nous faisons au cœur du Seigneur et de l’état de ruine de l’Église.

L’humiliation est un état de cœur qui ne s’extériorise pas forcément mais que Dieu reconnaît. Nous avons affaire à Celui qui voit dans le secret. Nous n’avons pas à chercher à ce que les autres soient humiliés !

Ce n’est pas dans nos débats que nous réglerons nos problèmes d’assemblée, mais dans une vraie humiliation.

Le croyant fidèle prend sur lui l’humiliation du mal qui se manifeste dans l’assemblée.

La vie d’assemblée est la résultante de nos vies individuelles et de nos vies de famille.

Estime pour les autres, vif intérêt qu’on leur porte, considération, attention, intérêt profond et persévérant pour les autres : le chrétien voit Christ dans son frère.

Ce qui nous gardera dans une appréciation saine de l’assemblée, c’est qu’elle a été acquise au prix du sang de Christ.

Le Seigneur a lavé les pieds des disciples et non leurs têtes – et c’est souvent cela que nous faisons !

S’il y a des blessures au milieu de l’assemblée, et si nous ne ressentons rien, l’état est grave.

Le résidu n’a aucune valeur en lui-même, mais a une grande valeur pour Dieu.

Est-ce que je suis un consommateur ou un distributeur de la vérité ?

La santé du rassemblement est la résultante de la santé spirituelle de chacun, et de celle des familles.

Mon état personnel a une répercussion inévitable sur l’état de l’assemblée. « Seigneur, est-ce moi ? » (Mat. 26. 22).

Nous nous devons tous quelque chose, et avant tout un regard d’amour qui vient de Christ.

Un frère n’est pas plus grand qu’un autre, même s’il a reçu un don remarquable : il est un serviteur.

Les sœurs ont une place fondamentale dans la vie de l’assemblée.

Dire en assemblée : je pense que… est à bannir de toute présentation de l’Écriture.

Toute personne présente dans l’assemblée doit pouvoir recevoir quelque chose, d’où l’importance d’être accessible.

Chacun, dans l’assemblée, ne sait pas faire autre chose que ce qu’il sait faire (l’œil ne peut entendre, l’oreille ne peut voir).

Il y a une fonction dans le Corps que personne ne peut remplir parce qu’elle m’est confiée.

Lorsque les membres du Corps sont en bon état spirituel, ils sont soumis aux directions du Chef du corps.

Quand la Maison est en ordre, les cœurs sont attirés vers le Seigneur.

Que le Seigneur suscite beaucoup de Timothée pour son église ! Que le Seigneur suscite des bergers qui L’aiment, qui aiment l’assemblée !

Tous sont concernés par la vie d’assemblée, les plus jeunes et les plus âgés, pendant et en dehors des réunions de l’assemblée locale.

Ce qui compte aux yeux de Dieu, ce n’est pas le nombre de frères et de sœurs dans une assemblée, c’est leur fidélité.

Dans l’assemblée, vivons-nous chacun pour soi ou chacun pour les autres ?

Dieu veuille que, parmi Son peuple, il y ait beaucoup de Barnabas, de fils de consolation !

Au lieu de dire : Qui est-ce qui a parlé à la réunion ? Demandons plutôt : quel était le message de Dieu ?

Nous sommes membres du Corps de Christ comme le doigt et la main.

Rappeler une vérité ne suppose pas que nous la réalisons (assemblée)

Le Seigneur S’occupe de Son assemblée, et beaucoup mieux que nous-mêmes. Si nous agissons avec le désir de bien faire mais sans le Seigneur, ce sera voué à l’échec.

Mon frère, c’est Dieu qui me l’a confié.

Le Seigneur ne veut pas des chômeurs parmi les frères.

Le « chacun pour soi » n’existe-t-il pas dans l’assemblée ?

La réunion commence par l’exercice de chacun.

La sécurité d’un troupeau ne dépend pas des murs d’un bercail, mais des soins du berger.

L’assemblée est le sujet continuel des affections du Fils de Dieu.

Savons-nous écouter les cœurs de nos frères qui ont besoin de se décharger ?

Il ne nous appartient pas de regarder avec envie ou condescendance à ce que l’autre a reçu.

Consacrons notre vie aux intérêts de la Maison de Dieu.

Quelle est notre priorité : nos intérêts, ou ceux de la Maison de Dieu ?

Nous ne sommes pas des miettes, mais un seul Corps.

Est-ce une coutume ou est-ce une doctrine ? Si c’est une doctrine, ce n’est pas négociable.

Quand on est autour du Seigneur, on trouve que le temps passe trop vite.

Est-ce que nous pouvons dire : – Au milieu de mes frères je ne compte pour rien, quand nous considérons le Seigneur qui S’est anéanti ?

Quand nous nous réunissons, est-ce une réunion pour nous, ou une fête pour le Seigneur ?

Faiblesse des instruments, mais puissance de l’Esprit de Dieu.

La présence d’un enfant peut encourager dans l’assemblée.

Que le Seigneur nous accorde de ne pas être paresseux pour les intérêts de la Maison de Dieu !

Nous ne travaillons pas, dans l’assemblée, pour la ruine, mais en vue de la gloire future.

Que le Seigneur nous jette par terre dans nos rassemblements s’il y a la guerre, car nous sommes un contre-témoignage.

Le camp, c’est là où les idées humaines ont remplacé la seule autorité de Christ.

S’il y a une famine dans une assemblée c’est à cause de l’infidélité de chacun de ceux qui la composent. Car le bras du Seigneur ne s’est pas raccourci.

Ce qui fait la valeur d’une assemblée, c’est la présence de Christ. S’Il n’est pas là, c’est une salle comme une autre.

Si nous aimons le Seigneur, nous aimerons l’assemblée.

Si nous pensons que l’état de notre assemblée locale est bien triste, que tel frère est pénible, pensons que le Seigneur nous a aimés alors que nous étions haïssables.

Sous prétexte de paix, est-ce qu’il n’y a pas certaines choses, dans l’assemblée locale, qu’on laisse faire ?

Une coutume devient mauvaise quand elle entrave le Saint Esprit.

Avoir une même pensée et un même sentiment, ce n’est pas tous penser la même chose, mais désirer que le Seigneur soit glorifié.

Dans le Corps de Christ tous les membres sont vivants, dans la Maison de Dieu, il y a des bons et des mauvais matériaux.

Pour le lieu de rassemblement, le Seigneur ne nous laisse pas à notre « débrouille-toi ».

S’il n’y a plus d’amour, il n’y a plus d’assemblée.

La prophétie nécessite un grand exercice de proximité avec le Seigneur.

Est-ce que les bases de l’assemblée où tu te réunis sont selon la Parole de Dieu ? Si oui, restes-y.

À la réunion, le Seigneur est là pour nous rencontrer.

Nous réalisons la manifestation pratique de l’unité du Corps de Christ lorsque nous reconnaissons l’autorité du Seigneur.

Qu’est-ce que laver les pieds de son frère ? C’est précisément se mettre à genoux devant lui.

« Qu’as-tu que tu n’aies reçu ? » (1 Cor. 4. 7)

Nous sommes appelés à habiter en tout temps dans la maison de Dieu, dans nos travaux, dans nos pensées…

Venons-nous à la réunion avec de bonnes ou de mauvaises œuvres ?

La pensée de Dieu n’est pas que nous soyons des visiteurs du sanctuaire, mais que nous soyons de ceux qui y habitent.

On peut très bien avoir des dons spirituels et être charnels (cas des Corinthiens).

Gardons-nous d’oublier qu’il peut y avoir autant d’orgueil chez ceux qui se défendent hautement d’être Philadelphiens qu’il y a de prétention chez ceux qui prétendent l’être !

Pensons-nous avant toute réunion : « Qu’est-ce que le Seigneur a à me dire ? »

Ma conduite a des répercussions directes sur l’état de l’assemblée tout entière.

Nous ne devons pas constamment parler de la faiblesse de nos rassemblements, car la nuée de gloire, Christ, est au milieu des deux ou trois.

Si un tel est difficile à supporter, rappelons-nous que lui aussi doit me supporter et que le Seigneur nous supporte tous les deux.

Il nous faut cultiver l’intérêt pour nos frères et sœurs.

Nous sommes exhortés à poursuivre : la justice (1 Tim. 6. 11 et 2 Tim. 2. 22), l’amour (1 Cor. 14. 1), la paix (Héb. 12. 14 et 1 Pier. 3. 11), les choses qui tendent à la paix et à l’édification mutuelle (1 Cor. 14. 19), ce qui est bon (1 Thess. 5. 15).

La vie d’une assemblée, ce n’est pas quelque chose d’acquis. Il faut entretenir cette vie.

Sommes-nous prêts à accepter de diminuer pour que le Seigneur croisse dans notre vie, dans l’assemblée ?

… ils ne sont pas assez chrétiens dans le particulier, voilà pourquoi ils ne le sont pas non plus dans leurs réunions.

Nous ne sommes pas ensemble parce que nous suivons la même doctrine, mais parce que nous suivons une Personne : Christ.

Pour affaiblir le croyant, Satan cherche à le priver de nourriture. Tout paraît parfois se liguer pour l’empêcher de lire la Bible ou d’aller à une réunion d’édification !

Une idole peut m’amener très loin et entraîner la souillure pour toute l’assemblée.

Est-ce que l’assemblée, les choses du Seigneur, sont prioritaires dans nos vies ?

Il importe de nous demander chacun pour soi : si l’assemblée agissait comme moi, comment serait-elle ?

Réunion d’administration.
Ordre dans l’assemblée, organisation matérielle de l’assemblée.
Il ne peut pas y avoir de décisions de frères, mais des décisions d’assemblée.
Il y a aussi des sœurs dans l’assemblée.
La décision appartient à l’assemblée tout entière. L’assemblée est responsable de cette décision.
Les choses doivent être faites sans hâte, sans précipitation, et ne peuvent, parfois, être résolues sur le champ,
La douceur n’exclut jamais la fermeté ; la fermeté n’exclut jamais la douceur.

La réunion d’administration est peut-être la réunion la plus solennelle, car nous y prenons des décisions au nom du Seigneur. Le Seigneur pourrait-Il signer en bas de toutes les lettres d’assemblée que nous écrivons ?

L’attachement profond au Seigneur nous conduira à être unis ensemble.

Si nous nous éloignons du rassemblement, nous nous refroidirons.

Une brebis en bon état reste dans le troupeau et près du Berger.

Il n’est pas un membre du corps qui n’est besoin de l’activité et de l’aide des autres membres.

L’autorité de l’assemblée est une expression qui n’est pas juste, c’est effectivement l’autorité du Seigneur au milieu de l’assemblée.

Si une doctrine est nouvelle, elle n’est pas vraie, et si elle est vraie, elle n’est pas nouvelle.

Ne séparons pas l’exhortation de la Personne du Seigneur sinon notre exhortation risque de devenir légale.

Est-ce que je viens à la réunion pour apporter ?

Le surveillant n’est pas un shérif.

La santé du rassemblement dépend de la santé des familles.

Il y a des questions difficiles à répondre car elles engendrent de la spéculation.

Nous ne sommes pas propriétaires de l’assemblée (« assemblée des frères »). L’assemblée est constituée de tous les vrais croyants.

Trois aspects de l’assemblée : d’Actes 2 jusqu’au retour du Seigneur ; tous les croyants vivants à un moment donné ; assemblée locale.

On ne trouve pas l’Église dans l’Ancien Testament, mais seulement par des images.

Le corps n’est pas constitué d’assemblées mais de croyants individuels.

Le Seigneur est au-milieu de ceux qui sont assemblés en son Nom – Il n’est pas « au bord ».

Chaque réunion est une occasion de voir la gloire du Seigneur Jésus.

On ne trouve aucune trace, dans le Nouveau Testament, d’une personne qui fait tout dans l’assemblée.

Un pasteur ce n’est pas tellement celui qui parle mais celui qui va visiter les âmes.

L’ancien est celui qui est mûri par le Seigneur.

N’y a-t-il pas un fossé énorme entre ce que je sais et ce que je fais ?

Dans l’enseignement que nous apportons, joignons-y la grâce.

Le témoignage, ce ne sont pas les frères ! C’est ce que Dieu déclare.

Ne devons-nous pas chercher à nous servir et à nous édifier les uns les autres ?

Rome n’a vu Paul que comme prisonnier. Dieu ne voulait pas que la chrétienté romaine ait un fondement apostolique.

Exerçons la discipline dans un but d’amour pour que le chrétien en chute retrouve la communion qu’il a perdue et soit ramené à la place dont il a fallu le priver.

Comme enfants de Dieu, nous n’avons pas que des relations avec Dieu mais aussi avec nos frères et sœurs.

Si nous nous rendons compte de notre fonction dans le corps, nous chercherons à nous en acquitter fidèlement en vue du profit que l’ensemble peut en tirer.

Ne sommes-nous pas plus prompts à faire ressortir les défauts de nos frères que leurs qualités ?

Les chrétiens sont responsables aujourd’hui comme si toute l’assemblée se réunissait avec eux. S’ils ne sont que deux ou trois à représenter l’assemblée, ils ont à manifester les caractères de toute l’assemblée réunie.

Si le don produit l’édification de l’assemblée, c’est qu’il est exercé avec amour.

Que toutes choses se fassent dans l’amour : c’est le ressort de notre activité dans l’assemblée et de notre activité extérieure.

Nous ne devons pas être préoccupés de dire des paroles qui plaisent aux hommes, mais à Dieu : « oracles de Dieu ».

Le serviteur ne doit pas manger pour donner à manger aux autres ; il doit manger pour lui-même, pour se nourrir et croître ; puis le cas échéant, si l’occasion se présente, il peut présenter aux autres la Parole qui l’a nourri.

Le serviteur n’a pas à se nourrir des erreurs ou des fausses doctrines afin de les juger et de présenter la bonne doctrine. Un bon serviteur se forme en se nourrissant de la vérité.

Sommes-nous des consommateurs ou des combattants dans l’assemblée ?

Est-ce que le monde voit Christ dans nos rassemblements ?

L’assemblée n’a pas été fondée par l’apôtre Paul mais par l’Esprit Saint (Act. 2).

Avons-nous comptabilisé le nombre de réunions que nous avons eu où Dieu nous a parlé ?

Dans l’assemblée, il n’y a pas d’actifs ou de passifs.

Il y a une différence entre préparer une réunion et se préparer à une réunion.

Ce que le Seigneur m’a confié, est-ce que je suis prêt à le mettre à disposition des autres ?

La chevelure est la gloire de la femme ; la femme est la gloire de l’homme ; l’homme est l’image et la gloire de Dieu. La femme se couvre pour que la gloire de Dieu soit vue.

Notre vie personnelle nourrit notre vie d’assemblée.

Ce qui est important c’est que le Seigneur soit glorifié, honoré au milieu des siens.

Si on ne cherche pas la pensée de Dieu, on risque de se laisser aller à ses sentiments.

Le Seigneur a un pouvoir d’attraction.

Parler de Dieu sans Dieu, c’est quelque chose qui endurcit le cœur et la conscience.

La santé d’une assemblée dépend de la santé de chacun : on va de l’individuel vers le collectif.

Le ministère écrit des frères du réveil, nous n’avons pas le droit de le négliger.

Il y a une vérité pour se rassembler.

Dans l’assemblée, il faut se placer devant l’autre Présence.

Un avis sur « PENSÉES SUR L’ASSEMBLÉE »

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