PENSÉES SUR LA VIE CHRÉTIENNE

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PENSÉES SUR LA VIE CHRÉTIENNE

Les temps d’abondance sont parmi les plus dangereux.

Nous appartenons à l’économie la plus favorisée.

Il n’y a rien qui éloigne le plus de Dieu que la forme, les habitudes, la routine. Il nous faut une relation vitale avec Dieu.

Nous ne pouvons pas faire plus plaisir au Seigneur que lorsque nous Lui obéissons.

Le chrétien qui réalise sa position est bienheureux !

Le Seigneur ne veut pas que nos affections soient partagées.

Nous avons une croix à porter chaque jour : par renonciation au monde, par renonciation à nous-mêmes, par dévouement pour les autres.

Nous avons affaire tout d’abord au Seigneur.

L’expérience chrétienne c’est de vivre pour Christ, de Christ, près de Christ.

Pour maintenir une vérité, il faut la vivre.

Le Seigneur a promis de nous garder dans Son chemin. Il n’a pas promis de nous garder dans notre chemin.

Tout ce qui appauvrit notre âme amoindrit ce qui concerne les perfections de Christ.

Quand je suis faible, vidé de moi-même, alors le Seigneur peut agir en moi par la puissance du Saint-Esprit, et alors je suis fort !

Ne renions-nous pas notre Seigneur, ne serait-ce que par un silence ?

Si cela ne nous coûte rien d’être des chrétiens chaque jour, c’est que nous sommes des chrétiens mondains. Il faut se renoncer soi-même chaque jour.

Le verrou est toujours de notre côté. Le Seigneur se tient à la porte et frappe. Il a pu dire : Moi, je suis la porte.

Pour que les fleuves d’eau vive coulent de notre ventre, il faut que les canaux de nos cœurs laissent couler cette eau.

Plus nous aimons le Seigneur, plus nous nous rendons compte que nous ne L’aimons pas assez.

Nous sommes des monuments de la grâce du Seigneur. Les monuments ne parlent pas. Par notre position, la grâce est manifestée. Nous n’avons pas besoin d’en parler.

La responsabilité est à la mesure de la connaissance que le Seigneur nous donne.

Acquières ce que tu hérites.

Qu’est-ce qui est réel en nous ? – Christ vu en nous.

Tout progrès ne peut se faire que dans la conscience.

Lorsqu’on est loin du Seigneur, peu importe la distance.

Si on ne suit pas pleinement l’Éternel, on ne Le suit pas du tout.

Qu’avons-nous refusé au Seigneur dans notre vie ?

Nous ne manquons pas du nécessaire, ni même du superflu. Nous ne manquons de rien par la grâce du Seigneur.

Nous n’avons pas assez de volonté pour vaincre notre propre volonté.

Il faut faire attention à ne pas tout spiritualiser !

Gal. 4. 4 à 7. Par adoption, nous sommes fils de Dieu. Nous crions : « Abba, Père » (Père chéri). Nous avons ainsi une pleine liberté dans l’amour.

Notre vie entière, notre conduite, dépendra de la jouissance de notre position de fils.

Si nous sommes sauvés et que nous le montrons, nous sommes des chrétiens professant que nous avons la vie.

La conscience est une sorte de balance neutre. Elle ne fait que donner des indications. Elle dépend donc de la volonté humaine.

La bonne conscience est celle qui n’a pas à s’occuper du mal.

Être végétarien, c’est en fait méconnaître ce que Dieu a fait pour l’homme après la chute (voir Gen. 9. 3). Avant la chute, l’homme, étant sans péché, ne pouvait se nourrir de viande, car cela impliquait une victime. En agissant ainsi aujourd’hui, l’homme nie, pour ainsi dire, le péché.

Chaque matin, nous pouvons nous demander : – Si je n’ai qu’une journée à passer sur la terre, comment la vivrai-je ?

Vivre longtemps, vivre âgé ; si ce n’est vivre pour Christ, qui le désirerait ?

Nous sommes retirés du présent siècle mauvais (Gal. 1. 4), notre bourgeoisie est dans les cieux (Phil. 3. 20), nous sommes dans les lieux célestes (Éph. 2. 6).

Etre pauvre nous fait dépendre de Dieu d’une manière toute particulière.

On peut être oisif pour le Seigneur tout en étant actif pour les choses de la terre.

Nous sommes misérables. Il est vrai que nous le sommes. Il est vrai qu’il est bon qu’il en soit ainsi.

Le sel conserve un aliment contre la corruption. Il en est de même pour le croyant.

Le bien ne fait pas de bruit et le bruit ne fait pas de bien.

Le comportement est plus important que les paroles.

Quand un chrétien a le Seigneur dans son cœur, il n’est pas porté à faire du bruit : sa marche parle.

Les devoirs des esclaves ne constituent en aucun cas les droits des maîtres !

Quelle place laissons-nous au Seigneur dans notre cœur ? Celle du monde (une crèche) ou la première place ?

Le croyant peut être prudent quant à l’administration de ses biens, mais il doit cependant se garder de toute avarice et prévoir à court terme. La fourmi prévoit pour l’hiver (les jours mauvais). Elle ne prévoit pas pour des années, voire toute une vie (voir parabole du riche en Luc 12. 16 à 21).

La meilleure façon de laver les pieds des autres, c’est de le faire sans penser que nous le faisons.

Phil. 3. 8. « Je les estime comme des ordures », dit l’apôtre Paul. Ce n’est pas un grand renoncement que de renoncer à des ordures !

Dans la vie spirituelle, lorsqu’on s’arrête, immanquablement on va reculer.

Le prix de la liberté, c’est la vigilance permanente.

Le grand danger qui nous menace, c’est l’intellectualisme (telle la maladie des questions en 1 Tim. 6. 4 ; les disputes de mots en 2 Tim. 2. 14). Le livre de Dieu ne se dissèque pas comme un livre d’homme, c’est la vérité révélée par Dieu.

La vie chrétienne n’est pas une promenade.

Ce dont j’ai besoin, c’est de m’oublier moi-même et de regarder à Dieu.

Si je suis pénétré des voies, de la pensée, de l’esprit de Jésus, rien ne me sera plus haïssable que l’apparition du moi.

Notre propre volonté et le fait que nous faisons du « moi » notre centre, sont la source de toute notre misère.

Ayons une juste pensée de ce que nous sommes, et non pas une « haute pensée » de nous-mêmes (Rom. 12. 3. Quelle doit être cette juste pensée ? Une pensée constante d’humilité, estimant l’autre supérieur à soi-même et en regardant aux autres plutôt qu’à soi-même. C’était la pensée même de Christ ! Elle doit demeurer en nous (Phil. 2. 3 et 4).

Quand on connaît le bon chemin, il n’est pas besoin de connaître tous les chemins de traverse.

« Un cœur double » (Ps. 12. 2). En note : un cœur et un cœur. Un cœur pour le dimanche et un cœur pour la semaine.

Le Seigneur nous pèse chacun à la balance du sanctuaire, nous sommes pesés à Sa balance au gramme près.

Le chrétien ne peut pas produire de fruits, mais il peut en porter.

L’entendement est la capacité de discerner les choses qui plaisent à Dieu. C’est la capacité de décider. Encore faut-il être décidé.

Un peu de repos à l’écart nous permet souvent de voir toutes choses paisiblement avec les yeux de Christ.

Si nous n’avons pas le sentiment de nos infirmités, nous devons apprendre à les reconnaître par l’expérience.

Tout ce qui nous pousse à nous rendre agréables au monde et à nous conformer aux habitudes des hommes, nous éloigne de Christ.

Rendre le bien pour le bien, c’est humain.
Rendre le mal pour le mal, c’est bestial.
Rendre le mal pour le bien, c’est diabolique.
Rendre le bien pour le mal, c’est divin.

Un livre peut être une très mauvaise compagnie.

Apprenons à voir le doigt de Dieu dans toutes nos circonstances.

Nous voulons des réponses en fonction des circonstances. La réponse du Seigneur est donnée par rapport à Dieu et suivant les besoins du cœur. Savoir répondre de manière à honorer Dieu, non directement, peut-être d’une manière qui paraît à côté du sujet. Mais une réponse qui donne de l’eau aux racines et non aux feuilles.

Croire et obéir sont synonymes dans la Parole.

Que le contraste soit toujours plus marqué entre le racheté du Seigneur et le monde qui l’entoure !

Rire et faire rire ne relève pas du caractère d’un chrétien. La gravité n’est pas un caractère négatif.

Quand nous sommes tombés, nous savons très bien que Dieu est déjà là pour nous relever.

Il ne faut pas s’occuper continuellement du mal, il faut se tourner vers d’autres influences, de bonnes influences.

Les croyants sont des luminaires dans ce monde. On peut les comparer à la lune. Suivant sa situation, elle reflète le soleil en plein. Le soleil c’est Christ. Les croyants doivent donc refléter Christ dans ce monde de ténèbres. Seulement, il arrive que la lune ne donne pas tous les jours la lumière qu’elle devrait donner, c’est un quartier de lune ou le croissant lunaire. Ce n’est pas la faute du soleil, mais de la lune. Ainsi veillons à refléter Christ et Christ seul. Pour cela, la communion avec Lui est nécessaire.

Les temps faciles sont des temps dangereux.

Méfions-nous de nous-mêmes.

Il faut tout d’abord être vainqueur dans le privé pour pouvoir combattre dans la vie publique.

Rôle des circonstances dans la vie du croyant. Le chrétien n’est pas conduit par les circonstances, mais à travers les circonstances. Les circonstances peuvent être faciles, mais ne sont pas toujours la voie où le Seigneur veut nous voir marcher. D’un autre côté, des circonstances difficiles ne doivent pas nous arrêter, et peuvent faire partie de la voie où le Seigneur veut que nous marchions. Suivant le degré spirituel où nous nous trouvons, nous pouvons demander un signe à Dieu. Un enfant dans la foi sera enclin à demander un signe, plus qu’une personne avancée dans la foi.

Tout bien terrestre est imprégné d’injustice.

Le moi a trois piliers : l’égoïsme, l’orgueil, la volonté propre.

Soyons conséquents avec notre appel céleste !

La seule manière de garder la vérité, c’est de la mettre en pratique.

Nous sommes pesés à une juste balance.

Le monde est trop petit pour notre cœur, seul Christ peut le remplir.

Nous sommes compagnons de Christ (Héb. 1. 9), amis de Christ (Jean 15. 13 à 15), frères de Christ (Héb. 2. 12).

Plus nous sommes petits à nos propres yeux, plus le Seigneur est grand à nos yeux.

Nous avons à apprendre à n’être rien.

Un moment perdu ne se rattrape jamais !

Dieu m’a souvent parlé dans le secret de mon cœur.

Si nous prenons la dernière place, nous verrons le Seigneur assis à côté de nous.

Christ mérite la première place dans nos cœurs, mais aussi toute la place.

Nous ne sommes pas de la nuit, mais nous sommes dans la nuit.

La paix est au-dessus de la joie.

Où vont roder nos pensées ?

En même temps que l’on perd confiance en soi, on progresse dans la connaissance de Dieu.

La connaissance de Dieu est la seule connaissance qui n’enfle pas.

Le Seigneur ne regarde pas à ce que nous donnons, mais à ce que nous gardons.

La conscience du croyant est éclairée par le Saint Esprit. Elle n’est pas une valeur sûre (elle peut être cautérisée…), toutefois elle est une partie de ce qui dirige le croyant – au même titre que la Parole.

Nous avons tous nos limites d’intelligence spirituelle.

Le chrétien est conduit à travers les circonstances, et non par les circonstances.

Nous nous contentons d’un christianisme de compagnie : Christ avec nous (dans nos difficultés, par exemple), alors que nous sommes nous aussi avec Christ dans le sanctuaire.

Nous courons le risque de remercier le Seigneur de n’être pas comme le pharisien qui Le remerciait de n’être pas comme le publicain.

Le Seigneur est le Seigneur a 100 % dans notre vie, ou Il ne l’est pas du tout.

Marthe pense davantage à ce qu’elle peut donner au Seigneur qu’à ce que Lui peut lui donner.

La propre justice est un danger pour tous les croyants.

Être exercé, c’est apporter notre réflexion chrétienne devant Dieu.

Lorsque nous recevons une bénédiction, cela doit toujours nous exercer (car nous ne la méritons pas).

Nous voudrions garder un petit territoire pour nous-mêmes plutôt que de donner tout notre cœur à Christ !

On ne doit jamais accepter le péché en nous, ni en notre frère ou notre sœur !

Tout péché est contre Dieu, c’est ce qui en fait la gravité.

Que nos cœurs soient larges et nos pieds dans le chemin étroit.

Notre cœur est une masse de convoitises latentes.

Lorsqu’un frère a plus de capacités qu’un autre, les capacités qu’il a sont les capacités du vase – et ce vase, pour être employé par l’Esprit, doit d’abord être brisé par Dieu.

Convoiter : désir de s’approprier, pour la satisfaction de la chair, des choses qui sont opposées à la volonté de Dieu.

Pour le chrétien, la seule chose, dans ce monde, qui ne soit pas certaine, c’est la mort.

Pour le croyant, la mort est une servante.

La mort n’est qu’un passage dans un lieu meilleur.

Jurer dénote une certaine confiance en soi ; c’est un acte de volonté propre qui cherche à faire descendre le ciel à notre niveau pour donner du poids à nos affirmations.

Il faut d’abord balayer devant sa porte, avant de s’occuper des autres.

Le chrétien ne doit pas être mou, il doit être doux (Phil. 4. 5).

Pour jouir de la paix de Dieu, il faut avoir la paix avec Dieu.

Tentez de grandes choses pour Dieu, vous recevrez de grandes choses de Dieu.

C’est toujours de notre côté qu’est le nuage, jamais du côté du Seigneur.

Le Seigneur ne me donne pas la force pour demain, car je m’appuierais sur cette force et non sur Lui.

Si nous méprisons le ministère écrit, Dieu nous dira : Jusques à quand me mépriseras-tu ? Mépriser le don, c’est mépriser le Donateur.

La communion préserve des chutes. L’âge avancé, les expériences vécues, la connaissance de la Parole, ne sont pas une sauvegarde. Cette communion n’est pas un don. Elle se recherche et se cultive. Mais elle est fragile ! Ce n’est pas non plus un héritage de parents pieux. Elle ne met pas à l’abri des épreuves.

Toute notre vie est jalonnée, chaque jour, par des choix qui mettent en évidence si nous avons de l’amour pour le Seigneur ou non.

Il faut distinguer trois sortes de larmes : les larmes à la suite de circonstances douloureuses (les plus fréquentes), les larmes sur soi-même (Ex. celles de Pierre – les plus profondes), les larmes lorsque le Seigneur est déshonoré (qui, hélas !, nous arrivent en dernier lieu).

Il ne restera rien de tout ce qui a été fait pour nous-mêmes !

Cela nous arrive facilement, d’être un naturel du pays !

On voudrait bien quitter les fours à briques de l’Égypte, mais on ne voudrait pas laisser les melons et les concombres.

Dieu ne veut pas que nous restions des nains spirituels, Il veut que nous croissions d’une croissance normale.

La croissance spirituelle n’a pas de terme.

Un chrétien spirituel perçoit des choses que les autres ne perçoivent pas.

Prenons garde à la manière dont nous nous traitons et dont nous traitons Dieu.

Notre responsabilité existe sept jours sur sept (et non pas seulement le dimanche matin !)

Brisement : être vidé de soi-même, des mouvements de la chair, de ses facultés personnelles, pour être remplis de Christ.

La connaissance seule amène à la satisfaction religieuse. De même la pratique seule, sans la vérité, ne sert à rien.

La liberté chrétienne, c’est faire tout, sauf ce que l’on veut.

Le fruit est la manifestation de la vie dans un croyant.

Toute notre dignité est en Christ.

Ne méprisons pas ceux qui sont derrière, n’envions pas ceux qui sont devant : marchons ensemble !

Nous ne sommes pas propriétaires des biens que Dieu nous confie, mais nous en sommes administrateurs.

Dans une vie chrétienne, l’âme a des secrets avec Dieu.

Nous parlons souvent de la faiblesse qui est en nous ; pensons plutôt à la puissance de Dieu qui est toujours là.

Plus nous serons occupés de Christ, moins nous serons occupés de nous-mêmes.

Nous avons à nous tenir à l’ombre de la croix et à la lumière de la gloire.

Le désordre est tout ce qui n’est pas conforme à la volonté de Dieu.

Mat. 6. 34 : « Ne soyez pas en souci pour le lendemain, car le lendemain sera en souci de lui-même, à chaque jour suffit sa peine ». Ce n’est pas de notre souci ou de notre peine, mais de celle du lendemain. Ce sont donc des circonstances extérieures à nous-mêmes.

Si nous voulons suivre le Seigneur, il nous faut nous attacher à Sa Personne.

Nous avons à suivre le Seigneur, et non à Le précéder.

Il faut suivre le Seigneur et non Le précéder.

Nous avons à écouter le Seigneur, à Le suivre, à Le servir et à L’attendre.

Le croyant doit écouter le Seigneur (Jean 10. 27), suivre le Seigneur (Jean 12. 26), servir le Seigneur (Jean 12. 26), attendre le Seigneur (1 Thess. 1. 10).

Nous n’échappons pas au gouvernement de Dieu en devenant chrétiens.

Le croyant a les pieds sur la terre et le cœur au ciel.

Pour pouvoir se réjouir, il faut avoir des yeux pour voir la grâce de Dieu qui opère.

La chair, c’est la volonté propre dans un corps.

Rien n’est définitivement figé dans la vie chrétienne, et c’est ce qui fait la beauté de la période de la grâce.

Nous ne sommes pas amour, mais nous sommes lumière dans le Seigneur (Éph. 5. 8).

Les « pourquoi » sont de la terre, les « parce que » sont du ciel.

Il faut recreuser les puits, revenir aux choses du commencement, refaire le chemin moral.

Toute la scène de notre vie se déroule dans notre cœur.

La conscience ne peut bien fonctionner que lorsqu’elle est dans la lumière.

Le croyant est mort, crucifié et enseveli avec Christ. Mais il est aussi vivifié, ressuscité, assis avec Christ dans les lieux célestes.

Il n’entrera dans le ciel de notre vie que ce qui aura été fait pour Christ.

Pour Dieu, tout mouvement de notre cœur est important.

Les vacances, plus que jamais, sont un test d’égoïsme ou de fidélité.

Rien ne peut interrompre ma relation avec Dieu : même désobéissant, un enfant de Dieu reste Son enfant.

Il vaut mieux être tout petit qu’un peu grand.

Il ne faut pas confondre intimité et familiarité avec Christ.

Nous avons chaque jour vingt-quatre heures à faire valoir pour le Seigneur.

De quoi sommes-nous occupés lors de nos entretiens avec le Seigneur : de nous-mêmes ou de Lui ?

Pendant sa chute, le croyant perd la joie de se savoir sauvé, mais non le salut.

Nous sommes immensément riches en Christ, pourquoi vivons-nous des vies spirituelles aussi pauvres ? On voit bien combien nous nous privons nous-mêmes – et même le Seigneur – lorsque nous restons au simple niveau de notre salut.

Le ciel, c’est chez nous.

Nous sommes riches de la richesse de notre Père.

Respect mutuel, s’accepter l’un l’autre, combattre ensemble (et non l’un contre l’autre).

Si le croyant n’insiste pas sur ses droits, c’est qu’il a quelque chose d’infiniment meilleur.

Apprendre à connaître le Seigneur, c’est cela le vrai progrès.

Je suis ce que je pense ; quelles pensées occupent mon cœur ?

On peut être en colère, si l’honneur du Seigneur est attaqué.

Nous avons à préférer notre frère à nous-même.

En tant que croyants, Dieu nous donne notre correctif, et non notre punitif.

La restauration est toujours une œuvre de Dieu. Pour qu’une âme soit restaurée, il faut qu’elle ait les mêmes pensées que Dieu à l’égard de son mal.

Il ne faut jamais faire une visite avec une intention. On y va avec une préparation faite avec le Seigneur. Ensuite, nous avons à porter Christ.

La grâce peut gagner les cœurs ; la sévérité peut réprimer le mal, mais ne peut jamais gagner le cœur.

La grâce et la vérité ne peuvent pas être séparées. Elles sont complémentaires.

Quatre grands faits de la vie chrétienne : la mort de Christ, Sa glorification à la droite du Père, la descente du Saint Esprit sur les croyants, le retour du Seigneur pour enlever Son Église.

L’état de nos cœurs est très important pour le Seigneur.

Je crains que nous n’arrivions à un christianisme de relations plutôt qu’à un christianisme de communion.

Rien, dans la richesse, n’est essentiellement vicieux, et rien, dans la pauvreté, n’est essentiellement vertueux.

Nous n’avons rien sans Christ.

Tous les pas que nous faisons ici-bas, Christ les a faits avant nous. Si nous suivons les pas de Christ dans le chemin, Lui rencontre les dangers avant nous.

Le chrétien a besoin de la force du Seigneur pour réaliser la vie céleste dans les circonstances terrestres.

Comment le Seigneur peut-il trouver Sa joie en nous, si nous avons du goût pour le monde ?

A quel point le bien spirituel de notre frère nous tient-il à cœur ?

Le jugement de soi-même doit être constant.

La grâce est une mer sans rivage et sans fond dans laquelle nous sommes appelés à voguer toutes voiles dehors.

Il n’y a rien de négatif pour un enfant de Dieu.

Il est facile de commencer sa vie chrétienne ; il est moins facile de la continuer.

Si nous estimons qu’il y a pire que nous, c’est que nous nous estimons un tout petit peu quand même.

Jeûne : abstinence des choses qui ôtent le sens moral.

Le croyant ne doit pas être conduit dans les circonstances, mais à travers les circonstances.

L’élection, c’est un secret de famille.

Nous devons nous occuper de nous-même pour nous juger ; au-delà c’est un péché.

Est-ce que le Seigneur est le Maître sur tous les départements de notre vie ?

Il nous faut avoir des cœurs et des affections engagées pour Christ.

Gardons-nous de vouloir monter dans l’échelle sociale pour nous enrichir.

Pour que nous considérions le prix que le Seigneur à pour nous, nous devons prendre conscience du prix que nous avons pour Lui (« Son propre sang »).

Est-ce que nos activités portent le caractère de personnes qui sont occupées du Seigneur ? (Col. 1. 10).

Nous pouvons être des chrétiens célestes, terrestres, ou mondains.

Il n’y a rien qui ressemble plus à un mort que quelqu’un qui dort. Il en est de même dans le domaine spirituel.

Plus nous nous approchons du Seigneur, plus nous sommes à l’abri.

Laissons le gouvernail au Seigneur pour qu’Il dirige notre vie.

La discipline et la miséricorde du Seigneur sont entremêlées tout au long de notre vie.

Dieu nous conduit sûrement vers le but, si nous nous laissons conduire.

Si Dieu a la première place, nous serons bénis.

Que le Seigneur nous aide à faire ce qu’Il veut, quand Il le veut, comme Il le veut !

Passer à côté de la consolation du Seigneur dans la tristesse, c’est faire une grande perte.

La vie chrétienne est la seule qui mérite d’être vécue.

L’orgueil, c’est le principe vital du vieil homme.

Un homme spirituel, c’est un homme en qui l’Esprit de Dieu agit, et qui se soumet à la Parole de Dieu.

Si nous n’avons pas conscience de la grâce de Dieu, nous serons durs pour nos frères.

Ce n’est pas la parole d’un frère qui compte, mais celle de Dieu.

Tout péché interrompt la communion avec le Seigneur et nous rend profondément malheureux.

Chacun de nous doit connaître la locuste qui est en train de manger ses années.

Il nous faut nourrir l’homme intérieur.

Le Seigneur est digne que notre vie soit à Lui.

Il faut venir au Seigneur, et ensuite venir après Lui.

Ce qui compte ce n’est pas ce qu’on laisse pour le Seigneur, mais ce qu’on gagne avec Lui.

Chacun de nous a un lien vivant avec le ciel. Notre vie est liée avec Christ pour l’éternité.

Le Seigneur a-t-il la première place dans nos cœurs, avant de l’avoir tout entière dans le ciel ?

Il ne restera rien de tout ce qui aura été fait pour nous-mêmes.

Un chrétien sur la terre est un apatride.

Ne donnons pas au Seigneur un jour par semaine seulement, pour prendre les six autres pour nous !

Si notre cœur nous sert de Bible, nous courons à la ruine.

Une vérité mal appliquée est plus dommageable qu’une erreur.

Il se pourrait bien qu’après avoir enlevé la poutre qui est dans notre œil, nous ne voyions plus la paille dans l’œil de notre frère ! (voir Mat. 7. 1 à 5).

Si nous marchons devant les hommes au lieu de marcher devant Dieu, nous aurons manqué notre vie.

Nous pensons, parce que nous ne connaissons pas.

En ne voulant faire de peine à personne, on peut faire beaucoup de peine au Seigneur.

La carrière du chrétien se joue dans son cœur.

Le plus important dans la vie d’un chrétien reste caché.

La valeur d’un chrétien n’est pas dans ce qu’il fait, mais dans ce qu’il est.

Vous n’apprenez rien à Dieu quand vous Lui confessez vos fautes, mais vous confirmez être d’accord avec Lui lorsqu’Il les condamne. La fraude a disparu du cœur.

Si un fidèle accepte un renoncement pour le Seigneur, il ne le dit à personne. C’est un secret entre lui et Christ, et il ne le regrette jamais.

Si l’on ne s’occupe pas du Seigneur, on s’occupe de soi.

La vie chrétienne est faite de détails.

La meilleure garantie contre le mal, c’est d’être occupé du bien, mais il faut bien freiner le mal quand il se manifeste.

Un croyant qui est grand, c’est celui qui est au pied de ses frères.

Christ est la source et la fontaine de la joie du chrétien.

Le christianisme est positif.

Veillons à ôter le levain de nos cœurs, de nos maisons, de l’assemblée.

Nous pouvons être des vainqueurs dans nos circonstances. Ne soyons pas des victimes.

Nous devrons rendre compte à Dieu de nos paroles, de nos écrits.

Chacun de nous aura à rendre compte pour lui-même à Dieu.

Il faut être sobre, mais pas sombre.

Nous avons l’occasion unique sur la terre de vivre Christ devant les hommes, de leur faire envie de Le connaître.

Nous ne devons point chercher à paraître chrétien, mais bien à l’être.

Que de blessures infligées par de mauvais propos, qui ont des cicatrices indélébiles !

Ayons des secrets avec Christ !

Il ne faut jamais laisser en suspens un problème avec mon frère ; le temps n’efface pas.

On est souvent indulgent vis-à-vis de soi-même ; vis à vis des autres on est souvent très exigeant.

Si l’on n’est pas persuadé que l’on peut tout en Christ, on ne fera jamais rien.

Nous sommes appelés à vivre continuellement dans la communion avec le Seigneur.

Une de nos ressources pour le temps actuel, c’est de jouir de la grâce de Dieu.

Celui qui vit près du Seigneur connaît Sa volonté et n’a pas besoin de textes formels de Sa Parole pour faire ceci ou cela.

Je pose la question à ma conscience d’abord, puis ensuite à la conscience de mes frères et sœurs.

Ne pensons pas tant au tort que l’on nous fait, mais plutôt à ceux qui se font du tort à eux-mêmes.

Nous devons être entièrement désintéressés, et faire tout pour Christ.

Il est de toute beauté de voir que Pierre, qui a renié son Maître, nous parle des souffrances injustes que le croyant doit subir pour Christ.

À partir du moment où l’on prétend avoir des révélations nouvelles, on est sûr d’être aveugle.

Sommes-nous capables de nous mettre aux pieds de notre frère qui a péché, plutôt que de le juger avec hauteur ?

Celui qui ne se juge pas peut accabler ses frères.

Nous avons souvent un œil de lynx pour voir les défauts de nos frères, mais pas pour les nôtres.

Il n’est pas possible d’imiter Paul sans imiter Son Maître.

Quelles traces est-ce que je laisse derrière moi dans ce monde ?

Si nous faisons les choses sérieusement, nous aurons tout à gagner et les autres aussi.

Nous nous surprenons très souvent à parler d’autre chose que du Seigneur.

Il nous faut nous examiner sans complaisance devant le Seigneur.

Après nous être éprouvés nous-mêmes, nous avons à nous oublier nous-mêmes.

Nous n’avons pas à rechercher des émotions, mais nous n’avons pas à les refouler.

Il ne faut pas découvrir ce que Dieu couvre, ni couvrir ce que Dieu découvre.

Est-ce que nous pensons que le Seigneur ne nous a pas donné ce qu’Il avait de bon pour notre bien ?

Ce n’est pas le bien que le croyant fait qui le sauve, mais c’est parce qu’il est sauvé qu’il fait le bien.

Est-ce que mon cœur est comme ce jardin où le Seigneur peut descendre et y trouver tout ce que Son cœur attend ?

La vérité n’est pas populaire.

La responsabilité de l’homme repose sur ce qui est révélé, et non point sur ce qui est secret.

Les droits de Dieu exigent que l’on prenne connaissance des péchés commis par erreur.

Ne nous arrive-t-il pas de vouloir paraître ?

Est-ce que je m’appuie sur ce que le Seigneur dit ou sur ce que je ressens ?

Sentons le prix de cette courte vie que le Seigneur nous accorde !

La seule connaissance qui n’enfle pas, c’est celle de notre Seigneur.

Plus nous sommes près de Dieu, moins nous paraissons.

Demandons au Seigneur de faire vivre Sa Parole dans nos cœurs.

La grâce n’est pas héréditaire.

Il faut que notre cœur soit comme un chemin frayé vers Dieu.

Notre place est dans la poussière.

Si l’église est en ruine, est-ce une raison pour nous d’être désobéissants ?

Il ne faut pas nous servir de la grâce de Dieu comme d’un prétexte pour des actes contraire à l’Écriture.

Arrêtez-vous, il le faut, pour vous assurer de la pensée du Seigneur ; mais jamais pour raisonner quand une fois vous êtes au clair sur Son intention.

Cherchez à joindre la grâce la plus douce envers les autres, avec le courage d’un lion là où il s’agit de la vérité.

Les vérités que nous avons à garder, l’héritage que nous avons à conserver sont : la Personne de Christ, la Parole, le retour du Seigneur, la prophétie, l’appel céleste de l’église, la ruine de l’homme, l’amour des frères, l’assemblée.

Quelle place donnons-nous au Seigneur dans notre vie ? Toute la place ?

Nous sommes nombreux à être des fils spirituels des frères qui nous ont quittés.

Nous devons supporter tout ce que Dieu supporte.

Le jour de notre conversion, nous avons rejeté le monde en bloc. Il y a un danger par la suite à le reprendre en détail.

Dieu s’approche des Siens ; ils sont approchés ; ils s’approchent d’eux-mêmes.

Pensons à l’amour de Christ pour nous : cela nous fortifiera.

Nous avons besoin du Seigneur comme la plante a besoin du soleil.

Mettons nos vies en ordre avec le Seigneur !

Il faut que nous marchions à la vitesse du Seigneur.

Le Seigneur veut des preuves de notre amour.

La peur nous fait souvent murmurer.

Quand nous acceptons notre impuissance, alors la puissance de Dieu peut se manifester.

Le chemin du Seigneur se terminait à la croix ; pour nous il commence à la croix.

Ayons le courage de refuser les invitations de collègues du monde.

Prenons garde : nous prenons, sans nous en apercevoir, les manières de penser de ce monde !

Si nous sommes attirés par Christ, nous lâcherons ce qui nous accapare.

Ne faisons pas de politique : nous avons le ciel ; laissons la terre aux gens du monde.

A toute faveur que le Seigneur nous confie s’attache une responsabilité.

Prenons garde de ne pas avoir de chambres secrètes dans nos cœurs, des chambres où nous n’aimerions pas que le Seigneur aille !

Le danger pour un chrétien, c’est de faire de son christianisme un christianisme terrestre.

Ce n’est pas un état normal pour un chrétien de ne pas grandir spirituellement.

Il est inutile de pleurer la perte de la fraîcheur primitive s’il n’y a pas de repentance.

L’éloignement intérieur précède toujours le déclin extérieur.

Soyons des habitants du sanctuaire et pas seulement des visiteurs !

Dieu ne nous traîne pas dans l’obéissance, mais Il nous y attire.

C’est la grâce de Dieu qui peut nous tenir debout.

Donnons-nous, dans le détail de nos journées, la place qui revient au Seigneur ?

Ne séparons pas le texte de son contexte !

C’est dans les difficultés que l’on voit les vrais amis, les vrais frères.

Si nous ne restons pas dans la présence du Seigneur, notre résistance au mal s’émousse.

N’entretenons pas nos soucis !

Être occupé de ses soucis, c’est au fond être occupé de soi.

Le connaître Lui : c’est notre grand sujet d’étude sur la terre.

Le chrétien doit être occupé du but et non du voyage.

Le chrétien est en quelque sorte comme un S.D.F. (Sans Domicile Fixe).

La liberté chrétienne a un grand prix, et elle ne peut être maintenue que dans une vigilance permanente.

Nous avons le danger de nous comparer l’un à l’autre !

Être est toujours plus important que faire.

Nos péchés brisent le cœur du Seigneur, mais Son amour brise nos cœurs.

La pire chose qui puisse m’arriver, c’est que Dieu me laisse à moi-même.

Nous avons beaucoup reçu, mais avons-nous beaucoup gardé dans nos cœurs de ce que nous avons reçu ?

C’est une erreur fatale de regarder même au meilleur des hommes, et de nous attendre directement ou indirectement aux moyens humains. Le vrai secret de tout bonheur se trouve en regardant à Jésus.

Caractères du résidu : ne pas se souiller, prier, tenir ferme.

Nos vies sont courtes, très courtes !

Toute la vie du chrétien ne lui appartient plus ; elle appartient à Christ.

Que le Seigneur nous donne d’être petits à nos propres yeux !

Notre cœur n’est qu’un égout.

Nous avons à nous tenir devant Dieu tous les jours.

Le Seigneur ne désire pas que nous fassions l’économie d’un exercice vrai avec Lui.

Est-ce que notre vie chrétienne est une relation avec Christ ?

Un enfant qui s’est converti hier sait beaucoup plus de choses qu’un théologien qui n’a pas la vie et qui s’est usé les yeux à lire la Bible.

Le Seigneur désire que nous grandissions dans Sa connaissance.

Comme il est néfaste pour un croyant de se faire des illusions sur lui-même !

Ce que le Seigneur veut, c’est la réalité.

Rien ne peut détruire nos liens avec le Seigneur et avec Dieu.

Est-ce que nous nous nourrissons suffisamment de Christ ?

Que le Seigneur nous accorde d’avoir, non pas une conscience scrupuleuse ou maladive, mais une conscience délicate !

On a appelé les chrétiens : les gens du Livre.

Entre le monde incrédule et le croyant, il y a une barrière : la croix.

Reconnaissons la main de Dieu dans nos circonstances.

Nous avons besoin de moments seuls avec le Seigneur, de secrets avec Dieu.

Introduisons le Seigneur dans nos circonstances, même celles qui sont difficiles et qu’Il permet, et tout s’éclairera !

Le chemin où le Seigneur nous demande de marcher est un chemin de réjection, de rejet. Ce n’est pas un chemin où l’homme a sa place.

Caractères du résidu : soupirer et gémir à cause de la ruine (Éz. 9. 4) ; arrêter dans son cœur de ne pas se souiller (Dan. 1. 8) ; rechercher la communion d’autres croyants (ne pas se replier sur soi : risque d’orgueil) ; craindre Dieu (Mal. 3. 16 et 17) ; méditer la Parole régulièrement et la garder ; prier sans cesse ; obéir à la Parole de Dieu ; piété (relations avec Dieu) ; amour pour le Seigneur ; justice pratique, habiter moralement dans la Maison de Dieu ; jeûner (abstention des joies du monde) ; joie dans le Seigneur ; attente du Seigneur (Luc 2. 38) ; conscience de n’être rien ; ne pas renier le nom du Seigneur.

Obéissons à Dieu quoiqu’il en coûte. À nous l’obéissance, à Dieu les conséquences.

La première des idoles, c’est le moi. Christ doit occuper toute la place.

Lorsque nous avons cru au Seigneur, nous avons abandonné le monde dans son ensemble. Prenons garde de ne pas le reprendre petit à petit !

Passons dans ce monde ennemi avec nos pieds, mais non avec nos cœurs.

Le christianisme n’est pas un ensemble de doctrines, mais la connaissance d’une Personne, Christ.

Nous avons à vivre dans le monde, mais pas à nous y conformer.

L’activité d’une volonté indépendante est le principe même du péché.

Un chrétien sans doctrine est comme une maison sans fondations.

Sous la grâce, nous ne bénissons pas les autres, mais nous pouvons demander à Dieu de les bénir.

On ne joue pas avec le péché : il y a des chrétiens qui tournent la meule dans ce monde !

Personne ne peut dire qu’il vivra demain. Alors, pourquoi nous attachons-nous aux biens de la terre ?

Comment le croyant doit-il vivre dans ce monde ? Il sert le Seigneur et L’attend (1 Thess. 1. 9 et 10). Il est séparé, retiré du monde (Gal. 1. 4 ; 1 Jean 2. 15 à 17). Il ne doit pas aimer le monde (système organisé sans Dieu) ni les choses qui sont dans le monde (Jac. 4. 4). Il se conserve pur du monde (Jac. 1. 27 ; Dan. 1. 8). Il est prudent vis-à-vis du monde. Il se nourrit de Christ, il vit dans la proximité de Son Sauveur et Seigneur. Il est étranger et ne s’occupe pas de la politique du monde. Il y vit sobrement, justement, pieusement (Tite 2. 12).

Lecture de la Parole de Dieu, prière, communion avec le Seigneur.

Regardons en Haut pour bien marcher en bas !

Ne regardons pas autour de nous, mais en Haut.
Pour marcher droit, il ne faut pas regarder à nos pieds, mais en Haut.

On peut avoir des souffrances parce que l’on regarde trop autour de soi et pas assez en haut.

Tant que nous regardons au Seigneur et non pas aux circonstances, nous pouvons continuer.

Marchons-nous dans ce monde comme des citoyens du ciel ?

On ne comprend bien qu’avec le cœur.

Dieu veut que notre vie pratique corresponde à notre position.

Il faut que nos circonstances soient en rapport avec Dieu et non en rapport avec nous-mêmes.

Notre corps n’est qu’une enveloppe qui doit contenir un trésor.

Comme nous sommes souvent sur la terre au lieu d’être dans le ciel !

Veillons à ne pas être des gourmands de la vigne, c’est-à-dire ceux qui reçoivent la sève comme les autres, mais qui ne produisent jamais de fruit.

La vérité vaut la peine que l’on combatte pour elle.

Quand un enfant de Dieu tombe, il peut tomber plus bas qu’un homme du monde !

Laissons-nous conduire doucement par la main de Celui qui nous aime.

Restons, comme Josué, le plus possible à l’intérieur de la tente. Nous sommes bien obligés d’aller dans le monde, mais n’y allons pas plus que nécessaire !

Ne cherchons pas à paraître, mais à être.

Nous avons à rechercher les eaux paisibles. Si nous recherchons le Seigneur, Il nous y mènera.

Un chrétien, c’est Dieu dans un homme.

La sûreté des brebis dépend des soins du Berger et non des murs du bercail.

Les élites, ce sont ceux qui font humblement leur chemin en s’appliquant à plaire au Seigneur.

Si nous sommes heureux dans le ciel, le monde ne nous attirera pas.

Avons-nous un Christ pour vivre, ou nous contentons-nous d’un Christ pour mourir ?

Le plus important dans la vie d’un chrétien reste caché.

Qui est-ce qui remplit ma vie ? Pour moi, vivre c’est Christ. C’est plus que vivre pour Christ.

Le vrai bonheur n’est pas dans ce qui nous entoure (argent, position sociale, plaisirs), mais dans une Personne : Christ.

Quoique l’apôtre soit en prison, il était heureux et était comblé (Phil. 4. 18). Est-ce que ceci ne nous interpelle pas ?

La bonne volonté n’est pas l’obéissance.

Ne passons pas devant le Seigneur, mais derrière Lui !

Le christianisme est une affaire de cœur pour une Personne : Christ.

L’épreuve fera la preuve.

La vie chrétienne est une vie de foi du début jusqu’à la fin.

Nous qui, par la bonté de Dieu, avons trouvé, dans notre naufrage, un rocher pour nous y mettre en sûreté, allons-nous nous disputer la plus haute place sur ce rocher, à nous élever au-dessus de nos frères sauvés eux aussi de la tempête ? N’avons-nous pas plutôt à nous aider l’un l’autre à tenir ferme sur le Rocher, à bénir Celui qui nous y a mis en sûreté et à prier pour ceux qui luttent encore dans les flots ?

Nous aussi, comme le peuple d’Israël, nous avons un Rocher qui nous suit dans le désert : Christ.

Nous avons voté une fois pour toutes en donnant nos cœurs au Seigneur. Le Seigneur a dit : « Mon royaume n’est pas de ce monde » (Jean 18. 36) : voilà pourquoi nous ne votons pas.

Vivre à contre-courant : plus on remonte le courant de l’eau sale de ce monde, plus on s’approche de l’eau pure de la source.

Le cœur ne calcule pas.

Nous pouvons être troublés dans notre esprit, mais il ne doit pas y avoir de trouble dans notre cœur (Jean 14. 1).

L’amour et la vérité vont la main dans la main.

Derrière les événements préparés par Dieu, le croyant voit la main de Dieu.

Plaçons le Seigneur entre nous et nos circonstances.

Le chrétien est quelqu’un qui a les pieds sur la terre et le cœur dans le ciel.

Rien ne nous rend plus honteux du péché que de voir les souffrances de Christ !

Tout se joue dans nos pensées.

On reconnaît un chrétien comme quelqu’un qui est soumis à Christ.

Un cœur rempli de Christ est un cœur où l’on ne peut rien ajouter d’autre.

Il faut exposer nos soucis au Seigneur, et les Lui laisser. Il faut laisser notre valise de soucis auprès de Dieu.

Nous sommes responsables de gouverner notre esprit, avec l’aide de Dieu.

Pour construire, il faut du temps ; pour détruire, cela va vite !

Sous la Loi, on faisait quelque chose pour être béni. Le christianisme, c’est tout le contraire : parce qu’on est béni, on fait quelque chose.

Il ne faut pas confondre amour et communion. Nous devons aimer tous les frères, mais nous ne pouvons avoir communion avec tous.

Demander un texte formel est souvent un manteau pour le manque de foi.

Ce n’est pas parce que notre conjoint n’obéit pas à la Parole que nous sommes dispensés d’obéir à la Parole.

Chercher des ressources en soi, c’est perdre la possibilité de puiser dans les ressources du Seigneur.

Celui qui est soumis à la Parole de Dieu n’a pas honte de se distinguer du monde, et dans ses pensées, et dans son comportement.

Prenons Dieu au mot : croyons à ce qu’Il nous dit, à Ses promesses.

Le chrétien ne s’appartient pas, il appartient à Dieu.

Tout se joue dans nos pensées.

Nos actes ne sont que les fils de nos pensées.

On ne peut éviter, au travail, le contact avec des personnes inconverties, mais il faut éviter très soigneusement à ce qu’il n’en résulte aucune influence sur la vie spirituelle.

Si nous délaissons la communion avec le Seigneur, la tiédeur envahit rapidement le cœur.

Quand nous trouvons Dieu, les questions tombent.

Le chrétien a ses intérêts dans le ciel et ses pieds sur la terre.

On a besoin, de temps à autre, de prendre de la hauteur, de voir les choses comme Dieu les voit.

Arrêtons dans nos cœurs de faire passer le Seigneur en premier.

Dans ce monde, il y a un combat constant entre la lumière et les ténèbres.

Toute notre vie est sous l’œil de Dieu.

Que le Seigneur nous aide à être chrétiens tous les jours !

Lorsque nous agissons, même avec le nom du Seigneur à la bouche, avec volonté propre, nous faisons fausse route.

On peut perdre son temps à des choses inoffensives. Satan cherche à nous occuper (ordinateur, internet, DVD…).

Pesons nos motifs devant le Seigneur ! Ce n’est pas parce que le but nous paraît important que les moyens sont sans importance.

Pouvons-nous nous passer de certaines choses du monde ?

Apprenons à sélectionner les choses qui nous arrivent : éliminons de nos pensées les choses mauvaises, retenons ce qui est bon.

Les moments passés aux pieds du Seigneur ne sont jamais perdus.

Quel prix le Seigneur a-t-il pour mon cœur ?

Le peu de temps que nous avons à passer sur la terre doit appartenir au Seigneur.

Il faut que chacun de nous ait une relation personnelle, intime, avec le Seigneur.

Nous ne pouvons pas faire un brouillon de notre vie ; nous n’en avons qu’une seule à vivre.

Il faut toujours se placer devant l’autre Présence.

Nous ne devons pas juger les motifs des cœurs, mais entre le bien et le mal.

On n’est jamais lié par un secret dans le mal.

Pourquoi sommes-nous absorbés de choses que nous allons quitter ?

Nous devons garder une distance morale d’avec le monde.

La nourriture principale du croyant n’est pas celle qui passe par la bouche, mais celle qui entre dans le cœur.

Plaçons le Seigneur entre nos circonstances et nous-même.

Si le Seigneur n’a pas la première place dans ma vie, Il aura bien vite la dernière.

Ou bien le cœur est rempli de Christ, ou bien il est rempli du monde.

Quand on veut porter tout seul les fardeaux de la vie, on se rend compte très vite de ses limites.

La mondanité, sous quelque forme que ce soit, détruit la communion, et laisse l’âme désemparée quand le mauvais jour arrive.

On peut perdre sa vie en faisant des choses innocentes.

Si l’on veut faire passer quelque chose de la tête dans nos pieds (ou mains), cela passe par le cœur.

Jude 20. « Conservez-vous dans l’amour de Dieu ». Un fruit est conservé par le sucre, le croyant est conservé dans l’amour de Dieu.

On a le droit de dire que l’on ne sait pas, lorsqu’il y a une question difficile.

Le Seigneur nous attend aux travaux pratiques.

Une brebis malade s’éloigne du berger et du troupeau. Il peut en être de même pour nous : nous pouvons nous éloigner du Seigneur et de l’assemblée.

Nous sommes en quelque sorte baignés dans l’amour de Dieu.

Le chrétien travaille pour vivre. Travailler plus, pour gagner plus, est une devise du monde.

Nous nous décourageons lorsque nous perdons notre confiance dans le Seigneur ou lorsque nous perdons de vue le but de notre passage ici-bas.

S’occuper de Christ sanctifie et transforme à Son image.

Ce n’est jamais un raisonnement qui change notre cœur : c’est le regard de Christ.

Ce qui compte pour nous, c’est d’avoir la conscience de l’approbation du Seigneur.

Ayons en horreur ce que Dieu a en horreur.

Quand on commence à dire : – Quel mal y a-t-il à cela ? on est déjà sur un chemin de chute.

Quel mal y a-t-il à ceci ou cela ? Le chrétien qui vit dans la lumière ne se pose pas une telle question.

Au lieu de dire : Quel mal y-a-t-il à cela ? Disons plutôt : Quel bien y-a-t-il à cela ?

Il y a une vie qui vaut la peine d’être vécue : celle vécue avec le Seigneur.

Ce qui compte, c’est la place que le Seigneur occupe dans nos cœurs, ce qui motive notre attitude, nos mouvements.

La curiosité est charnelle.

Ayons des relations avec le Seigneur, et Il nous gardera dans ce monde.

Il vaut mieux avoir un exercice intérieur que d’avoir une contrainte extérieure qui supprime l’exercice.

La liberté chrétienne, ce n’est pas faire nos quatre volontés (Gal. 5. 13).

Nous sommes libérés, mais ce n’est pas pour pécher.

Tout est livré à notre exercice, et non à notre appréciation.

En aucun cas, dans les interdits de la Parole il n’y a de place pour la liberté chrétienne !

Les chrétiens ne vivent pas ensemble pour s’observer l’un l’autre. Chacun doit s’examiner devant le Seigneur.

Pour que Dieu nous donne de nouvelles lumières, il faut que notre conduite soit à la hauteur de la lumière qu’Il nous a déjà communiquée.

Être un enfant est une chose ; être un enfant obéissant en est une autre.

Veillons à ne pas avoir un christianisme constitué d’un ensemble de petites choses qui laissent dormir chacun dans son coin !

Vous vous sentez petits, faibles, ignorants, insuffisants ? Eh bien, vous donnez au Seigneur l’occasion de déployer Sa grandeur, Sa puissance, Sa sagesse, Sa plénitude.

Que de temps nous perdons à des choses qui ne rassasient pas !

La vie chrétienne est un miracle continuel : celui de remonter le courant de ce monde.

Dieu ne donne jamais de direction pour deux pas à la fois. Il faut que nous fassions un pas ; puis nous recevrons la lumière pour faire un autre pas.

Le Seigneur désire que nous L’invitions dans nos maisons. Il S’invite également chez nous quand Il voit que nous sommes dans les difficultés. « Il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison ». Luc 19. 5.

Quand on connaît le Seigneur, bien des choses perdent leur éclat.

Nous avons à juger la mauvaise pensée, car elle est à la racine de l’acte.

Phil. 4. Pour lutter contre les soucis, réjouissons-nous dans le Seigneur. Le Seigneur fait tout pour notre bien. Il nous donnera la force.

Plus on est occupé du bien, plus il nous imprègne.

Il n’y a jamais de situation sans issue pour la grâce de Dieu.

Le chrétien a sa tête et son cœur dans le ciel, et ses pieds sur la terre.

Glorifions le Seigneur en Le faisant prendre part à nos difficultés. Soyons assurés qu’Il nous donnera de les surmonter toutes, petites ou grandes. Les plus grandes ne sont pas au-dessus de Sa puissance. Son amour s’abaissera jusqu’aux plus petites.

Le Seigneur n’a que faire de nos restes !

Dieu veut nous encourager à avoir un regard qui va au-delà de nos circonstances.

Ce n’est pas nous qui tenons la main du Seigneur, c’est Lui qui tient notre main.

Nous ne pouvons pas nous cacher dans la foule pour ne pas écouter ce que le Seigneur a à nous dire.

L’intérêt de notre vie sur la terre c’est notre relation avec Dieu et la jouissance de cette relation.

Recherchons la proximité du Seigneur : approchons-nous de Lui pour mieux Le voir et mieux L’entendre.

La muraille est aussi symbole d’unité : elle sépare tout ce qui est à l’intérieur de ce qui est dehors. Est-ce que nos cœurs, nos maisons, sont du bon côté de la muraille ?

Pour être gardé, il faut tenir fermement la main du Seigneur.

Nous avons tous à veiller sur nos cœurs, nos maisons, les assemblées.

Nous nous faisons du souci en imaginant des conséquences qui, la plupart du temps, n’arriveront jamais.

Ne disons pas : – Je connais mes limites face à tel danger, car nous franchissons déjà ces limites.

C’est une chose plus grande d’apprendre à connaître la sympathie de Dieu plutôt que Sa puissance.

Le danger pour un chrétien terrestre, c’est de devenir un chrétien mondain.

Lorsqu’on a perdu toute illusion sur moi-même, Dieu peut intervenir.

Dieu peut agir de façon miraculeuse, mais nous devons utiliser les moyens à notre disposition, avec l’aide du Seigneur.

Est-ce que nous n’enfonçons pas les pieux de notre tente un peu trop profondément ?

Démolir, c’est très facile – reconstruire, c’est beaucoup plus difficile.

Refusons la gloire de l’homme.

Gardons-nous de porter un jugement négatif sur les générations qui nous ont précédés, mais pensons plutôt à ce que nous montrons à ceux qui nous suivent.

Ce qui est important, c’est que le cœur reçoive ce que Dieu est disposé à donner.

Ce ne sont pas les païens qui détruisent le christianisme, ce sont les chrétiens !

Avoir été réveillés est une chose, mais nous sommes invités à veiller.

La paresse est une déviation de ce que Dieu veut pour l’homme, c’est-à-dire de travailler.

Posons-nous la question : quelles sont nos motivations ? Le chrétien a une tout autre échelle de valeurs qu’un homme du monde.

Veillons à ne pas être des assistés, en laissant le travail professionnel aux autres collègues.

La vie du croyant sur la terre n’a de valeur que dans la mesure où il vit dans la proximité avec le Seigneur.
Quand le Seigneur demande quelque chose, il convient d’y répondre sans retard.

Cela vaut la peine de ne pas perdre sa vie. Nous n’en avons qu’une ici-bas.

Il nous faut être, avant de dire.

Nous ne pouvons pas vivre sans Dieu. Nous voulons vivre avec Lui. Nous ne pouvons plus nous passer de Dieu, du Seigneur.

Nous avons à avoir des exercices quant à la gestion de notre temps.

L’essentiel de notre vie est invisible, ce sont nos exercices cachés avec le Seigneur.

La vie chrétienne est une vie d’exercices constants.

Quand le Seigneur demande quelque chose, il convient d’y répondre sans retard.

Nous ne pouvons plus nous passer de Dieu, du Seigneur.

Le chrétien a son cœur et sa tête dans le ciel, et ses pieds sur la terre.

Tout ce que j’ai appartient au Seigneur.

Cela vaut la peine de ne pas perdre sa vie. Nous n’en avons qu’une ici-bas.

Il nous faut être, avant de dire.

Pleurer et s’humilier se font aussi en privé. On ne fait pas du théâtre devant ses frères. La chair est très subtile. On peut vouloir montrer que l’on est très spirituel, très humble.

Ce qui humilie, c’est la grâce, c’est la présence de Dieu.

Ce qui nous humilie le plus, c’est le reproche de l’amour du Seigneur.

C’est déjà le travail de la grâce de Dieu si nous pouvons nous courber, nous repentir. Le cœur de Dieu doit nous courber, doit nous humilier.

Ce qui est plus important que les sacrifices : écouter ou obéir (1 Sam. 15. 22), un cœur brisé et humilié (Ps. 51. 16 et 17), pratiquer ce qui est juste et droit (Prov. 21. 3), la bonté et la connaissance de Dieu (Osée 6. 6), aimer Dieu et son prochain (Marc 12. 33).

Nous avons à réaliser l’humiliation, à être abaissés à nos propres yeux.

Avant l’humiliation collective, il doit y avoir l’humiliation individuelle, dans le secret de nos cœurs. « Ayant fermé ta porte » (Mat. 6. 6).

La vraie humiliation, celle du cœur, est celle où l’on reconnaît que ce que Dieu dit et fait est juste.

La vraie humiliation, c’est Dieu qui la produit, elle est spontanée. Le Seigneur la discerne dans mon cœur.

L’humiliation, c’est voir les choses comme Dieu les voit.

L’humiliation est produite par l’Esprit de Dieu, par la lecture de la Parole, et nous amène à souffrir dans ce que le Seigneur souffre.

Ce qui humilie le plus nos cœurs c’est la grâce de Dieu, Sa grande patience. Il n’y a rien qui anéantisse le plus l’homme que la grâce de Dieu !

On ne trouve pas la force dans l’humiliation, mais l’humiliation ouvre un terrain pour que la grâce de Dieu se déverse.

Ce qui est plus important que les sacrifices : écouter ou obéir (1 Sam. 15. 22), un cœur brisé et humilié (Ps. 51. 16 et 17), pratiquer ce qui est juste et droit (Prov. 21. 3), la bonté et la connaissance de Dieu (Osée 6. 6), aimer Dieu et son prochain (Marc 12. 33).

Une idole, c’est ce qui nous attire vers le monde.

Rien n’endurcit plus la conscience que le fait d’ajourner l’obéissance.
L’obéissance consiste aussi à ne pas faire ce qui ne nous est pas commandé.

Ce n’est pas en faisant des efforts que nous résisterons à Satan, mais en ayant Christ dans notre cœur.

Quand nous sommes tristes, découragés, perplexes, le Seigneur vient marcher avec nous !

Dieu ne permet pas que nous voyions les choses d’avance, autrement nos cœurs ne seraient pas exercés.

Tout croyant a besoin d’être seul à seul avec le Seigneur.

On ne peut pas rester stationnaire dans les choses de Dieu : ou on avance, ou on dégringole.

La confiance en soi est le ferment de la chute.

Il vaut mieux nous tenir tranquilles et laisser faire le Seigneur.

La gloire du chrétien, c’est d’être méprisé.

Il ne faut pas confondre l’intimité avec le Seigneur et la familiarité avec Lui.

Combien de temps volons-nous au Seigneur ?

Que pense le Seigneur de ce que je suis en train de dire, de faire, de penser ?

Le chrétien a ses pieds sur la terre et son cœur au ciel.

Il y a un homme légal qui sommeille au fond de chacun de nous.

Le Seigneur ne nous donne pas de réserve de force, mais Il nous la donne jour après jour.

La vérité connue doit toujours avoir un effet moral.

Il y a toujours de la bénédiction à se soumettre à la volonté de Dieu, bien que nous ne puissions pas toujours comprendre le pourquoi des choses.

Si je n’ai pas de lumière pour avancer, mon devoir est de rester tranquille.

Sous la loi, Dieu dit : Faites ce que vous n’êtes pas. Sous la grâce, Il dit : faites en fonction de ce que vous êtes.

Nous sommes extrêmement dangereux quand nous avons le sentiment d’avoir raison.

Ce qui fait la valeur de chacune de nos vies c’est la relation que nous avons avec le Seigneur.

Est-ce que nous voulons laisser sur la terre la marque de notre passage ou est-ce que nous souhaitons avoir l’approbation de Dieu ?

La connaissance de Christ éclipse tout le reste.

On apprend beaucoup à travers des questions.

Les choses vaines qui peuvent inutilement occuper notre temps sont une perte.

Quand on a appris à connaître Dieu, on n’en a pas de regret.

Que de fois, lorsque nous nous sommes trompés, nous ne nous jugeons pas complètement !

On ne perd rien quand on ne goûte pas aux délices du péché. C’est cela la vraie vie.

Le temps n’arrange pas les choses si elles ne sont pas confessées.

On dit : – Tant que l’on ne fait rien, on ne risque pas de se tromper. C’est faux. Le Seigneur l’a reproché à l’esclave qui a caché son talent (Mat. 25. 27).

Si nous aimons le Seigneur, nous n’avons pas de peine à faire ce qui Lui plaît.

Comme nos craintes et nos frayeurs d’autrefois paraissent petites et mesquines, quand nous marchons avec Dieu !

Lorsque nous Le rencontrerons, nous ne regretterons aucun sacrifice.

Un frère disait : « L’histoire de ma vie, c’est l’histoire de mon dépouillement ».

La faiblesse est une bonne situation où le Seigneur peut bénir.

Le Seigneur nous attend aux travaux pratiques.

Tous les instants de notre vie sont importants, et tous sont à passer sous le regard du Seigneur.

Gardons-nous de nous nourrir de nos larmes. C’est encore être occupé de soi.

Une faute non jugée se reproduit tôt ou tard dans les mêmes circonstances.

Si nous manquons de grâce, c’est immanquablement parce que nous ne L’avons pas goûté suffisamment.

Si nous souffrons d’insomnie, rendons grâces au Seigneur : c’est le moment de s’approcher de Lui, de méditer.

Quand on a des certitudes, on ne se remet pas tout le temps en question. On ne se laisse pas déstabiliser.

Nous avons besoin d’entretiens individuels avec le Seigneur, bien souvent, dans notre vie.

Si nous déchirons nos cœurs, Lui le voit.

Tout ce qui ne nous rapproche pas de Christ est une perte.

Si le lac est calme, il reflétera le ciel. Si nos cœurs sont calmes, ils refléteront le ciel.

On a pu enfermer l’apôtre Paul, mais on n’a pas pu enfermer son amour pour le Seigneur et pour les Siens.

Une doctrine que nous possédons, ce n’est pas une doctrine que nous connaissons mais une doctrine que nous vivons.

Le parti le plus à craindre, c’est celui qui semble avoir raison.

Chacun doit d’abord avoir affaire à Dieu comme s’il était seul sur la terre.

Dieu ne nous donne jamais de la lumière pour deux pas à la fois.

Être un demi-croyant c’est ne pas être croyant du tout.

Nous avons toujours à veiller à ne pas mettre le projecteur sur nous.

Il est plus difficile de porter que de colporter.

Nous devons avoir une vie de piété secrète en proportion avec l’activité extérieure.

Tout ce qui est à moi appartient au Seigneur.

Sans abandon de ce qui est à l’origine de nos fautes, toute confession est illusoire.

Obéir plus tard, ce n’est plus obéir.

Nous sommes tirés du monde, pas du monde, envoyés dans le monde.

Plus vite nous confessons, plus tôt cela sera, alors nous serons délivrés de l’endurcissement.

Notre chair est la même que celle de ceux qui ont crucifié Christ.

Tous ceux qui veulent élargir le chemin cherchent un peu plus du moi et un peu moins de Christ.

La valeur d’une personne réside dans le fait qu’elle est riche en Dieu.

Nous sommes les plus élevés des hommes et nous devons être les plus humbles, les plus effacés.

Avant de prendre des décisions importantes, nous avons à consulter Quelqu’un. C’est Quelqu’un qui peut tout, et rien ne peut l’empêcher d’agir.

Je suis plus sûr du secours de Dieu pour demain que de demain lui-même.

Je n’ai jamais vu deux frères lutter pour avoir la dernière place.

La grammaire enseignée traditionnellement dans les écoles nous dit : 1ère personne : je ; 2ème personne : tu ; 3ème personne : il. Mais pour la vie chrétienne, c’est l’inverse qui est la règle d’or : 1ère personne : Il, le Seigneur ; 2ème personne : tu, les saints ; 3ème personne en importance : je.

On reconnaît un chrétien à ce qu’il dit, et on apprécie un chrétien à ce qu’il fait.

Ce qui sera votre trésor dans votre vie, c’est ce que vous aurez appris avec le Seigneur avant l’âge de trente ans.

On vit très souvent dans le futur ou le passé, mais pas assez dans le temps présent.

Dans l’économie de la grâce, il y a toujours une issue.

Le Seigneur désire nous engager dans une vraie relation avec Lui.

Parfois Dieu nous jette par terre pour que nous nous jetions aux pieds du Seigneur.

Le Seigneur – et non le service – doit avoir la première place dans ma vie.

Élevons-nous dans nos pensées !

Ce qui est important, ce n’est pas ce que nous faisons mais ce que fait. le Seigneur

Qui est-ce qui n’a jamais fait un mauvais pas dans sa vie ? Que le Seigneur remplisse nos cœurs de grâce envers les autres !

Que nos relations portent la marque de Celui qui nous aime !

La pente est rapidement descendue quand le cœur n’est plus parfait devant Dieu !

La chair a besoin d’une religion, mais d’une religion qui ne mette la chair pas de côté.

Il faut s’occuper des choses positives.

Tout se joue dans nos pensées.

Quels sont les motifs qui nous font agir ?

Le repos est nécessaire, mais est également dangereux.

Avons-nous une heure précise de rencontre avec le Seigneur, chaque jour ?

Sommes-nous une source d’eau pour les autres ?

Cherchons comment réjouir le cœur de notre cher Seigneur !

Le péché devant Dieu ne vieillit pas, même si on l’oublie. Il disparaît quand il a été confessé et qu’il y a eu repentance.

Dieu dirige toute circonstance : il n’y a pas de chance, pas de hasard pour le croyant.

Le temps n’efface pas le péché.

Nous devons être fermes dans notre esprit, et doux dans nos affections.

Soyons vrais devant le Seigneur !

Professer une chose ne veut pas dire que nous la réalisons toujours.

Que de choses changeraient si nous avions l’énergie d’un Élie et la grâce d’un Élisée !

Quand je me crois fort, alors je suis très faible.

Si Satan attaque, on pourrait oublier les besoins des âmes et cesser de construire.

Si nous sommes occupés du mal extérieur, nous ne pouvons-nous permettre de négliger notre propre condition morale ou celle de l’assemblée.

Dans la vie chrétienne, il n’y a pas de sur-place : ou on avance, ou on perd du terrain.

La jouissance des fruits n’aura jamais lieu pour ceux qui se sont laissés aller à la paresse spirituelle.

Nous sommes chrétiens 24 heures sur 24 – et non pas seulement le dimanche.

Le Seigneur veut que nous soyons occupés de Lui pour montrer un peu de Lui.

Qu’est-ce que je prendrais, en priorité, si ma maison brûlait ?

Il n’y a pas de vie de communion authentique sans la communion avec le Seigneur.

Prenons notre petit lit tous les jours de notre vie, n’oublions pas qui nous étions avant que le Seigneur ne soit venu nous sauver.

Notre intérieur est beaucoup plus important que notre extérieur !

On peut perdre sa vie en poursuivant des choses légitimes !

Chaque jour nous avons à apprendre ce qu’est le monde, notre propre cœur et le cœur de Dieu !

Dans notre vie, il y a ce que nous subissons et où il y a de la souillure, et il y a ce que nous choisissons et où il y a de la souillure.

Pour être gardé de la souillure, il faut rester près du Seigneur.

Nous avons besoin que les autres nous supportent, car nous ne sommes pas tous pareils.

Respirons davantage l’atmosphère du ciel !

Dieu sait toujours mieux que nous ! Il faut juste être malléable, souple et assez simple pour discerner où, quand et comment l’Esprit nous conduit.

Il y a en nous cette propension à nous relâcher quand tout va bien.

Pour grandir spirituellement, il faut un investissement de temps et d’énergie.

Que restera-t-il dans la passoire dans laquelle s’écoule notre vie ?

C’est avec le cœur que l’on apprend la pensée du Seigneur.

Les biens matériels sont un danger réel, même pour nous chrétiens, car ils risquent de nourrir notre orgueil et de durcir notre cœur, en nous éloignant des pauvres, auxquels le Seigneur Lui-même s’est associé dans ce monde.

On a tendance à s’abriter derrière les autres au lieu de sentir sa propre responsabilité.

On peut combattre pour une certaine vérité sans que le cœur soit touché. Que c’est triste !

La question est de savoir si l’on donne la gloire à l’homme ou au Seigneur !

Nous avons de la valeur aux yeux du Seigneur.

La liberté chrétienne, c’est la liberté de plaire au Seigneur – et non pas de faire ce que je veux.

Qui oserait dire que le Seigneur a toute la place dans son cœur ? Qu’au moins Il ait la première place !

Ce que Dieu permet dans nos vies a du sens pour Lui d’abord, et ensuite pour nous.

On peut soit entrouvrir la porte au Seigneur, soit la Lui ouvrir toute grande.

Dans le Seigneur, il n’y a jamais de voie sans issue.

Si on fait le procès des autres, c’est la preuve que l’on n’a pas fait le sien.

Nous avons à apprendre à abandonner au Seigneur les circonstances que nous ne comprenons pas (décès, injustice…).

Posons-nous la question : – Quels sont les critères de réussite de la vie d’un chrétien ?

Quand on n’est pas occupé des choses de Dieu, on est occupé de ses affaires personnelles et des choses du monde.

La période du christianisme n’est pas celle des interdictions, mais de la recherche de ce qui plaît au Seigneur.

Ce que nous connaissons, mettons-le en pratique !

Dieu veut que nous voyions le monde comme Lui le voit.

Nous n’avons pas de leçons à donner aux personnages bibliques : nous nous reconnaissons.

Si les défaillances des hommes et des femmes de foi ne nous sont pas cachées, ce n’est pas afin que nous émettions contre eux de jugements sévères, mais afin que nous comprenions que la chair en nous n’est pas meilleure que la leur.

Lorsque nous ne savons pas quelque chose, disons simplement : Dieu le sait (2 Cor. 12. 3).

L’indulgence est une faiblesse humaine ; la patience est selon Dieu.

L’habitude constante de juger la chair dans les petites choses est le secret pour être gardé de chute.

Nous avons tendance à regarder les fautes des autres au microscope et les nôtres au télescope.

Faisons nos examens de conscience devant Dieu.

Confesser ses péchés, c’est porter sur le péché la même appréciation morale que Dieu.

Il y a trois jugements dans l’Écriture : le jugement de soi-même, le jugement de l’assemblée et le jugement de Dieu.

Voyons ce que la grâce de Dieu produit dans nos frères et sœurs !

Nous n’avons pas besoin d’un texte formel pour connaître la volonté du Seigneur. Si nous vivons près d’une personne, nous saurons ce qu’elle aime. Le christianisme est une affaire de cœur beaucoup plus que d’intelligence.

« À moi l’obéissance, à Dieu les conséquences ».

Attention à nos tendances, jugeons-les !

Ne disons pas de bonnes choses sur quelqu’un devant lui pour ne pas le flatter. Ne disons pas de mal de lui dans son dos.

Il faut être sévère envers soi-même et plein de grâce envers les autres.

Compassion : la souffrance de l’autre me touche tellement qu’elle devient ma propre souffrance.

Souffrons-nous lorsque notre communion avec Dieu est interrompue ? Le Seigneur en a terriblement souffert pendant les trois heures de ténèbres.

La piété c’est l’introduction de Dieu dans ma marche pratique.

Ma plus grande idole, c’est moi.

Toute vérité, si elle est saisie par le cœur, rend humble.

Il n’y a rien de plus néfaste pour la vie chrétienne que la propre volonté.

La vie chrétienne est faite de choses simples.

Chacun de nous est responsable de vivre sa vie chrétienne.

Si l’opposition nous rejette sur Dieu, nous y gagnerons en fin de compte.

Recherchons l’humilité.

Lorsqu’on fait le procès des autres c’est que l’on n’a pas fait le sien.

Est-ce que nous ne gardons pas de compartiment dans notre vie où le Seigneur n’est pas admis ?

Le croyant est entièrement libre, et cependant il est esclave volontaire de Christ.

Le croyant est un homme « en Christ » et un homme « dans l’Esprit ».

La confession contribue le plus à la gloire du Seigneur Jésus.

Il est humiliant pour un croyant de s’endetter, et s’il contracte des dettes ne devrait-il pas mettre toute son énergie pour s’en défaire dans la mesure de ses forces, et aussi rapidement que possible ?

Je dois avoir égard à la conscience de mon frère et ne pas l’attrister. L’amour doit me diriger.

La liberté chrétienne est précieuse mais prenons garde que ce ne soit pas une liberté charnelle !

Ne devons-nous pas tendre à ce qui est de la paix, et à l’amour, qui ne détruit pas, mais qui édifie ?

Tenons notre chair dans la mort. Elle ne vaut rien.

Ne pensons pas être supérieur à nos frères.

Méfions-nous de la confiance en nous.

Le Seigneur ne nous attend pas dans nos paroles mais dans notre marche.

Si nous comptons sur nos propres forces, ce sera toujours l’échec.

Si nous sentons que cela ne va pas, nous avons besoin de croiser le regard du Seigneur.

Ne nous comparons pas aux autres. Le Seigneur ne nous demande pas de porter une appréciation sur les autres.

Ce qui est important ce n’est pas ce que nous pensons mais ce que le Seigneur pense.

Est-ce que depuis un an j’ai descendu dans ma vie spirituelle ou est-ce que j’ai monté ?

Nous sommes enfants de Dieu par la nouvelle naissance et nous sommes fils de Dieu, c’est notre position.

Comme enfants de Dieu, nous avons la nature de Dieu et nous manifestons dans ce monde l’amour et la lumière de Dieu.

Étant nés de Dieu, nous pratiquons la justice (1 Jean 2. 29), nous ne pratiquons pas le péché (1 Jean 3. 9) et nous aimons ceux qui sont engendrés de Dieu.

Toute affliction, même la plus pénible qui soit, peut devenir pour nous une occasion de bénédiction, et une protection.

S’il y avait aujourd’hui autant de zèle à discipliner ceux qui critiquent et qui répandent de faux bruits que ceux qui tombent dans l’immoralité, ce serait pour la santé et le bien-être spirituel de l’Église de Dieu.

Nous n’accomplissons pas d’œuvres pour être sauvés, mais nous marchons dans les œuvres parce que nous sommes sauvés.

Le jugement continuel de soi-même rend le croyant capable de juger avec indulgence les manquements d’autrui.

Les œuvres sont exclues comme moyen de salut mais nous ne pouvons pas en déduire qu’elles n’ont pas de place dans la vie chrétienne.

Plus nous jouirons de Christ et de son amour, plus notre cœur s’ouvrira à tous ceux qui sont aimés de Christ.

Nous devons nous appliquer à être dirigés par une seule pensée : celle de l’Esprit.

L’Évangile de paix que nous avons reçu nous prépare à marcher en paix au milieu de l’inquiétude du monde. Nous ne serons pas indifférents à l’agitation de ce monde, mais nous ne serons pas affectés ni remplis d’anxiété par les événements.

Pour être disciple, il faut suivre le Seigneur, obéir, être à son école et apprendre comme des élèves.

Christ est la réponse de Dieu à nos profonds besoins.

Ce n’est pas par nos propres forces que nous resterons fidèles au Seigneur.

Ne regardons pas autour de nous, mais en haut.

La souillure se transmet ; la sainteté ne se transmet pas.

Nous avons la paix avec Dieu (Rom. 5. 1), nous jouissons de la paix avec Dieu et par-dessus tout nous connaissons le Dieu de paix (Phil. 4. 7 et 9).

On peut se souvenir des péchés que l’on a commis mais avec la certitude que Dieu ne se souviendra plus de nos péchés.

La piété porte avec elle un profit pour l’éternité.

Tout le bien qui aura été fait pour le Seigneur dans le secret, sera manifesté le moment venu.

L’âme qui vit dans la piété apprend à attendre tout de Dieu et est heureuse et contente de ce que le Père, dont elle connaît l’amour, lui donne.

Quelle place Christ tient-Il dans notre cœur et dans notre vie ?

La piété : rapports de l’âme avec Dieu.

C’est difficile de posséder quelque chose sans en faire une idole.

Les épreuves participent à notre progression dans la foi.

L’amour pour tous les saints, ce n’est pas la communion.

Nous représentons le Seigneur sur la terre.

Esprit : faculté de chaque croyant d’entrer en relation avec les choses divines.

Ce n’est pas parce que j’ai été fidèle que c’est une garantie pour l’avenir.

Quand on suit le Seigneur, c’est Lui qui fait tous les choix.

Est-ce que nous vivons pour Christ ?

Ne cherchons pas à nous faire un nom au milieu des saints, mais à ce que le Seigneur soit glorifié.

Si nous n’avons pas la même pensée, ne nous laissons pas aller à l’irritation.

Crions-nous à cause de nos péchés ou à cause des conséquences de nos péchés ? Il faut chercher l’origine du mal.

Dans les situations où il n’y a pas de solution, le Seigneur est la solution.

On entend quelque chose qui nous semble véridique et on le répand, alors que si on avait pris la peine de le vérifier, on aurait pu en constater la fausseté.

La liberté chrétienne ne nous autorise pas à faire ce que nous voulons.

Le fait d’être un enfant de Dieu n’empêche en rien ma capacité à pécher car j’ai la chair en moi.

Il n’y a rien qui réponde à la chair comme la chair.

Devant Dieu il n’y a aucune miséricorde pour un péché non confessé.

Veillons à éradiquer les mauvaises pensées.

Le Seigneur veut un véritable contact avec chacun de nous.

L’erreur n’entre plus par la porte mais par la fenêtre (Windows).

Caractères du résidu : il parle à l’autre du Seigneur, la joie, il rend grâces, il est caché, il veut toujours plus connaître le Seigneur Jésus, il adore, il attend le Seigneur Jésus, il recherche la présence de Dieu et y reste.

Le Seigneur désire que nous ouvrions notre cœur.

Est-ce que nous sommes prêts à tout lâcher pour accueillir le Seigneur ?

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