PENSÉES SUR LA PRIÈRE

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PENSÉES SUR LA PRIÈRE

La prière doit occuper une part importante dans le service.

Nous avons accès au Père mais aussi à Dieu par Jésus-Christ (nous sommes agréables dans le Bien-aimé).

La prière est une bonne habitude jusqu’au moment où elle devient une routine.

Dans la prière, on trouve la supplication et l’action de grâces.

« Vous n’avez pas parce que vous ne demandez pas » (Jac. 4. 2).

« Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal » (Jac. 4. 3).

Demander « Comme il convient » (Rom. 8. 26).

« Si nous demandons quelque chose selon Sa volonté, Il nous écoute » (1 Jean 5. 14).

La prière est la respiration de l’âme.

Un frère qui ne prie pas dans le secret n’est pas qualifié pour prier devant ses frères.

La prière n’est pas un don. C’est un service confié à chacun.

La prière ne peut être – et toujours – que la manifestation de l’Esprit.

Il n’est pas nécessaire de prier longuement. Une simple demande peut répondre à des besoins.

Celui qui prie pour les malades doit avoir du discernement pour comprendre les voies du Seigneur à leur égard.

La prière est la respiration de l’âme, la lecture de la Parole de Dieu en est la nourriture.

La prière est la respiration incessante du nouvel homme.

Un croyant qui ne prierait pas s’asphyxierait spirituellement.

Nous ne pouvons prétendre nous servir de la foi et de la prière pour imposer à Dieu notre volonté.

« Priez sans cesse ». Ce n’est pas passer toute sa journée à genoux aux pieds du Seigneur. C’est maintenir continuellement la communion avec Lui.

Prions d’une façon précise !

Dieu répond toujours à nos prières. Il nous répond : oui ; non ; attends.
La prière est le refuge du chrétien.

Ah ! Quelle ressource puissante et riche que la prière !

La prière est un bon baromètre de notre communion avec Dieu.

Prière : contemplation, vision de Dieu. Sphère de communion avec Dieu sans forcément lui exposer nos besoins (voir Act. 7. 55).

Le temps que nous investissons en prière n’est pas un temps perdu !

Il faut se tenir à genoux devant Dieu pour pouvoir être debout devant le monde.

Le chrétien est appelé à avancer à genoux.

On ne sait pas renverser un homme qui est à genoux.

Apprenons à prier pour ceux qui sont injustes pour nous.

L’apôtre Paul était un « vétéran de la prière ».

On est pratiquement conduit à prier de plus en plus.

La prière est un des premiers signes qu’une personne est un enfant de Dieu.

Lorsque nous prions, est-ce que nous prions pour prier, ou est-ce que nous prions pour exposer nos besoins ? Est-ce que nous allons nous relever comme si nous n’avions pas parlé au Seigneur ?

« Ne vous inquiétez de rien » (Phil. 4. 6). Si nous sommes occupés du Seigneur, est-ce qu’il restera beaucoup de place pour l’inquiétude ?

Supplication : notion d’insistance, prière instante.

Intercession : prier pour quelqu’un d’autre.

On peut très bien prier en pensée en faisant quelque chose d’autre.

Ne disons pas : « Si je n’ai pas reçu, c’est par manque de foi ». Si Dieu ne nous donnait que seulement lorsque nous avons la foi absolue, nous n’aurions pas grand-chose.

Nous prierons dans le ciel (Apoc. 5. 8).

Celui qui prie n’est pas seulement un combattant, mais un vainqueur.

Il ne faut pas s’imaginer, dans nos prières, pouvoir faire céder Dieu.

Nous aimerions bien demander au Seigneur du pain pour 8 jours. Mais alors ce serait la mort de la prière !

Prier n’est pas un don ; c’est un épanchement de cœur.

La prière n’est pas un don, c’est un état d’âme devant Dieu.

La lecture de la Parole nous aidera à comprendre quels sont nos besoins et ainsi à les exprimer dans nos prières.

Plus le cœur s’abaisse, plus la prière s’élève.

Ce n’est pas lorsque l’incendie est déclaré chez mes frères et sœurs que nous avons à aller le combattre. Nous avons à prier les uns pour les autres.

Que nous nous tenions près des paroles de l’Écriture lorsque nous prions !

Celui qui se prive de la prière méprise le moyen mis à sa disposition par Dieu pour communiquer avec Lui.

Dieu répond à nos prières pour Sa gloire et pour notre croissance spirituelle.

Le Seigneur est toujours à l’écoute du moindre soupir de ceux qui Lui appartiennent.

On peut s’approcher du Seigneur avec crainte, mais aussi avec la confiance de l’amour.

Lorsque nous sommes en prière, nous pouvons aussi rendre grâces de ce que Dieu nous donne – et non pas seulement voir ce qui nous manque !

Jamais un chrétien n’a autant de raisons de prier que quand il n’en éprouve pas le besoin.

Nous devrions avancer dans un état de prière permanente. Usons-en, en particulier, en famille, en assemblée.

Je ne peux pas changer mes frères, mais prier.

La grâce de Dieu est toujours prête à répondre à la prière d’un cœur droit.

Nous risquons de nous confier plus dans nos prières qu’en Celui à qui nous parlons.

Lorsque nous avons prié, recherchons les choses que nous avons demandées.

Approchons-nous de Dieu par la prière, non pas seulement pour Lui demander, mais aussi pour Lui parler.

C’est un excellent exercice de foi, d’attendre la réponse de Dieu à notre prière.

Faisons précéder toutes nos décisions, toutes nos actions, de la prière.

Notre vie de prière montre si nous sommes près du Seigneur ou non.

La première manifestation de l’amour pour notre frère, c’est de prier pour lui.

Si je prie, je reconnais mon impuissance devant Dieu.

Vidons souvent notre cœur devant le Seigneur.

Par la prière, je parle à Dieu ; par Sa Parole Il me parle. Il y a donc un dialogue.
La prière nous permet d’être en contact permanent avec Dieu.

L’Éternel prépare le secours de loin pour le faire venir en temps voulu.

Prions pour que le Seigneur nous redonne la fraîcheur des relations que nous avions avec Lui.

Une sœur, après avoir prié, disait : Je me réjouis de voir comment le Seigneur va répondre.

Apprenons à attendre le moment du Seigneur !

On ne peut pas prier trop.

Est-ce que nous rendons grâces à Dieu avant d’être délivrés ? Nous oublions parfois de Lui rendre grâces après !

Apprenons à remercier Dieu avant la réponse et après la réponse !

La prière est la ressource permanente et précieuse mise à la disposition de la foi.

La prière c’est l’expression des besoins d’un enfant devant son Père.

Il ne s’agit pas de dicter notre volonté à Dieu dans la prière.

Il est plus facile de lire beaucoup que de prier beaucoup, mais les deux sont liés et vont ensemble.

On peut bien prier après avoir lu, on peut bien lire après avoir prié.

Si nous voyons que Dieu ne répond pas tout de suite, au lieu de nous révolter et de chercher des solutions, continuons à prier.

Un homme de Dieu est un homme de prières.

À la prière de la foi, Dieu va toujours répondre.

Nos vies devraient toujours être baignées de prières.

Si Dieu répondait toujours immédiatement à nos prières, notre foi ne serait pas exercée.

Est-ce que nous prions avec une foi solide, profonde ?

La prière, c’est un combat, c’est quelque chose de positif.

On prie parce que l’on a un besoin.

Si Dieu ne nous donne pas ce que nous Lui demandons, c’est qu’Il a quelque chose de meilleur pour nous.

Un poste de travail ne se trouve pas à Pôle emploi, mais d’abord dans sa chambre, à genoux.

Ne dictons pas notre volonté à Dieu !

Le Seigneur n’est pas intéressé par nos prières du bout de nos lèvres mais par celles qui viennent du fond de nos cœurs.

Dans la prière, je peux dire à Dieu : Toi tu es grand, moi je suis petit.

Le chrétien doit être un intercesseur de son assemblée locale, c’est-à-dire qu’il doit en parler avec son cœur à Dieu. Nous avons le choix : être, soit des intercesseurs, soit des accusateurs.

Le Seigneur a besoin d’intercesseurs et non d’accusateurs.

Un intercesseur c’est quelqu’un qui se tient entre un homme et Dieu.

L’inquiétude disparaît lorsqu’on expose les choses à Dieu.

C’est à partir du moment où l’on réalise sa faiblesse, que l’on pourra faire appel aux ressources divines.

La prière est la reconnaissance de notre dépendance et de notre faiblesse, mais c’est aussi le moyen direct d’amener jusqu’à nous la force de Dieu.

Il est plus facile de voir les défauts de nos frères que de nous mettre sur nos genoux pour prier pour eux !

Quelqu’un qui ne prie pas, c’est un peu comme quelqu’un qui ne respire pas.

Intercéder, c’est se placer entre deux personnes pour les rapprocher.

Ne cessons pas de prier pour ceux qui se sont éloignés !

On demande des choses au Seigneur pendant des semaines, et ensuite notre merci est très court !

Demander au nom du Seigneur, ce n’est pas trahir Sa pensée.

N’oublions pas de prier pour la croissance spirituelle de l’assemblée.

Un chrétien disait : « J’ai beaucoup de choses à faire aujourd’hui. Je passerai donc deux heures à prier auparavant ».

Le Seigneur répond à nos prières, mais Il a Son heure et Il a Ses moyens.

Les frères du 19ème siècle se caractérisaient par des Bibles usées (du fait de la lecture assidue qu’ils en faisaient) et par des pantalons aux genoux usés (car ils étaient souvent en prière).

Jamais il ne nous sera reproché d’avoir demandé trop de bénédictions à Dieu.

Il faut que nous sachions demander au Seigneur de pouvoir brûler les ponts derrière nous.

Nous avons tendance à rendre grâce à Dieu des bénédictions reçues plutôt qu’à la Personne de Celui qui bénit.

Le travail de Dieu se fait d’abord à genoux.

Nous sommes toujours des mendiants devant Dieu : c’est Lui qui nous donne tout.

Souvent nous nous agitons, nous nous inquiétons, au lieu de remettre tout, paisiblement, au Seigneur.

Il n’y a jamais, pour le Seigneur, de situation sans issue.

Avons-nous remercié Dieu de nous avoir donné le Saint Esprit ?

Réunion de prières.

La réunion pour la prière est un grand encouragement pour un cœur pieux qui recherche les intérêts de Christ.

Quand on prie, il faut prier positivement et non pas dire toujours : « Si Tu le veux ; si c’est Ta volonté ».

Nous prions pour exposer à Dieu nos besoins. Il ne nous appartient pas d’enseigner Dieu. En le faisant, ce n’est pas Dieu que nous avons en vue, mais nos auditeurs. C’est la mort de la prière.

Quand on prie en assemblée, on ne prie pas pour ses besoins personnels, mais pour l’assemblée.

Si je savais qu’il y ait une assemblée dans le monde, et que cette assemblée fut en prières et que les larmes couvrent le sol, je traverserais le monde, s’il le faut, pour aller dans cette assemblée ».

Une prière d’assemblée, c’est le bras droit de Dieu en mouvement.

La réunion de prières est le poumon de l’assemblée locale.

Les longues prières ont tué les réunions de prières.

La prière est la respiration de l’assemblée.

La réunion de prières est le thermomètre du rassemblement local. C’est là que normalement débute tout ministère public.

La réunion de prières n’est pas l’addition de prières individuelles, mais chaque frère est l’organe de l’assemblée.

Si nos prières ne sont pas dites sous la direction du Saint Esprit, elles ne montent pas plus haut que le plafond de la salle où nous sommes.

La prière n’est jamais horizontale. C’est un grave péché de s’en servir comme d’un levier pour convaincre son frère. Une telle prière ne dépasse pas le plafond du local.

Pour la fraîcheur des réunions de prières, prions de façon courte.

Les prières courtes apportent de la fraîcheur.

Évitons les prières correctives suite à une prière dite par un jeune frère !

N’annonçons pas quelque chose dans nos prières, mais au début de la réunion !

Ne sermonnons pas nos frères à travers nos prières !

Plus nous apprenons à mettre de côté nos propres pensées et nos désirs, plus nous faisons l’expérience de la paix de Dieu et nous éprouvons du soulagement.

Plus nous abandonnons nos fardeaux à Dieu, plus nous serons légers et heureux.

C’est un bienfait de Dieu de pouvoir nous retrouver pour la prière en assemblée.

Jeûner sans prier ne sert à rien.

Chacun s’approprie une prière par l’amen qu’il prononce.

Est-ce que nous nous rappelons ce que nous avons demandé dans la prière et que nous l’attendons ?

Si on fait des prières générales, on ne verra jamais de réponse.

La prière est l’expression de notre dépendance.

Quand je prie, je dois me reposer exclusivement sur Dieu.

La prière est l’expression de ma dépendance et de ma communion avec le Seigneur. C’est l’expression de ma confiance et de ma soumission.

Si on demande au Seigneur : ouvre-moi une porte, Il répondra. Soyons disponibles !

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