PENSÉES SUR LA PAROLE DE DIEU

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PENSÉES SUR LA PAROLE DE DIEU

Il y a deux façons d’étudier la Parole : le télescope (avoir une vue d’ensemble sur un livre) et le microscope (étudier chaque détail contenu dans un livre).

Il ne faut pas photographier notre Bible, mais il faut la sonder.

L’Écriture ne nous invite jamais à douter. Elle nous invite toujours à croire.

Il n’est jamais parlé, dans la Parole, des hommes de Dieu, mais de l’homme de Dieu.

Les Juifs, selon leur alphabet qui comprenait 22 lettres, ont divisé l’Ancien Testament en 22 livres : les 5 livres de Moïse, les Hagiographes (Psaumes, Proverbes, Écclésiaste, Cantique des Cantiques), les prophètes, qui comprenaient 13 écrits.

Femmes dans le Nouveau Testament : Élisabeth (Luc 1), Anne (Luc 2), Marie, de laquelle est né Jésus (Mat. 1 ; Luc 1), la belle-mère de Pierre (Mat. 8), la femme Samaritaine (Jean 4), Marie, la mère de Jacques le mineur (Marc 16), la fille de Jaïrus (Marc 5), la veuve de Naïn (Luc 7), la femme pécheresse (Luc 7), Marie de Magdala (Marc 16), Hérodias (Marc 6), la femme cananéenne (Mat. 15), Marthe (Luc 10), Marie de Béthanie (Luc 10), la femme adultère (Jean 8), la femme infirme depuis 18 ans – la fille d’Abraham (Luc 13), la pauvre veuve (Luc 21), Salomé (Marc 16), la servante (Jean 18), la femme de Pilate (Mat. 27), Sapphira (Act. 5), Tabitha (Act. 9), Rhode (Act. 12), Lydie (Act. 16), la servante qui avait un esprit de pithon (Act. 16), Priscilla (Act. 18), Drusille et Bérénice (Act. 24 et 26), Phoebe (Rom. 16), Évodie et Syntiche (Phil. 4), Loïs et Eunice (2 Tim. 1), la dame élue (2 Jean 1), la femme Jésabel (Apoc. 2), la femme de l’Agneau (Apoc. 19).

La vérité et l’amour sont indissociables dans les Écritures.

Le seul étalon que nous ayons, c’est l’Écriture.

Toute étude de la Parole de Dieu doit être faite sous le regard de Dieu, dans la dépendance du Saint Esprit, avec prière.

Nous n’avons pas le droit d’imaginer ce que la Parole ne nous dit pas !

Ce n’est pas une doctrine que nous découvrons dans l’Écriture, c’est Christ Lui-même.

Quand nous lisons un livre du monde, nous portons une appréciation. Quand nous lisons la Parole de Dieu, c’est elle qui nous juge.

Gardons-nous de privilégier telle ou telle partie des Écritures !

Ne trions pas les passages de la Parole qui nous intéressent. « Toute Écriture est inspirée de Dieu » (2 Tim. 3. 16).

Il est important de lire la Parole en son entier, et non pas seulement les passages que nous préférons.

Nous ne devons pas lire et étudier la Parole, avec pour premier but d’enseigner les autres, mais premièrement pour nourrir notre âme.

Si la science est d’accord avec la Parole de Dieu, tant mieux pour la science.

Ce qui a caractérisé nos conducteurs, c’est qu’ils nous ont annoncé la Parole de Dieu, et rien autre que la Parole de Dieu.

Prendre de la peine pour étudier la Parole. La coquille est dure, mais la noix est exquise.

Il est grave de faire de la Parole la servante de nos idées.

C’est une bonne chose que nous ne comprenions pas toute la Parole de Dieu ; cela nous garde à notre place !

L’homme raisonne quand la Parole est dans sa tête ; la foi fait descendre la Parole dans son cœur.

Quand on aime un ami qui nous écrit, on lit et relit sa lettre. Nous avons à faire de même pour les épîtres.

Apprenons à lire la Parole dans un esprit de prière !

Paraphraser la Parole de Dieu risque d’affaiblir la force des expressions employées par l’Esprit Saint.

Plus on lit l’Écriture, moins on est en danger de la remplacer par des idées personnelles.

Lisons la Parole chaque jour pour laisser le Seigneur rayonner à travers nous.

Est-ce que nous lisons la Parole de Dieu pour nous laisser pénétrer par elle ?

La Parole de Dieu nous place dans la Présence de Dieu.

La loi est une expression parfaite de la pensée de Dieu à l’égard du bien et du mal.

Prenons garde afin que la Parole ait des effets positifs dans nos cœurs !

Toute la Parole nous parle, mais elle ne parle pas que de nous (80 % pour Israël, 20 % pour l’église).

Creusons la parole, il en vaut la peine !

Il nous faut être soigneux pour creuser la Parole.

On peut lire la Bible en une année en lisant 2 pages et demie par jour.

Si nous lisons la Parole superficiellement, nous perdrons des enseignements fondamentaux.

Silences de l’Écriture : le Saint Esprit, avec beaucoup d’égards, a recouvert tout cela de silence pour toujours.

Respectons le silence de Dieu aussi bien que Sa Parole.

Si la Parole de Dieu ne nous donne pas, sur tel ou tel point, les détails que nous aimerions savoir, c’est parce qu’il n’est pas nécessaire que nous les ayons.

Plus nous obéirons à la Parole de Dieu, plus Dieu nous fera connaître Sa Parole.

Nous pouvons rendre grâces à Dieu de ce que jamais personne n’a pu sonder toute la Parole de Dieu. C’est un infini.

Sept grandes dispensations sont mentionnées dans l’Écriture : Adam et Ève dans l’état d’innocence ; Adam et Ève dans l’état de pécheurs ; Noé et le déluge ; Abraham, homme de foi ; la Loi donnée à Moïse ; la venue de Christ et la période de la grâce ; le millénium.

Imprégnons-nous de la Parole de Dieu !

On lit souvent la Parole de Dieu rapidement, mais il faudrait la lire très lentement !

Prenons le temps de faire une lecture systématique de la Parole de Dieu accompagnée de commentaires.

La vie que nous avons reçue du Seigneur ne peut être maintenue que si nous sommes nourris de la Parole. Demandons au Seigneur d’augmenter notre faim de lire Sa Parole.

Comment lire la Parole de Dieu : prière, lecture de la Parole de Dieu, chercher ce que Dieu veut nous dire, lecture des écrits, prière.

Les écrits sont au service de la Parole, mais ne nous dispensent pas de chercher ce que le Seigneur a à nous dire, et par là d’un véritable exercice devant Lui.

La Parole de Dieu est comme un puzzle : chaque pièce est utile. Lorsque le puzzle est constitué, on voit clairement le visage du Seigneur.

La lecture de la Parole de Dieu nous permet de mieux connaître le Seigneur, nous sanctifie, éclaire notre chemin.

Ne disons pas : la Parole de Dieu s’adresse aux Corinthiens, aux Colossiens… A parler ainsi, elle ne s’adresserait jamais à nous !

La Parole de Dieu est beaucoup plus importante que la parole que l’on peut dire.

Nous lisons la Parole de Dieu parce que notre cœur a besoin d’être rempli.

Les versets de la Parole peuvent avoir une portée historique, morale, typique, prophétique.

Lorsque nous lisons la Parole, disons : Seigneur, fais-moi entendre ta voix ! (Cant. 2. 14).

Lisons assidûment la Parole en la laissant fouiller nos cœurs, en nous disant : elle me parle.

Une plante que l’on n’arrose pas dépérit. Un chrétien qui ne lit pas la Parole dépérit.

Si nous nous écartons de la Parole de Dieu, nous risquons de tomber dans ce travers où chacun fait ce qui est bon à ses yeux.

La façon dont la Parole agit sur nous montre bien que c’est Dieu qui parle.

Avons-nous le désir de nous laisser instruire par la Parole ?

Être occupé de Christ, c’est Le chercher dans la Parole de Dieu.

Il y a un très grand bénéfice à nous laisser labourer par la Parole de Dieu.

Je sais ce que je dois faire, où je dois aller, si je suis imprégné de la Parole de Dieu.

Quand nous lisons la Parole, nous avons besoin de ruminer, de repasser les choses dans nos cœurs, car ce n’est pas ce que nous avalons qui nourrit, mais ce que nous digérons.

En lisant l’Ecriture, cherchons le contact avec le Seigneur.

Nous pouvons demander au Seigneur qu’Il nous ouvre la vue quand nous lisons la Parole.

La loi est comme un miroir : elle montre à l’homme ses péchés, mais ne peut les effacer.

Dire que la Parole nous suffit sans les écrits, c’est prétentieux

La Bible est le seul livre qui vaille la peine d’être lu et cru.

Un mystère, c’est quelque chose qui était caché précédemment et que Dieu révèle à la foi.

Pour entrer dans la pensée de Dieu, il faut du temps pour lire la Parole et pour se sanctifier.

Utilisons les temps où nous ne sommes pas assaillis par la tourmente pour nous fonder sur la Parole et y puiser notre force de résistance.

Que la Parole soit l’aliment spirituel de nos âmes !

Le péché nous éloigne de la Parole de Dieu et la Parole de Dieu nous éloigne du péché.

Si nous avons faim de la Parole de Dieu, nous n’allons pas la critiquer.
Toute la Parole est pour nous, mais elle ne parle pas toujours de nous.

Dans la Parole de Dieu, un mystère est un secret que Dieu révèle aux Siens.

« Qui cherche des textes, cherche des prétextes ». Nous n’avons pas à chercher dans la Parole pour justifier notre point de vue.

Cela ne sert à rien de « serrer » des vérités, si elles ne se manifestent pas dans nos vies.

C’est une bonne chose de lire la Parole le matin, afin de nous en ressouvenir tout au long de la journée.

Quand nous lisons la Parole, le Seigneur nous parle. Quand nous prions, nous parlons au Seigneur. Les deux choses sont nécessaires.

Nous avons à nous soumettre, en tant que chrétiens, à l’autorité morale de la loi.

La connaissance de la Parole n’est pas forcément de la spiritualité.

Si nous ne comprenons pas toute la Parole, gardons-la, jusqu’au jour où Dieu nous éclairera.

Si notre cœur est vide, ne cherchons pas à déployer une activité pour le Seigneur. Lisons plutôt la Parole avec prière.

Les Psaumes traitent de la loi et de Christ. Dans l’état chrétien, il faut choisir : ou Christ ou la loi.

Je n’aurais jamais tant aimé la Parole de Dieu, si je n’avais eu tous ces dons écrits.

Soyons sobres, ne rajoutons rien, mais lisons la Parole de Dieu.

Nous prenons le temps de nourrir notre corps au moins trois fois par jour : prenons le temps de nourrir notre âme !

Que la Parole de Dieu fasse l’objet de nos méditations et de nos conversations !

Revenons à ce qui était au commencement. C’est à la source que l’eau est pure !

La Parole passe par la tête et doit passer dans le cœur pour agir dans la marche.

Plus on lit la Parole, plus on a envie de la lire. Moins on la lit, moins on a envie de la lire. Plus on va aux réunions, plus on a envie d’y aller. Moins on y va, moins on a envie d’y aller.

Prenons garde de nourrir notre être spirituel et de chercher les choses qui sont en haut !

L’appétit pour la nourriture spirituelle est le meilleur antidote contre l’attrait des choses de la terre.

À quel terrain mon cœur ressemble-t-il chaque jour ? (Mat. 13).

Quand un cœur jouit de la Parole de Dieu, de la présence du Seigneur, des choses tombent d’elles-mêmes et on abandonne bien des choses qui entravaient notre vie.

La pensée du chrétien, c’est : – Que dit l’Écriture ?

La plus grande partie de nos désobéissances provient de ce que nous ne restons pas en contact vivant et journalier avec la Parole de Dieu.

N’essayons pas d’arranger nos désirs avec la Parole de Dieu.

Cultivons notre relation avec Dieu en lisant Sa Parole et en Le priant.

Les noces du premier Adam commencent la Bible, celles du second la terminent.

Moïse aurait peut-être eu droit à quelques hiéroglyphes sur une obscure tombe égyptienne. Tandis qu’il a son nom écrit dans le Livre de Dieu ! (la Parole de Dieu)

Est-ce que nous nous emparons de la manne, chaque matin, avant qu’elle ne soit gâtée par la chaleur du jour ?

Évangiles synoptiques : Matthieu, Marc, Luc.

Évangile signifie bonne nouvelle.

Dire qu’il y a quatre évangiles est faux : il n’y a qu’un seul évangile écrit par quatre disciples.

L’évangile de Matthieu est un évangile dispensationnel, c’est la dispensation du Millénium.
Héb. 3. 3 : 1ère dispensation
Héb. 12. 18 à 28 : 2ème dispensation.
Héb. 13. 13 : dispensation actuelle (hors du camp)

La dispensation actuelle est celle de l’évangile.

Luc 22. 15. Pâques : dispensation juive.
Mat. 26. 64 : fin de la dispensation juive.

Marie est présentée trois fois aux pieds du Seigneur : pour écouter Sa parole, pour adorer et pour prier.

Les épîtres de l’apôtre Paul commencent et finissent par la grâce.

Grâce et paix : ces deux termes introduisent et couronnent les épîtres.

Paul a été l’apôtre de la foi ; Jean a été l’apôtre de l’amour ; Pierre a été l’apôtre de l’espérance.

L’épître aux Romains a été écrite 22 ans après la conversion de Paul, après 10 ans de ministère.

Si l’apôtre Paul avait veillé à ne pas faire de la peine, la première épître aux Corinthiens n’aurait pas été écrite.

Éphésiens 1 et 2. L’apôtre est allé trois ans à Éphèse. Son service se termine dans cette épître. Dans cette épître, nous ne voyons rien qui nous parle du retour du Seigneur.

Dans l’épître aux Colossiens, le croyant est sur la terre, et Christ est en lui.

Héb. 11 est le grand chapitre de la foi. 1 Thess. 4. 13 à 5. 11 est le grand passage de l’espérance. 1 Cor. 13 est le grand chapitre de l’amour (parole de Dieu)

La valeur de l’Ancien Testament est rehaussée par l’épître aux Hébreux.

Les apocryphes.

« Rejette les fables profanes et de vieilles femmes » 1 Tim. 4. 7.

Il n’y a que la Parole de Dieu qui soit inspirée. Certains écrits peuvent l’être sous la direction du Saint Esprit, mais non inspirés (l’inspiration est le souffle de Dieu).

Nos pères, en ajoutant les apocryphes à la Bible, croyaient, avec quelques précautions, ajouter à l‘édification. Aujourd’hui, si l’on veut ajouter les apocryphes à la Bible, c’est que, au fond, on est plus convaincu de l’humanité de la Bible que de sa divinité !

Les apocryphes exaltent l’histoire de l’homme.

Il n’y a point d’espérance messianique dans les apocryphes (alors que pour Israël, elle était le centre de tout).

Il y a des pages sans inspiration spirituelle, divine. Ceci démontre bien qu’elles ont été écrites par des humains et qu’elles reflètent leurs faiblesses.

Certaines pages exaltent l’homme et non Dieu.

Certains passages contredisent ou dépassent l’enseignement de la Bible (Ex : passages qui semblent dire que tous n’ont pas péché, qui enseignent le mérite des œuvres, la préexistence des âmes, encouragent la prière pour les morts, approuvent le suicide).

Certains passages sont cyniques, voire vulgaires (Ex : il ne faut pas trop pleurer les morts, le riche doit bien se traiter).

D’autres manquent d’élévation morale (Ex : prescription sur l’indigestion ou la colique).

D’autres, enfin, sont mêmes grotesques (Ex : faire de la fumée pour faire fuir un démon).

On ne trouve pas trace des apocryphes dans les grottes de Qumran.

L’histoire de ces écrits fait clairement apparaître qu’ils ne font pas partie du canon des Saintes Écritures que Dieu nous a donné.

La Bible – la Parole de Dieu – montre ce qu’est l’homme dans les racines même de son être comme aucun livre ne l’a jamais fait ni ne peut le faire.

Quand je lis la Bible, je reconnais son autorité absolue sur mon âme, comme étant la Parole de Dieu. Il n’y a pas de plus grand privilège que d’être en relation directe avec Dieu.

La Parole de Dieu touche la conscience, même si la volonté lui est opposée.

La foi des chrétiens est fondée sur le fait que la Bible est la Parole de Dieu.

La Bible n’est pas là pour changer la société, mais pour changer les cœurs.

Ne négligeons aucune partie de la Parole de Dieu.

Ne soyons pas juge de la Parole mais laissons-la nous juger.

Laissons de côté notre portable quand nous lisons la Parole de Dieu.

Le terrain de la Parole est gratuit à condition que nous y marchions.

Quand nous lisons la Parole, cherchons Christ : la vraie connaissance est là.

Face à tout ce qui est faux dans ce monde, cramponnons-nous à la Parole de Dieu.

La Parole de Dieu n’est pas comme un autre livre des hommes : elle parle à nos consciences et nos cœurs.

Approprions-nous la Parole de Dieu.

Quand nous ouvrons la Parole, disons au Seigneur : Montre-moi ce que tu veux – et non pas ce que je viens chercher.

Ne prenons pas un verset comme serviteur de ce que l’on pense.

Plus on décide d’avoir du temps avec le Seigneur, plus on y trouvera de plaisir.

Quand on fait des efforts pour être en communion avec le Seigneur, Il nous le rend bien.

Baignons-nous dans la Parole de Dieu.

Ne lisons pas la Parole trop vite et superficiellement en y mélangeant nos propres pensées. Sondons les pensées de Dieu sans parti pris et avec prière.

Il est nécessaire de lire l’Ancien Testament, en faisant toujours attention au contraste absolu qu’il y a entre la loi et la grâce. Israël était sous la loi : nous sommes sous la grâce ; Israël était le peuple terrestre ; nous sommes le peuple céleste de Dieu.

Nous avons besoin d’écouter ce que Dieu veut nous dire.

Le chemin est trop long pour nous si nous négligeons la Parole de Dieu et sa méditation régulière.

Quand la Parole parle d’espérance, c’est quelque chose de certain.

Dieu nous a mis de la nourriture équilibrée dans la Parole.

Ce ne sont pas les signes qui nous aident, c’est la Parole de Dieu.

On ne regrette jamais d’être aux pieds du Seigneur.

Notre vie est dans les mains du Seigneur : faisons Lui confiance.

Luttons contre la pudeur qui nous empêche de parler de sujets spirituels avec nos invités.

Priorisons les choses devant le Seigneur.

Si j’ai une heure de libre, est-ce que je vais sur les réseaux sociaux ou est-ce que je vais lire la Parole de Dieu ?

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