PENSÉES SUR LA FOI

IMG-20210112-WA0000

PENSÉES SUR LA FOI

La foi est le remède aux soucis.

Moïse a refusé. Il s’agit du refus de la foi. Mais il a aussi choisi. Il s’agit là du choix de la foi (Héb. 11.24 et 25).

Refuser, choisir, estimer, tenir ferme : quatre grandes étapes de la foi.

Satan est satisfait lorsqu’Il réussit à nous éloigner, par la peur, du sentier pur et simple de la foi.

Acceptons-nous de partir sans savoir où nous allons, sans discuter, comptant sur le Seigneur et sur Sa Parole ?

La foi se traduit par le refus des sollicitations du monde.

Qu’est-ce qui va bien quand tout va mal ? – La foi.

La foi reçoit au présent.

Ce qui importe, ce n’est pas la grandeur de notre foi, mais la grandeur de Celui sur qui repose notre foi.

La foi ne parle jamais de ce qu’elle veut faire ; mais elle fait ce qu’elle peut par la force du Seigneur.

Ne soyons pas des timides de la foi !

Est-ce que notre foi sait attendre avec patience, même longtemps, le moment de Dieu ?

À partir du moment où le chrétien marche par la vue et non par la foi, il se traîne par terre.

Les géants, dans notre vie, ce sont bien souvent l’incrédulité, le manque de foi, de confiance dans le Seigneur.

La foi rend présent l’avenir, et visibles les choses invisibles.

La foi, c’est croire que Dieu est vrai – et donc nous obéissons à tout ce qu’Il dit.

Les yeux de la foi percent dans l’éternité.

La foi se plaît à faire ce qui plaît à Dieu.

Différents sens du mot « foi » : foi en salut (Gal. 2. 20), foi en confiance (Ps. 16. 1), foi, ensemble des vérités de la vie chrétienne (Jude 3).

Trois sens du mot foi : croire Dieu, confiance en Dieu, doctrine chrétienne.

La foi, c’est croire Dieu, tout ce que Dieu dit.

La foi est une marche en avant.

La foi accepte sans démonstration. Elle s’attache essentiellement à une Personne : Christ.

Dans les choses divines, il faut accepter d’abord, avant de comprendre.

La foi a un aspect insolite pour l’homme naturel.

La foi est contagieuse. Nous n’avons pas seulement à l’enseigner, mais à être des exemples.

La marche de la foi, ce n’est pas s’armer du mieux que l’on peut, mais de compter sur Dieu.

La foi regarde droit au but, et laisse à Dieu le soin des étapes.

La foi a toujours raison ; l’incrédulité a toujours tort.

L’important ce n’est pas la quantité de foi mais la grandeur de Celui sur qui je m’appuie.

La foi vaut ce qu’elle a coûté.

La foi est toujours du bon côté.

La confiance en Dieu prend la Parole comme elle est ; elle ne cherche pas à l’interpréter.

Je suis plus sûr du secours de Dieu pour demain que de demain lui-même.

La foi souffre, mais elle tient bon.

Nous trouvons souvent difficile de nous appuyer sur un bras invisible.

Se faire du souci pour demain, c’est oublier qui est le Seigneur aujourd’hui.

La foi, c’est découvrir mon Seigneur.

La foi n’est pas oisive.

C’est nous qui limitons le bras de Dieu par notre incrédulité.

La foi met Dieu entre nous et les circonstances.

Le Seigneur nous a pris entièrement à Sa charge et Il veut notre bien. Faisons-Lui confiance et ayons foi en Lui !

Il appartient à la foi d’attendre.

La foi du croyant est une condamnation du monde incrédule.

L’homme ne voit que les obstacles, la foi nous fait voir les buts.

Nous faisons confiance à Dieu pour le salut de notre âme pour l’éternité… et nous ne Lui ferions pas confiance pendant quelques années sur la terre, pour toutes les circonstances du chemin !

La chair est remuante, la foi compte sur le Seigneur et attend paisiblement Ses directions.

Notre foi a besoin d’être renouvelée constamment à la source : Christ.

La foi est seule.

La foi n’est pas inactive.

La foi, c’est comme les racines d’un arbre ; les œuvres, ce sont les fruits de l’arbre.

Lorsque nous nous appuyons sur le Seigneur, ayons l’assurance que Lui sait ce qu’Il va faire.

Il n’y a rien de plus simple que le chemin de la foi.

Faisons confiance au Seigneur : Il éclaircira notre horizon au fur et à mesure que nous avancerons.

Ne regardons pas à notre foi grande ou petite, mais fixons les yeux sur Jésus, le Chef et le consommateur de la foi.

Dans l’Ancien Testament, la foi était liée à une parole (Abraham crut Dieu). Maintenant elle est liée à une Personne : Christ.

La foi peut se passer de tout, excepté de Dieu.

La foi voit les choses comme Dieu les voit.

La foi élève le croyant bien au-dessus des circonstances qu’il traverse et le met en contact avec Celui qui tient tout dans Sa main puissante.

Éprouver la foi ce n’est pas voir si elle sera suffisante ou non, c’est la faire briller !

Il ne suffit pas de dire que nous nous confions dans le Seigneur, il faut le prouver, et cela lors même que tout, en apparence, est contre nous.

Si l’apôtre Paul avait eu un fils, celui-ci aurait eu tout à apprendre. La foi est individuelle.

Demandons au Seigneur que nous ne perdions pas la foi jusqu’au dernier moment.

Être mis de côté est une position pénible pour la chair mais facile à la foi, car la foi trouve son bonheur dans l’obéissance.

L’incrédulité exclut toujours Dieu, la foi L’introduit toujours.

Dieu dirige nos circonstances, alors, n’entretenons pas nos soucis ! Toutes choses le servent. Si la foi est réelle Dieu y répond toujours.

Le Seigneur veut que nous attendions paisiblement, dans la confiance, Son intervention, sans être agités, inquiets et doutant de Lui.

La foi aime à voir Dieu triompher des difficultés.

La foi ne s’hérite pas.

La foi voit ce qu’elle croit.

La foi efface la crainte des hommes et la remplace par la crainte de Dieu.

La foi peut faire bouger le bras de Dieu.

Nous sommes justifiés : par la grâce (Rom. 3. 24), par la résurrection de Christ (Rom. 4. 25), par la foi (Rom. 5. 1), par le sang de Christ (Rom. 5. 9).

« La couverture sociale dont nous jouissons aujourd’hui est certainement un obstacle à notre vie de foi ».

Le chrétien doit vivre pour les choses qui se voient avec les yeux de la foi.

« Quand Dieu parle, je ne dois pas discuter, mais croire ».

Si nous n’avons pas d’ascendance de la foi, nous pouvons avoir une descendance de la foi.

Dans notre vie de chrétiens, soyons persuadés que Dieu va s’occuper de tout.

La foi rend présent l’avenir, visible les choses invisibles.

La foi précède la vue.

La foi ne demande pas pourquoi. Elle se soumet d’abord et comprend ensuite.

Le croyant ne devrait pas être guidé par ce qu’il voit, mais par ce qu’il ne voit pas.

Le chemin de la foi sera toujours le chemin de l’obéissance.

Un avis sur « PENSÉES SUR LA FOI »

Commentaires fermés