Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés pour une espérance vivante par la résurrection de Jésus Christ d’entre les morts. 1 Pier. 1. 3.

POUVONS-NOUS ESPÉRER DES JOURS MEILLEURS ?

 

Nous croyons en Dieu tel qu’Il s’est révélé dans la Bible. Aujourd’hui, hélas, beaucoup de personnes ont remplacé la réalité du Dieu Créateur qui est au-dessus de tout et de tous, par des théories et des hypothèses. Il ne faut donc pas s’étonner que le monde aille de plus en plus à la dérive dans un océan d’incertitudes et de croyances fausses. Les raisonnements humains, même les plus élaborés, ne peuvent conduire à une espérance fondée et stable. Devant tant d’évènements malheureux, et même de catastrophes, une question se pose : Pouvons-nous espérer des jours meilleurs ? Dans ce monde troublé et inquiet, d’où pourrait venir un remède qui rassure et donne la tranquillité ?
Seule la Bible peut donner à l’homme de vraies certitudes devant le désordre généralisé. Ce Livre, reconnu par des millions de personnes comme la Vérité, nous montre l’orgueil et la misère de l’homme et, en même temps, la grandeur du Dieu créateur et Son amour envers Ses créatures tombées dans le péché (1 Tim. 2. 4). Dieu « a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).
Contrairement à une idée largement répandue, le christianisme de la Bible n’est pas une « religion » parmi toutes celles qu’on trouve dans le monde. Il fait connaître à l’homme perdu que l’évangile – la bonne nouvelle – est la « puissance de Dieu » pour sauver ceux qui croient (Rom. 1. 16) et que Jésus Christ seul peut donner certitude et paix. Le Seigneur Jésus n’est pas le fondateur d’une religion, mais Il est la révélation directe du seul Dieu, du Dieu vivant et vrai. Il a dit : « Celui qui m’a vu a vu le Père » (Jean 14. 9).
Si nous croyons en Lui, notre espérance n’est pas vague, mais c’est la certitude d’une éternité de joie et de paix.

D’après « Il Buon Seme » octobre 2020