Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant les uns aux autres comme Dieu aussi, en Christ, vous a pardonné (Éph. 4. 32).
MOI AUSSI, J’AI ÉTÉ PARDONNÉ !
Un jeune employé s’était laissé aller à faire une faute grave. Il fut appelé dans le bureau du chef, et prévoyait qu’il serait immédiatement renvoyé, et peut-être même cité en justice. Le chef lui demanda s’il reconnaissait avoir fait cette faute. Le jeune homme le fit, en montrant un repentir sincère.
– Dans ces conditions, continua le chef, je ne vous ferai pas comparaître en justice, et je compenserai moi-même le tort que vous avez fait.
Complètement abasourdi, l’employé restait sans paroles. Et, comme il allait partir, le chef poursuivit : – Vous êtes le deuxième, dans cette entreprise, qui ait fait une faute grave, et à qui il a été ensuite pardonné. Et je dois vous faire savoir que, le premier, c’est moi. Si on vous a pardonné, c’est parce que moi aussi je sais, par expérience, ce qu’est le pardon. C’est que je suis chrétien !
Ce récit montre la façon dont un chrétien peut mettre en pratique l’enseignement du Seigneur Jésus. Non pas pour faire confiance à tout le monde, mais avec le désir de pardonner à celui qui reconnaît ses fautes. Quand nous sommes vraiment conscients de la grande dette qui nous a été pardonnée à cause du Seigneur Jésus, nous en rendons ensuite aisément témoignage. Nous avons alors un profond désir de réconciliation. Le sentiment du pardon crée un lien nouveau entre celui qui a péché et celui contre lequel le péché a été commis.
C’est une très bonne chose, et bien utile, d’avoir le sentiment profond de notre état au moment où l’amour de Dieu nous a trouvé. Nous sommes alors à même de montrer la même grâce et de pardonner.
D’après Der Herr ist nahe Août 2019
Quoi que vous fassiez, faites-le de cœur, comme pour le Seigneur et non pour les hommes, sachant que du Seigneur vous recevrez la récompense de l’héritage : vous servez le seigneur Christ (Col. 3. 23 et 24).
MON CHEF EST TOUJOURS LÀ !
Un employé croyant eut une fois un travail à accomplir dans une autre partie de l’entreprise. Quand il y arriva, une collègue lui dit : – Aujourd’hui on n’est pas stressé ; le chef n’est pas là. Une autre collègue, qu’il connaissait pour être une chrétienne, a corrigé : – Mon chef est toujours là.
Cette remarque illustre bien le passage ci-dessus. Cette personne croyante avait enfoncé le clou bien droit.
Tous les croyants qui ont leur activité dans une position de dépendance, devraient penser et agir de cette manière-là. Que ce soit des ouvriers, des employés, des fonctionnaires, ou qu’ils travaillent pour qui que ce soit – ils devraient tous réfléchir que Jésus Christ est leur chef, qu’ils doivent servir fidèlement, également quand ils sont au travail.
On peut remarquer que, dans le passage ci-dessus, il est parlé trois fois de Christ comme le Seigneur. Pour les serviteurs ou les esclaves, auxquels l’apôtre s’adresse ici, qui avaient souvent des maîtres durs, cela ne comportait pas seulement un devoir, mais c’était aussi pour eux très encourageant. C’était un grand réconfort, d’être liés au Seigneur Jésus dans leurs circonstances et de faire leur travail «comme pour le Seigneur ».
De plus, les esclaves – comme tous les croyants – avaient au ciel un riche héritage qui les attendait et qui était assuré. Et de tels riches héritiers, on peut attendre que, dans la vie terrestre, ils soient aussi prêts à accomplir quelque chose de difficile. Cela sera plus que compensé par l’héritage céleste.
D’après Der Herr ist nahe Octobre 2019
Ne crains point, mais parle et ne te tais point (Act. 18. 9).
DIEU OUVRE LES CŒURS
C’est la fin de l’automne, peu de gens sont encore assis dehors devant la cafeteria. Je distribue des traités.
Le barman sort : – Que faites-vous là ? Je le lui explique. – Vous n’avez pas la permission de faire cela. Il me dit de voir le patron.
Le propriétaire est italien. Alors que je lui explique plus en détail de quoi il s’agit, il m’interrompt :
– Mais, dites-moi, pourquoi faites-vous cela ?
– Je distribue ces traités d’évangélisation pour attirer les gens au Seigneur Jésus Christ.
Il me tend alors la main, la serrant bien fort. – Alors, c’est en ordre.
Il est catholique. Lui aussi croit que Jésus est le Fils de Dieu, le Sauveur. Il m’offre un cappuccino.
A la fin, c’est le barman qui me raccompagne. Il aimerait bien avoir une Bible en italien, mais il ne sait pas où il peut en acheter une.
– Je peux vous en procurer une.
Je quitte la cafeteria tout heureux, alors que j’y étais entré avec un peu d’anxiété. Mais le Seigneur a aplani toutes les difficultés. Je suis ainsi encouragé à ne pas hésiter à parler du message du salut en Jésus Christ. Dieu y met Sa bénédiction.
Dans ce temps de perte des repères et d’impiété, il y a tellement de personnes qui vivent avec un gros poids sur le cœur : le fardeau de leurs péchés, dont Un seul peut les délivrer : Jésus Christ, le Sauveur crucifié et ressuscité.
Quand nous rendons témoignage à notre Seigneur, quelle joie et quelle bénédiction en résultent.
D’après Der Herr ist nahe Octobre 2019
Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes (Act. 5. 29).
Sois fidèle jusqu’à la mort et je te donnerai la couronne de vie (Apoc. 2. 10).
Tu n’as pas renié mon nom (Apoc. 3. 8).
FIDÈLE JUSQU’À LA MORT
Patrick Hamilton (1504-1528) était un descendant du roi d’Écosse Jacques II. Il étudia à l’université de Paris et là, il fut en contact avec les enseignements de Luther. Par la lecture du Nouveau Testament, il acquit rapidement une connaissance fondamentale de la vérité. Désirant en apprendre davantage, il se rendit en Allemagne en 1527.
A l’université de Marburg, Hamilton écrivit son seul livre, les Lois communes qui, partant du contraste entre la loi et l’évangile, entre les œuvres et la foi, rend témoignage à la vérité biblique de la justification par la foi.
Au bout de quelques mois, Hamilton, sentant qu’il y était bien préparé, eut la pensée de retourner en Écosse pour servir ses compatriotes. Dès son retour dans son pays natal il fut en bénédiction à beaucoup. De nombreuses personnes de sa parenté et quelques nobles, mais aussi beaucoup de paysans et d’ouvriers crurent à l’évangile.
Mais bientôt après, Patrick Hamilton, à cause de certaines thèses de son livre, fut accusé d’hérésie et, après un rapide procès, fut condamné à mort. Le 9 février 1528 il fut brûlé sur l’échafaud, ce supplice se prolongeant pendant six heures, parce que le bois ne voulait pas commencer à brûler. Durant ce temps, Hamilton, dans ses souffrances, repoussa toutes les tentatives de le faire renoncer à ce qu’il avait enseigné. A la fin il pria à haute voix : -Seigneur Jésus, reçois mon esprit.
D’après Der Herr ist nahe Octobre 2019
Mais maintenant, sans loi, la justice de Dieu est manifestée, témoignage lui étant rendu par la loi et par les prophètes (Rom. 3. 21).
CARACTÈRE ET RÔLE DE LA LOI ET DE L’ÉVANGILE
Voici quelques-unes des thèses du livre de Patrick Hamilton.
La loi nous enseigne à confesser nos fautes – l’évangile nous donne le remède pour cela.
La loi nous annonce le jugement – l’évangile, le salut.
La loi exprime les justes exigences de Dieu (Rom. 2. 26) – l’évangile, la parole de la grâce de Dieu.
La loi nous amène au désespoir – l’évangile nous donne la liberté.
Une discussion entre la loi et l’évangile :
La loi dit : Paie ce que tu dois. L’évangile annonce : Christ a payé pour toi.
La loi nous interpelle : Tu es un misérable pécheur, meurs sous ton jugement. L’évangile prêche : Tes péchés sont pardonnés ; Dieu te fait don de la vie éternelle.
La loi enseigne : Tu dois supporter la punition de tes péchés. L’évangile prêche : Christ a pris sur lui la peine que tu méritais.
La loi dit : La colère de Dieu pèse sur toi. L’évangile enseigne : Christ t’a réconcilié avec Dieu par son sang.
La loi demande : Où est ta justice, où sont tes bonnes œuvres, où est le paiement que tu peux donner à Dieu ? L’évangile répond : Christ a payé pour toi, Il est ta justice, ton salut, tout ce dont tu as besoin.
D’après Der Herr ist nahe Octobre 2019
Souviens-toi de moi, Seigneur, quand tu viendras dans ton royaume (Luc 23. 42).
AU DERNIER INSTANT
Ma grand-tante vivait dans un temps où il n’y avait pas encore, dans les villages, d’autos et de téléphone. Dans son agenda j’ai trouvé l’inscription suivante :
Mon frère était un jeune homme actif et appliqué. Malheureusement il n’avait aucun intérêt pour la Parole de Dieu et les réunions chrétiennes. Un matin, alors qu’il avait 17 ans, il partit gaiement au travail. Il devait aider son patron à conduire la voiture avec les hottes dans les vignes. Mon frère croyait pouvoir conduire tout seul le véhicule en bas de la pente. Il reçut alors un coup de barre sur la poitrine et tomba à terre. Avant qu’il ait pu se retirer, une roue lui passa dessus. Il sauta encore une fois, mais retomba sans connaissance.
Une fois qu’il fut ramené à la maison, Dieu, dans sa fidélité, lui rendit la connaissance.
– Oh ! Maman, je vais mourir, et j’ai tellement péché contre toi et contre Dieu. Prie pour moi ! Ma mère, qui était seule, et ma sœur, lui parlèrent du Sauveur, qui était mort sur la croix également pour lui. Avant l’hémorragie interne qui l’emporta, il put encore recevoir et accepter le message du salut.
Comme le brigand sur la croix, ce jeune homme accepta l’offre de salut de notre Sauveur au dernier moment. Que personne, qui est aujourd’hui appelé par Dieu, ne repousse sa décision. Personne ne sait s’il aura encore l’occasion d’accepter le salut en Jésus Christ.
D’après Näher zu Dir Septembre 2019
Ils élevèrent d’un commun accord leur voix à Dieu et dirent : O Souverain ! toi, tu es le Dieu qui as fait le ciel et la terre, et la mer, et toutes les choses qui y sont (Act. 4. 24).
QUI EST LE CRÉATEUR ?
La création nous montre des concepts à buts bien définis et très élevés :
– Le cachalot, un mammifère, est constitué de manière à pouvoir plonger à 3000 mètres de profondeur sans mourir de la maladie des plongeurs quand il remonte.
– Le pic-épeiche frappe avec force contre un arbre, sans endommager son front.
– De nombreux oiseaux migrateurs suivent un pilote qui, quelles que soient les intempéries ou le moment de la journée, les amène droit au but.
Ces quelques exemples appellent à se demander quelle est l’origine de ces concepts géniaux. La sagesse et l’intelligence qui s’expriment dans la nature sont tellement impressionnantes qu’elles ne peuvent amener qu’à une seule conclusion : il doit y avoir, derrière la création, un Créateur.
Cela est confirmé par la première phrase de la Bible : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gen. 1. 1). Dieu était là avant tout. Avant qu’existent l’espace, le temps, la matière, c’est Lui qui agissait. Il est l’auteur de génie de toute la création. Dieu lui-même dit dans sa Parole : « Moi, j’ai fait la terre, et j’ai créé l’homme sur elle ; c’est moi, ce sont mes mains qui ont étendu les cieux » (És. 45. 12).
La foi dans le Dieu-Créateur nous donne la certitude pleine de confiance que nous ne sommes pas des produits du hasard. Dieu a voulu que nous existions. Il nous a créés afin que nous vivions avec Lui et pour Lui.
D’après Näher zu Dir Septembre 2019
Ayant reçu de nous la parole de la prédication qui est de Dieu, vous avez accepté, non la parole des hommes, mais (ainsi qu’elle l’est véritablement) la parole de Dieu (1 Thess. 2. 13).
LA PAROLE DE LA CROIX
L’évangile, qui présente Christ crucifié comme Rédempteur, n’a pas été conçu par l’homme. Lorsque, au commencement, les Thessaloniciens acceptèrent ce message, beaucoup d’entre eux reconnurent la véritable origine de l’évangile. Ils acceptèrent la prédication de Paul non comme venant de l’homme, mais comme étant la Parole de Dieu. D’autres au contraire restèrent fermés à l’évangile de Jésus Christ. Les Juifs s’en irritèrent, parce qu’ils ne voulaient pas d’un Messie crucifié, mais d’un Messie qui apparaisse avec gloire et puissance. Les Grecs auraient accepté sans difficulté un nouveau philosophe. Mais un Sauveur innocent qui se laissait crucifier, ils le refusaient.
Aujourd’hui, les gens, pour la plupart, achoppent toujours à l’évangile. Beaucoup trouvent exagéré d’être décrits comme étant des pécheurs perdus ayant besoin d’un Sauveur. Les gens instruits trouvent que l’évangile n’a pas de sens. Les propres justes sont vexés qu’on les considère pécheurs comme les autres. Le message est donc refusé par beaucoup.
Mais parce que l’évangile vient de Dieu, il est semblable à un fleuve qui apporte dans un monde de sécheresse l’eau de la vie et du salut. La volonté des hommes ne peut en rien s’y opposer. Il garde toujours sa puissance et sa fraîcheur. Il est à la portée de tous ceux qui, avec foi, se courbent devant son message et veulent bien recevoir le Sauveur crucifié.
D’après Näher zu Dir Octobre 2019
Ils les reconnaissaient pour avoir été avec Jésus (Act. 4. 13).
REFLÉTER JÉSUS-CHRIST
Dominique est en retard. Il doit se dépêcher pour ne pas manquer le train. Il pose sa bicyclette et traverse en courant la place de la gare. A l’angle du quai il se heurte à un petit garçon. Celui-ci, tout surpris, laisse tomber son cartable… et 300 morceaux d’un puzzle se répandent de tous côtés.
Les yeux de l’enfant se remplissent de larmes. Dominique retient un soupir, et aide le petit garçon à ramasser les morceaux. Pendant ce temps le train a quitté la gare sans lui. Le petit gamin l’observe du coin de l’œil. Quand tous les morceaux du puzzle sont remis en sûreté, il demande timidement à Dominique : – Est-ce que tu es peut-être Jésus ?
Dominique rit de bon cœur. Il prend conscience que ce petit incident lui a bien fait manquer son train, mais lui a donné l’occasion de refléter quelque chose de Jésus.
Ne devrions-nous pas chercher davantage à refléter notre Maître dans la vie de tous les jours ? Être un témoin du Seigneur Jésus ne signifie pas, en règle générale, parler beaucoup de Lui ou accomplir des œuvres impressionnantes en son nom, mais nous devrions simplement montrer Ses caractères dans la vie courante : la justice, la bonté, l’humilité, la sympathie. Le Seigneur nous a dit : « Apprenez de moi » (Mat. 11. 29). Si nous prenons le temps pour Le contempler lui-même dans la Bible, nous lui ressemblerons. Et il est certain que cela nous rendra heureux.
D’après Näher zu Dir Novembre 2019
Si deux d’entre vous sont d’accord sur la terre pour une chose quelconque, quelle que soit la chose qu’ils demanderont, elle sera faite pour eux par mon Père qui est dans les cieux (Mat. 18. 19).
LA PRIÈRE EN COMMUN
Nous désirons souligner quelques points importants concernant la prière dans les réunions d’assemblée.
– Prier d’un même cœur : quand nous invoquons ensemble notre Dieu, il est nécessaire que nous soyons unis quant à nos demandes.
– Prier de manière concrète : à une requête précise peut être donnée une réponse précise. C‘est pourquoi nous voulons prier pour des choses concrètes, afin que puissent se réaliser les demandes que nous avons présentées devant Dieu.
– Prier avec foi : ce que l’apôtre Jacques dit à celui qui prie individuellement s’applique aussi à la prière en commun : « Qu’il demande avec foi, ne doutant nullement » (Jac. 1. 6). Une confiance entière dans la toute-puissance et la bonté de Dieu nous permet de prier en toute liberté et assurance.
– Prier sans relâche : le Seigneur Jésus a proposé à ses disciples une parabole montrant qu’ils ne devaient pas se relâcher dans la prière. Une veuve retournait toujours avec la même requête vers un juge injuste jusqu’à ce qu’il l’écoute. De la même manière nous voulons faire appel sans cesse à notre Dieu et Père.
– Prier de manière brève : à la réunion de prières, chacun doit s’exprimer avec brièveté, afin que le plus grand nombre possible de frères puissent présenter leurs requêtes.
– Prier avec reconnaissance : l’apôtre Paul nous enjoint d’exposer nos requêtes à Dieu « avec des actions de grâces » (Phil. 4. 6). Notre Père céleste nous fait don de tellement de choses, dont nous pouvons Le remercier du fond du cœur !
D’après Näher zu Dir Novembre 2019
La victoire qui a vaincu le monde, c’est notre foi (1 Jean 5. 4).
Christ a aimé l’assemblée et s’est livré lui-même pour elle… afin qu’elle fût sainte et irréprochable (Éph. 5. 25 et 27).
L’ÉGLISE INVISIBLE
Dans une ville de Chine, les autorités, à un moment donné, ont fait brûler toutes les Bibles et la littérature chrétienne. Mais les Bibles sont des livres épais qui brûlent lentement ; aussi un spectateur a réussi à en arracher une page pendant qu’elles brûlaient.
En conséquence, l’Église souterraine, dans cette ville, n’a eu qu’une page de l’Écriture Sainte à sa disposition pendant des années. C’était la page où l’apôtre Pierre, après avoir déclaré que Jésus est le Fils du Dieu vivant, entend cette réponse : « Sur ce roc je bâtirai
mon assemblée, et les portes du Hadès ne prévaudront pas contre elle » (Mat. 16. 18).
On peut faire l’expérience de la réalité d’une telle promesse, même quand la furie d’un gouvernement totalitaire se déchaîne contre les croyants.
Depuis le début, l’Église – l’ensemble des croyants en Jésus Christ – a eu d’innombrables ennemis qui voulaient la détruire, depuis les empereurs romains jusqu’aux gouvernements actuels anti-chrétiens. Les empires ont passé, mais l’Église est demeurée, parfois en se cachant ou en étant l’objet de persécutions. Elle souffre aussi de la moquerie et du blasphème dans les pays prospères où règnent l’immoralité et l’arrogance. Mais l’Église est du côté de Jésus, le glorieux Vainqueur dans le ciel. C’est pourquoi elle attend avec patience le retour du Seigneur pour la prendre au ciel avec Lui.
« Parce que tu as gardé la parole de ma patience, moi aussi je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va venir sur la terre habitée tout entière … Tiens ferme ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne » (Apoc. 3. 10 et 11).
D’après The good Seed Novembre 2019
