TRADUCTIONS DE FEUILLETS (12)

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Notre Dieu est un feu consumant (Héb. 12. 29).

DIEU EST AMOUR, MAIS DIEU EST SAINT

On entend souvent employer ce cliché du Bon Dieu qui fait preuve de tolérance à l’égard des manquements des soi-disant braves gens (à supposer qu’il en existe). Toutefois, dans un sens absolu, cette expression est incorrecte.
Il est exact que Dieu s’est révélé, en Jésus Christ, Son Fils, comme un Dieu d’amour : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16). Mais cela ne signifie pas que, étant un Dieu d’amour, Il fermerait les yeux sur le mal. Car il est écrit : « Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie » (1 Jean 5. 12) . Nous devons être au clair là-dessus.
Dieu, autrefois, avait donné au peuple d’Israël la loi avec les dix commandements (Ex. 19 et 20). C’étaient les exigences de base auxquelles le peuple devait se soumettre pour être en règle avec Dieu. Mais l’homme s’est montré incapable de remplir ce qui était attendu de lui. En conséquence, Dieu, par amour, a donné Son Fils. Mais ce n’était pas aux dépens de Sa sainteté. Dieu, dans Ses saintes exigences, est toujours le même qu’Il l’était au Sinaï, lorsqu’Il apparut comme un « feu consumant » (Deut. 9. 3 et Héb. 12. 29).
Comment alors Dieu, dont la sainteté exige la justice, peut-Il pardonner les péchés ? La réponse à cette question est le grand sujet de la Bible. Christ, le Fils de Dieu, est devenu le Substitut. La colère du Dieu saint est tombée sur Lui dans toute sa sévérité, à la croix du Calvaire. Dieu, maintenant, peut offrir le pardon à l’homme sur un fondement de justice. Tous ceux qui mettent leur foi en Christ et en Son sacrifice expiatoire reçoivent ce pardon.

D’après The good Seed 2019

Celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu (Jean 3. 18).

UNE ERREUR FATALE

Un chirurgien allemand éminent, Ferdinand Sauerbruch, dont la chambre de décompression, au début du 20ème siècle, a ouvert la voie pour la chirurgie des poumons et du cœur, a écrit son autobiographie lorsqu’il était âgé. Le volume se termine par une référence au jugement dernier. Le médecin imagine que Dieu lui posera cette question :
– Qui rendra un témoignage en votre faveur, pauvre âme ?
Et le Dr Sauerbruch se propose de répondre ceci : – J’espère que toutes les personnes accidentées ou malades que j’ai aidées et dont j’ai sauvé la vie témoigneront en ma faveur. Il avait fait l’erreur commune, d’imaginer que Dieu lui accorderait le salut sur la base de ses bonnes actions, et que d’autres plaideraient sa cause devant notre Dieu juste. Si ce chirurgien, qui avait été consulté par plusieurs monarques européens et des hommes politiques éminents, n’avait pas d’autre espoir lorsqu’il est mort en 1951, il n’aura pas obtenu l’approbation de Dieu. La base de notre salut, c’est exclusivement de reconnaître notre état de péché devant Dieu et de mettre notre foi dans l’œuvre de rédemption de Jésus Christ accomplie à la croix. Dieu ne peut rien accepter d’autre.
Le seul point sur lequel le Dr Sauerbruch avait raison en ce qui concerne le jugement dernier, c’était d’attribuer au juge le rôle de plaignant. Dieu mettra alors au jour les péchés commis ; et il sera inutile et impossible de produire une défense.
Le verdict sera : coupable ! Et la sentence : tourments éternels en enfer.
Mais Dieu nous offre le salut afin que : « quiconque croit en lui (Jésus Christ) ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3. 16).

D’après The good Seed 2019

Si quelqu’un est en Christ, c’est une nouvelle création ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont faites nouvelles ; et toutes sont du Dieu qui nous a réconciliés avec lui-même par Christ (2 Cor. 5. 17 et 18).

UNE TROUVAILLE DANS UNE POUBELLE

Je suis né, il y a quarante-deux ans, à Matamoros, au Mexique. J’ai eu une enfance gâtée. Ensuite j’ai fait mes études à l’Université de Mexico City. A ce moment-là, j’étais activement impliqué dans la politique. Plein d’ambition, j’ai commencé une carrière de légiste avec beaucoup de succès, qui ouvrait l’accès à de nombreuses possibilités – jusqu’à ce que je dérape dans le monde criminel.
Il m’était maintenant impossible de m’élever dans l’échelle professionnelle. J’ai réussi à éviter la police, mais j’ai dû quitter le pays. Quand je suis retourné à Mexico quelques années plus tard, j’ai été arrêté.
J’ai pensé : Maintenant, ma vie est finie. Mais un jour j’ai trouvé un Nouveau Testament dans une poubelle de la prison. J’en ai lu quelques passages qui m’ont surpris. Tout à coup, j’ai vu ma vie comme Dieu la voyait. Cette lumière m’a amené à prendre conscience de mes péchés, mais elle m’a aussi donné quelque espoir. Aussi je me suis mis à genoux, et j’ai demandé à Dieu de me pardonner. Tout mon fardeau a disparu et a fait place dans mon cœur à une paix profonde et inattendue, telle que je ne l’avais jamais expérimentée auparavant.
Par Jésus Christ j’ai reçu une vie nouvelle. Quand j’ai été relâché, peu après, je suis retourné vers les membres de ma famille, qui ne m’ont pas repoussé malgré la honte et les souffrances que je leur avais causées. Dans les mois qui ont suivi, ils ont aussi mis leur foi en Jésus Christ.
Nous avons maintenant le bonheur d’avoir la vie nouvelle. Et tout cela résulte de ce que j’avais trouvé un Nouveau Testament dans la poubelle de la prison.

D’après The good Seed 2019

Dieu est amour (1 Jean 4. 8).

LE VRAI AMOUR

Une des chansons les plus connues des Beatles était : Tout ce qu’il vous faut, c’est de l’amour. Comme cela est vrai ! Personne ne peut vivre sans amour. Sans amour, nous dépérissons. Mais qu’est-ce que c’est que le véritable amour, et où peut-on le trouver ?
C’est là la question. Celui qui est assoiffé d’amour saisit avidement n’importe quoi qu’on lui offre comme de l’amour, et s’aperçoit à la fin qu’il a été trompé. Quand les gens parlent d’amour, ils veulent dire, en réalité, luxure ou sentimentalité. Il y a ceux qui ont vraiment à l’esprit l’amour, quand ils en parlent, mais en pratique il est absent.
Mais il y a un amour qui ne trompe ni ne déçoit jamais – qui n’est pas simplement des mots vides de sens, mais qui est une réalité. C’est l’amour de Dieu, l’amour que Jésus Christ, le fils de Dieu, a apporté dans le monde. Il n’en a pas simplement parlé ; il a agi de manière conséquente. Il est allé à la rencontre des gens qui n’avaient pas d’espérance. Il a ramené ceux qui s’étaient le plus éloignés. Il « n’est pas venu pour être servi, mais pour servir » (Marc 10. 45).
Et à la fin, Il s’est donné Lui-même en sacrifice. Il est mort en donnant Sa vie comme rançon pour les pécheurs. Parce que Jésus Christ était sans péché, Dieu a pu accepter son sacrifice. C’est ainsi que nous voyons le véritable amour à la croix du Calvaire où Jésus Christ était crucifié. Là nous ne serons pas trompés. Désirons-nous ardemment un tel amour qui ne meure pas ? Dieu a prouvé Son amour envers nous !
« Dieu est amour. En ceci a été manifesté l’amour de Dieu pour nous : c’est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui ; en ceci est l’amour : non en ce que nous, nous ayons aimé Dieu, mais en ce que lui nous aima et qu’il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés » (1 Jean 4. 8 à 10).

D’après The good Seed 2019

Je vous donnerai un cœur nouveau, et je mettrai au-dedans de vous un esprit nouveau. Ez. 36. 26.

UNE INTENTION CRIMINELLE

– Je le tuerai. Cette pensée poursuivait continuellement l’homme au volant de son camion. Il ne pouvait pas penser à autre chose. Mais il avait un long trajet devant lui, et il a dû s’arrêter pour la nuit. Cependant, même dans sa chambre d’hôtel, sa soif de vengeance ne lui laissait aucun repos.
Dans le tiroir de la table de chevet, il découvrit un livre qu’il n’avait jamais vu. Il passa la plus grande partie de la nuit à le lire. Il quitta l’hôtel le lendemain matin. Quand la femme de chambre entra dans la pièce, elle découvrit avec horreur un pistolet à côté d’une Bible ouverte. Sur une feuille de papier, un court message avait été écrit : – Ce livre a sauvé deux vies : la mienne, et celle de mon ennemi.
Comment s’était accompli ce changement d’attitude ? – La Parole de Dieu avait brillé dans la conscience de cet homme comme un projecteur, lui révélant sa condition devant Dieu, et l’acte horrible qu’il était sur le point de commettre. La lumière et l’amour de Dieu avaient touché et transformé ce cœur qui avait été rempli de haine. C’était là la cause de ce changement radical.
Même si nous n’avons pas commis un crime, nous avons tous besoin d’un tel changement. Dieu nous montre, dans la Bible, que le cœur humain est rempli de ténèbres. Mais Jésus Christ est « la vraie lumière… qui, venant dans le monde, illumine tout homme » (Jean 1. 9). Celui qui, par la foi, reçoit Christ, la vraie lumière, dans sa vie, fait l’expérience de cette transformation radicale, et devient un enfant de Dieu. Le Seigneur Jésus Lui-même appelle cette transformation une nouvelle naissance (voir Jean 1. 9 à 13 ; 3. 3 à 8, 16).

D’après The good Seed 2019

A QUI VOULEZ-VOUS PLAIRE ?

Un musicien de grand talent, qui avait été formé par un violoniste de renommée mondiale, devait paraître en public pour la première fois. Son jeu brillant fut richement applaudi, comme il le méritait. Cependant, le jeune musicien semblait ne pas s’en réjouir, ni même s’en apercevoir.
Son attention était fixée sur un homme âgé aux cheveux grisonnants, assis au premier rang. C’est seulement quand cet homme se leva et montra son approbation par un signe de tête que le visage du violoniste s’éclaira d’un sourire. Son maître avait montré son approbation : c’était tout ce qui comptait.
De qui cherchons-nous à être approuvés dans notre vie ? Si nous nous soucions de l’image que les autres se font de nous, nous risquons de négliger l’approbation de Celui qui seul compte : Dieu ! Nous avons nettement la tendance à vouloir faire bonne impression sur ceux qui nous entourent. Nous attachons beaucoup trop d’importance à l’opinion que les autres ont de nous. Nous sommes susceptibles et froissés si l’on parle mal de nous, et fiers si on dit du bien de nous. Et nous sommes très influencés par l’idée que les gens se font de nous !
Quand Jésus Christ vivait sur la terre, Il ne recherchait pas l’approbation publique. A l’inverse de ceux qui s’efforcent de gagner la faveur publique, le Seigneur Jésus ne cherchait à plaire ni à Lui-même ni à l’homme. Il rendait honneur à Dieu et à la vérité. Les gens ne supportaient pas cela, au point qu’ils L’ont finalement crucifié. Mais alors, quelle approbation Il a reçue de Dieu, Son Père ! Dieu L’a ressuscité d’entre les morts et L’a fait asseoir sur Son propre trône dans la gloire.

D’après The good Seed 2019