TRADUCTIONS DE FEUILLETS (8)

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(Paul et Barnabas)… fortifiant les âmes des disciples, les exhortant à persévérer dans la foi, et les avertissant que c’est par beaucoup d’afflictions qu’il nous faut entrer dans le royaume de Dieu (Actes 14. 22).

LES FRUITS DE L’ÉPREUVE

Mabel, une Chinoise, médecin, vivait à Pékin. Parce qu’elle prenait soin de son frère malade, elle resta célibataire. Quand le parti communiste vint au pouvoir, en 1949, la belle villa de famille fut confisquée. Mabel dut vivre dans une cabane de jardin. Et parce qu’elle était connue comme étant chrétienne, elle était soupçonnée par les autorités.
Pendant la révolution culturelle (1966-1976), Mabel perdit aussi sa fonction de médecin. Elle dut alors accomplir un dur travail manuel dans une colonie de travail. Une affiche fut apposée devant sa maison, lui reprochant d’avoir distribué des écrits impérialistes. Il s’agissait de Bibles.
Mabel eut tellement à souffrir qu’elle était presque désespérée. Cependant Dieu lui redonna du courage. Elle dit, plus tard : – Dieu m’a donné la force de traverser cela ; je ne sais pas moi-même comment.
Après la mort de Mao Tse Toung, la vie fut de nouveau plus facile. Mabel, il est vrai, ne fut pas réhabilitée, et sa maison ne lui fut pas rendue. Mais soudain elle reçut un flot de visiteurs – en particulier des fonctionnaires communistes. Et ce qui est le plus extraordinaire : ils demandaient tous des Bibles.
Ils donnaient tous la même raison pour être venus : – Pendant la révolution culturelle, il y avait ici un grand écriteau : Vous étiez accusée de distribuer des Bibles. Peut-être que vous en avez encore ?
Mabel put prendre contact avec des chrétiens, qui lui procurèrent des Bibles. Ainsi, par la fidélité de cette dame âgée, de nombreuses personnes furent amenées à croire en Jésus Christ.
Mabel a dit : – Cela fortifie la foi de savoir pourquoi on a dû souffrir. Mais chaque jour était dur à vivre. Et je n’ai pas pu tout le temps ressentir la proximité du Seigneur Jésus. Mais Il m’a donné la force de poursuivre ; et c’était assez.

D’après Der Herr ist nahe Février 2019

Vous étiez autrefois ténèbres, mais maintenant vous êtes lumière dans le Seigneur ; marchez comme des enfants de lumière (Éph. 5. 8).

AVANT ET APRÈS ULM

Un enseignant, bien connu en son temps, Ziegler, conduisit de nombreux jeunes au Seigneur Jésus. Il faisait une fois, avec un groupe de jeunes, une excursion à la ville d’Ulm. Pendant le trajet, parce qu’une porte avait été mal fermée, un jeune tomba hors du train. Par miracle, il n’eut aucun mal. Cette protection remarquable lui fit une forte impression. Il en fut profondément touché et se tourna de tout son cœur vers le Seigneur Jésus.
Peu après, on découvrit que quelqu’un avait fait une mauvaise plaisanterie, et les soupçons tombèrent sur ce jeune homme. Ziegler lui demanda : – Est-ce toi qui as fait cela ? Le jeune homme, le regard franc, lui répondit : – Oui, c’est moi, mais c’était « avant Ulm ».
Ce jeune croyant avait saisi quelque chose de la merveilleuse libération, que possède chacun de ceux qui ont une fois mis de l’ordre dans leur vie en venant au Seigneur Jésus avec leurs péchés. A quiconque fait cela, Dieu dit : « Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés » (Héb. 10. 17).
Mais ce récit contient aussi un avertissement pour tous ceux qui sont passés par cette expérience. L’apôtre Pierre écrit aux croyants qu’il aimait : « Il nous suffit d’avoir accompli, dans le temps déjà écoulé, la volonté des nations » (1 Pier. 4. 3), et il énumère des exemples d’actions coupables. Et l’apôtre Paul dit : « Prenez donc garde à marcher soigneusement, non pas comme étant dépourvus de sagesse, mais comme étant sages » (Éph. 5. 15).
Plus nous serons reconnaissants d’avoir reçu « la purification de nos péchés d’autrefois » (2 Pier. 1. 9), plus il nous sera facile d’éviter tout ce qui ne convient pas à la grâce dans laquelle nous sommes, qui est « la vraie grâce de Dieu » (1 Pier. 5. 12).

D’après Der Herr ist nahe Février 2019

Et l’Éternel passa devant lui, et cria : l’Éternel, l’Éternel ! Dieu, miséricordieux et faisant grâce, lent à la colère, et grand en bonté et en vérité, gardant la bonté envers des milliers de générations, pardonnant l’iniquité, la transgression et le péché, et qui ne tient nullement le coupable pour innocent (Ex. 34. 6 et 7).

BONTÉ NE SIGNIFIE PAS FAIBLESSE

Les gens disent quelquefois : – Dieu est si bon qu’Il sauvera finalement tous les hommes.
Mais bonté ne signifie pas faiblesse. Le Dieu vivant, auquel nous croyons, n’est pas seulement amour, Il est aussi lumière, Il est saint et juste. C’est ce qui nous est dit dans la Bible (1 Jean 1. 5 ; 4. 8 et 16). C’est pourquoi la Bible ne parle jamais de Lui comme du « bon Dieu », comme on l’entend dire souvent. Le Dieu de la Bible est fidèle, Il garde Sa parole et accomplit ce qu’Il a annoncé et promis – la grâce et le pardon, mais aussi le jugement et la punition.
Bonté ne signifie pas non plus oubli. Aussi loin dans le temps que remontent nos fautes – aussi longtemps que nous n’avons pas confessé à Dieu notre culpabilité, Il ne nous les pardonne pas et ne les oublie pas. Mais quand nous avons fait cette confession, Dieu nous pardonne entièrement et pour toujours. Et cela, non pas par faiblesse ou par gentillesse, mais parce que Son Fils, Jésus Christ, a enduré, pour tous ceux qui croient en Lui, la peine que nous méritions. Dieu peut ainsi nous pardonner, et bien plus, nous justifier. Dieu déclare comme juste le croyant, comme s’il n’avait jamais péché.
Bonté ne signifie pas non plus compromis. Ne pensons pourtant pas que Dieu tolère le péché, qu’Il reconnaît nos bonnes résolutions, et en conséquence passe par-dessus nos petits mensonges et délits, et qu’Il ne juge que les fautes graves.
Dieu est juste, et Il est amour. Mais Il n’est pas faible ; et Il ne peut supporter le mal. Il sauve aujourd’hui tous ceux qui se repentent et qui croient au Seigneur Jésus et à Son œuvre de salut.
Et les autres ? – Dieu est absolument juste ! Comment pourraient-ils échapper à Son jugement, quand ils ont refusé Sa grâce ?

D’après Der Herr ist nahe Mars 2019

Il restaure mon âme (Ps. 23. 3).

LES SOINS DU BERGER

Le berger fortifie et restaure ses brebis – quelquefois cependant, de manière toute différente de ce qu’elles attendaient !
Le pasteur Wilhelm Busch (1897-1966) raconte comment un cantique l’a encouragé alors qu’il était profondément abattu.
– J’étais alors prédicateur dans une région où tout était mort spirituellement. Et là où l’évangile opérait, il y avait de l’opposition. De plus, j’avais fait des erreurs. Et puis je souffrais de douleurs dans le dos, dont je ne pouvais me débarrasser qu’en roulant à bicyclette. J’étais fatigué, déçu, découragé.
Alors que, par une journée d’été brûlante, j’étais en route sur mon vélo, j’entendis tout à coup chanter. Cela provenait d’un cabaret. Aussi je pédalai avec curiosité jusqu’à la fenêtre ouverte, et essayai d’identifier ce qu’il en était. Au milieu des gens à table se tenait un groupe de jeunes gens qui chantaient :

Oh, si tu pouvais croire
Tu verrais des miracles
Jésus, ton Seigneur
Serait toujours à tes côtés

Apparemment personne n’écoutait les chanteurs – mais pour moi, c’était comme si mon Seigneur Lui-même me parlait et voulait me relever par ce chant. Plus tard, j’ai regretté de ne pas avoir serré la main aux chanteurs – peut-être avaient-ils aussi besoin d’être encouragés en face de l’opposition.
Plus d’un passage de la Bible, qu’il soit chanté, exprimé, ou écrit, apporte, aujourd’hui encore, quelque chose à quoi on n’avait vraiment pas du tout pensé. Cependant notre Seigneur sait quand, où, et comment l’encouragement convenable atteint son but : « Ma parole, qui sort de ma bouche … ne reviendra pas à moi sans effet, mais fera ce qui est mon plaisir, et accomplira ce pour quoi je l’ai envoyée » (És. 55. 11). Soyons attentifs, aujourd’hui même et en pleine conscience, à ces témoignages des soins et de l’amour de Jésus, notre Seigneur.

D’après Der Herr ist nahe Mars 2019

Avant qu’ils crient, je répondrai, et pendant qu’ils parlent, j’exaucerai (És. 65. 24).

Comme missionnaire, il vivait avec sa femme dans une petite ville de Bolivie. Mais il se sentait plus spécialement appelé par Dieu vers les Indiens : vers des personnes qui étaient négligées par le Gouvernement, et qui vivaient dans des régions où il n’y avait ni écoles ni hôpitaux.
Un jour, où la misère des Indiens était particulièrement dans ses pensées, il pria :
– Seigneur, je souhaiterais bien y aller. Mais il me manque encore 500 dollars. Plus tard, en repensant à cette prière, il eut mauvaise conscience. N’avait-il pas donné des ordres à Dieu ? Et n’avait-il pas trop pensé à l’argent qui lui manquait ?
Le matin suivant, comme d’habitude, il alla à la poste. Ces derniers temps il y avait eu peu de lettres. Ce jour-là aussi, il n’y avait qu’une enveloppe– déchirée. Elle contenait un chèque de 100 livres sterling (500 dollars), avec une courte lettre d’explication : – Je suis une femme âgée de 80 ans, et je prie depuis des années pour que quelqu’un aille vers les Indiens. Ci-joint 100 livres, afin que vous puissiez commencer cette œuvre pour le Seigneur. La lettre venait d’Australie, et avait mis trois mois pour arriver à destination !
Le jeune chrétien s’impatientait de rentrer chez lui pour raconter cela à sa femme. Il entra en trombe dans leur petit logis et s’écria : – Chérie, quand peux-tu être prête pour que nous partions chez les Indiens ?
Cela fut un tournant dans leur vie – et aussi dans la vie des Indiens, au milieu desquels ils travaillèrent pendant des années, et auxquels ils apportèrent la bonne nouvelle de l’amour de Jésus Christ.
Est-il encore possible, aujourd’hui, de faire de telles expériences de foi ? Que nous-mêmes puissions vivre de telles choses ? – non pas seulement les lire ou en entendre parler, mais – vous et moi – les vivre personnellement ?

D’après Der Herr ist nahe Avril 2019

Quiconque croit en lui ne sera pas confus (Rom. 10. 11).

LA CHAÎNE

Un homme dit une fois à un prédicateur : – Je ne veux pas croire en Jésus Christ, parce que j’ai été trompé, dans le domaine financier, par quelqu’un qui se dit chrétien. L’évangéliste lui demanda : – Est-ce vraiment la seule raison ? – Oui, répondit l’autre. – Je vous propose alors que nous mettions cela par écrit. L’évangéliste sortit son carnet et écrivit : Je ne suis pas un chrétien, parce que quelqu’un, qui se prétend chrétien, m’a trompé financièrement. Il arracha alors la feuille du carnet, et dit : – Quand vous paraîtrez devant le tribunal de Dieu, et qu’Il vous demandera pourquoi vous avez refusé Son Fils, vous pourrez Lui donner ce papier. Et il quitta l’homme.
Il était à peine rentré chez lui, quand on sonna à la porte. Dehors se tenait l’homme avec le papier à la main. – Je vous rapporte le papier, dit-il, cela ne servira pas d’excuse devant Dieu. Il s’ensuivit une conversation sérieuse. Il ne s’écoula pas longtemps avant qu’il se convertisse de cœur à Dieu.
Nous vous posons maintenant une question personnelle : – Qu’y a-t-il sur votre papier ? Avez-vous aussi été trompé par de tels, qui se disent chrétiens ? Par vos parents, ou vos voisins, ou vos collègues de travail ? Je vous prie alors sincèrement : – Ne restez pas sur cette déception. Venez à Jésus-Christ, le Fils de Dieu, et croyez en Lui. Il ne vous décevra jamais.

D’après Näher zu Dir Février 2019

Le Fils de son amour… ayant fait la paix par le sang de sa croix (Col. 1. 20).

UNE DEMEURE POUR LES SANS-LOGIS

L’évangéliste Wilhelm Busch voyageait une fois sur un bateau à vapeur, depuis l’Amérique vers l’Allemagne.
Un steward, avec lequel il s’était lié d’amitié, lui montra l’intérieur du bateau. Dans un couloir mal éclairé, Busch se heurta à un collaborateur du personnel des cabines, qui arrivait en courant depuis un autre passage. Quand il eut posé la main sur le bras de l’inconnu, l’évangéliste s’exclama en riant : – Qu’est-ce que j’ai trouvé là comme oiseau ? L’autre lui répondit tout net : – J’ai été pasteur, paysan, vagabond, marin. J’ai même essayé quelque temps d’être moine. Mais là non plus je n’ai pas pu trouver la paix.
L’évangéliste demanda rapidement son nom à cet homme, avant de rejoindre son guide. Les paroles de cet homme, qui avait vu du pays, qui, en Amérique, avait été un chemineau, un paysan, un marin et un moine, ne pouvaient le laisser tranquille. Depuis chez lui, il lui envoya un Nouveau Testament, sans rien de plus.
Quelques mois plus tard, Busch reçut – d’après ses propres paroles – une lettre d’une beauté indescriptible, qui commençait ainsi : – Maintenant j’ai trouvé la paix auprès de Jésus, crucifié et ressuscité.
C’est là le miracle de la croix du Calvaire. Auprès de la croix du Seigneur Jésus, le sans-logis trouve une demeure. Là, celui qui n’a pas de paix trouve le repos. Celui qui, avec foi, contemple l’amour de Dieu à la croix et capitule devant Lui, trouve la vie, le pardon, la réconciliation et la grâce.

D’après Näher zu Dir Mars 2019

Quoi que vous fassiez, faites-le de cœur, comme pour le Seigneur et non pour les hommes (Col. 3. 23).

POUR QUI TRAVAILLONS-NOUS ?

Je suis une secrétaire, m’a expliqué une jeune femme. Quand je dis cela aux gens, ils me regardent quelquefois avec pitié. Mais quand je leur dis quel genre de secrétaire je suis, ils ouvrent de grands yeux. Autrement dit : la société regarde certaines professions comme peu intéressantes, à moins qu’elles soient en relation avec des gens riches ou considérés.
Les chrétiens ne doivent jamais avoir honte des activités banales. Quelle que soit la place, quel que soit le chef qu’ils ont – ils travaillent pour le Seigneur Jésus. C’était déjà le cas au temps où l’apôtre Paul, dans ses enseignements, s’adressait aux esclaves croyants. Il leur disait : « Vous servez le Seigneur Christ » (Col. 3. 24). Cela n’élève-t-il pas tout travail à une occupation de valeur, par laquelle nous pouvons honorer notre Seigneur ? Que nous soyons dans les services du téléphone, que nous conduisions un camion, que nous soyons occupés aux tâches du ménage, ou que nous dirigions un commerce – nous accomplissons notre travail pour Lui.
Porter nos regards sur le Seigneur Jésus nous aide aussi à accomplir soigneusement une occupation ennuyeuse, ou à faire de bon cœur un devoir difficile. De plus, nous nous efforçons, sur notre lieu de travail, de ne rien faire qui déplairait à notre Seigneur dans le ciel. Si nous L’avons devant les yeux, nous ne dirons ni mensonge ni tromperie. De cette façon, les croyants qui font bien leur travail sont de fidèles témoins pour leur Seigneur et pour la grâce de Dieu.

D’après Näher zu Dir Mars 2019

Votre Père… fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et envoie sa pluie sur les justes et sur les injustes (Mat. 5. 45).

LA BONTÉ DE DIEU ENVERS LES HOMMES

Celui qui habite à proximité d’une chute d’eau est habitué depuis longtemps au bruit de l’eau. Selon la direction du vent, le bruit est plus ou moins fort. Mais il ne perturbe pas la personne. C’est tout différent, quand le bruit accoutumé s’arrête tout à coup. Le calme inhabituel fait peur.
C’est exactement ce qui s’est passé dans la nuit du 29 au 30 mars 1848, en Amérique du Nord, pour les chutes du Niagara. Le vacarme habituel s’est tu tout à coup. Les habitants des environs, inquiets, en ont recherché la cause. Il apparut que des blocs de glace bloquaient le courant à la sortie du Lac Erié, près de Buffalo. Ce n’est qu’après 30 heures que l’eau a pu entailler le barrage de glace et couler de nouveau normalement.
Depuis des siècles, la bonté de Dieu coule sans interruption envers les hommes. « La terre est pleine de la bonté de l’Éternel » (Ps. 33. 5). Dieu a créé notre planète et l’a aménagée de façon que l’homme puisse y vivre. De plus, Il maintient, par Sa bonté, la vie sur la terre un jour après l’autre. Nous nous sommes tellement habitués à cela que beaucoup ne remarquent même plus à quel point le fleuve de la bonté de Dieu est riche de bénédictions.
Ce serait pourtant fatal, si nous attendions, pour penser à Dieu, que le moment arrive où le fleuve de Sa grâce cessera soudain de couler et où le jugement annoncé éclatera sur la terre. Il sera alors trop tard pour nous tourner vers notre Créateur – qui ne serait plus pour nous un Sauveur, mais un Juge.

D’après Näher zu Dir Mars 2019

Que votre douceur soit connue de tous les hommes ; le Seigneur est proche (Phil. 4. 5).

RÉCLAMATIONS

On lisait récemment, dans un grand quotidien, que le stress au travail a augmenté.
Ceux qui sont particulièrement touchés, ce sont les collaborateurs qui doivent prendre note des réclamations des clients. On pouvait lire, entre autres :
Le fait que 61 % se plaignent de contacts pénibles avec les clients, serait la conséquence d’un nombre croissant de clients agressifs. Les relations entre les clients et les vendeurs se seraient globalement durcies, parce que les clients exigent que les prestations promises soient réalisées sans compromis. Les enfants apprennent, déjà tôt que celui qui réclame plus obtient plus. Et ils gardent cette pensée à l’âge adulte comme clients.
Si c’est là une tendance générale, nous voulons nous demander, en tant que chrétiens, comment nous devons nous comporter à cet égard. Il nous arrive bien, dans la vie de tous les jours, que l’entreprise où nous avons commandé quelque chose, ou bien où nous avons donné notre voiture à réparer, ait fait une erreur. C’est alors notre droit de faire remarquer la faute.
Mais dans une telle situation, comment l’autre nous entend-il parler ? Sur quel ton doit-il recevoir notre réclamation ? Sommes-nous conscients, également dans de telles circonstances, que nous sommes la lettre de Christ ? Rappelons-nous que nous sommes bénis de toutes bénédictions spirituelles, et que nous avons au ciel un Père qui connaît tous nos besoins et qui prend soin de nous. Plus nous sommes conscients de cette grâce, mieux nous saurons agir avec nos semblables avec douceur et bonté.

D’après Näher zu Dir Avril 2019

Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui (Jean 3. 36).

Il LUI MANQUE LA VIE

Un jeune sculpteur travaillait consciencieusement à la statue d’un ange. Quand le célèbre Michel Ange passa voir le travail, le sculpteur retint son souffle. Qu’allait dire le grand Maître ? Michel Ange considéra la statue avec soin, et dit pour finir : – Il ne lui manque qu’une chose.
Le jeune artiste en fut profondément déçu. Pendant des jours il ne put manger ni dormir. Il chercha à voir Michel Ange, et lui demanda ce qui manquait à cette statue. Il lui fut répondu :- Il lui manque la vie ; si elle était vivante, elle serait parfaite.
De nombreuses personnes ressemblent à cette statue. Extérieurement, tout semble être le mieux possible. Elles mènent une vie d’un haut niveau moral et sont des citoyens considérés. On les connaît comme étant des gens corrects, aimables ou religieux. Cependant, aussi longtemps qu’ils ne sont pas nés de nouveau, il leur manque la chose principale : la vie éternelle. Il est dit dans la Bible : « C’est ici le témoignage : que Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est dans son Fils : Celui qui a le Fils a la vie, celui qui n’a pas le Fils de Dieu n’a pas la vie » (1 Jean 5. 11 et 12). Peut-être pouvez-vous, dans votre vie, faire montre de beaucoup de choses positives, ce qui fait une très bonne impression de vous sur les autres. Mais aussi longtemps que vous n’avez pas reçu le Seigneur Jésus avec foi comme votre Sauveur personnel, il vous manque la chose principale : la vie de Dieu.

D’après Näher zu Dir Avril 2019

Que rien ne se fasse par esprit de parti, ou par vaine gloire ; mais que, dans l’humilité, l’un estime l’autre supérieur à lui-même (Phil. 2. 3).

TOI D’ABORD !

Le 1er Mai 1963 le sherpa tibétain Nawang Gombu, et l’Américain Jim Whittaker atteignirent ensemble le Mont Everest. Comme ils approchaient du sommet, chacun d’eux réfléchissait à la renommée que recevrait celui qui, dans le cadre de cette expédition, arriverait le premier. Whittaker fit comprendre à Gombu qu’il lui laisserait cet avantage. Mais Gombu le déclina en riant : – Toi, le premier, grand Jim ! Ils décidèrent finalement d’arriver ensemble au sommet.
Cet petite histoire illustre ce que l’apôtre Paul nous enseigne en Philippiens 2 :
– Au lieu de nous fixer sur notre point de vue, ou même de nous engager dans une dispute de mots, nous devrions estimer l’autre supérieur à nous-même.
– Au lieu de nous mettre au centre et de penser à notre propre réputation, il vaut mieux laisser à l’autre la préséance, et chercher à honorer le Seigneur.
La véritable humilité à l’égard de nos frères chrétiens ne conduit jamais à renoncer à la vérité biblique. Si nous obéissons à la Parole de Dieu dans un état d’esprit d’humilité, nous ne susciterons certainement pas d’opposition chez ceux qui veulent obéir de cœur au Seigneur.
Le Seigneur Jésus a manifesté dans Sa vie un esprit d’humilité et d’obéissance. Regardons à Son exemple parfait et imitons-Le !
La recherche de soi-même et le désir de dominer nous séparent, mais l’humilité et l’obéissance nous lient.

D’après Näher zu Dir Mai 2019

La parole du Seigneur demeure éternellement (1 Pier. 1. 25).
L’évangile que vous avez entendu, lequel a été prêché dans toute la création qui est sous le ciel (Col. 1. 23).

LA MISSION WYCLIFFE

Au 14ème siècle, peu de gens savaient lire et écrire. Dans les églises et les monastères se trouvaient de rares exemplaires de la Bible, mais ils étaient en latin.
En Angleterre, un étudiant brillant, John Wycliffe, se tourna vers Dieu alors qu’une épidémie de peste faisait rage. Il décida de traduire le saint Livre dans la langue parlée par le peuple. Il savait quelle était la puissance de la Parole de Dieu pour sauver, pour édifier, pour corriger et pour consoler. Il y œuvra pendant dix ans et, avec l’aide de quelques amis, il copia tout à la main, car on n’avait pas encore inventé l’imprimerie. Cette traduction fut accueillie avec beaucoup d’intérêt. Après sa mort, de nombreux chrétiens poursuivirent son œuvre.
Aujourd’hui, la mission Wycliffe, ainsi appelée du nom de celui qui, le premier, traduisit la Bible du latin en anglais, aide des centaines de traducteurs à travers le monde, dont le but est de rendre la Bible accessible, dans son entier ou en partie, à des millions de personnes dans leur propre langue. Elle a été fondée en 1942, lorsqu’un missionnaire entendit un Indien du Guatemala se plaindre, en disant : – Pourquoi Dieu n’a-t-Il pas appris notre langue ?
Aujourd’hui, la Bible a été traduite, en tout ou partie, dans plus de 2000 langues et dialectes, mais il en reste au moins autant qui ne la possèdent pas. Dieu se sert de Ses serviteurs pour agir avec puissance dans cette action. « Car la parole de Dieu est vivante et opérante, et plus pénétrante qu’aucune épée à deux tranchants … et elle discerne les pensées et les intentions du cœur » (Héb. 4. 12).

D’après The good Seed Janvier 2019

Quand ils vous mèneront pour vous livrer, ne soyez pas à l’avance en souci de ce que vous direz, et ne méditez pas votre discours ; mais tout ce qui vous sera donné en cette heure-là, dites-le ; car ce n’est pas vous qui parlez, mais l’Esprit Saint. (Marc 13. 11).

UNE RÉPONSE BIEN INSPIRÉE

Un gouvernement athée essayait de supprimer complètement la foi chrétienne. Cependant, un professeur qui était un croyant, continua à distribuer inlassablement des Bibles et de la littérature chrétienne. Il parlait souvent et ouvertement de Jésus Christ, son Sauveur, disant comment il était devenu un enfant de Dieu par la foi en Jésus et dans Son œuvre de rédemption.
Ce professeur fut arrêté un jour par la police secrète. Lors de l’interrogatoire, il répondit à chaque question par un verset de la Bible. L’officier de police essaya de le piéger en lui faisant dire quelque chose de désagréable au sujet du président du pays. Il espérait pouvoir, de cette façon, dresser une accusation qui conduirait aisément et rapidement à une sentence de mort. Il commença :
– Je comprends que vous croyez dans la Bible. Or, la Bible dit que « Dieu est vrai et tout homme menteur » (cf. Rom. 3. 4). Que dites-vous de cela ? Le Président est-il un menteur ou non ?
– J’ai un petit garçon de sept ans, répondit le chrétien. Si on lui pose une question difficile à laquelle il ne sait pas répondre, il dit simplement : – Je ne sais pas. Demandez à mon père. C’est cette même réponse que je vais vous faire. Demandez à mon Père céleste. L’officier se rendit compte qu’il n’avait pas réussi à atteindre son but, et il relâcha le chrétien.
Cette question : – Demandez à mon Père, est un bon conseil à donner à nos lecteurs.
Mais quand il ne s’agit pas de questions pièges, mais des questions de la vie, sans solution et sans réponse, le mieux est de s’adresser à Dieu Lui-même. Donc, priez-Le, et cherchez Ses réponses dans la Bible !

D’après The good Seed Février 2019

Jésus leur dit : Moi, je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim (Jean 6. 35).

LA RELIGION NE SAUVE PAS

Moran était né en Israël. Enfant, il croyait au Créateur et au Dieu de l’alliance avec Israël.
Ensuite, l’alcool, les femmes, et son travail comme jockey remplirent sa vie. Pendant son service militaire, plusieurs de ses camarades furent tués dans un bombardement suicidaire. Cela suscita chez lui haine et rage amères, et l’éloigna de plus en plus de Dieu.
Ensuite, Moran émigra aux États-Unis. Là, une famille amie chrétienne l’invita à assister à une réunion. Moran fut surpris de la simplicité de l’ambiance : pas de croix ni de statues. Il se sentit à l’aise et continua d’y aller.
Une fois, le prédicateur dit : – Si vous désirez connaître Dieu personnellement, vous devez croire en Jésus Christ. Il exposa le contenu de l’épître aux Hébreux, et dit que la majorité des Juifs honoraient peut-être Dieu, mais qu’ils ne Le connaissaient pas réellement. La connaissance personnelle de Dieu n’est possible que par Jésus.
Bien que Moran n’ait pas été un Juif pieux, ces remarques lui déplurent. Quand il en parla au prédicateur, celui-ci lui conseilla de lire la Bible. C’est ce qu’il fit, et il fut très impressionné par ce qu’il lut, spécialement en comparant l’Ancien et le Nouveau Testaments. Certaines affirmations le firent trembler, mais elles devinrent pour lui des paroles de vie. Il demanda à Jésus Christ d’entrer dans sa vie. Il reçut le pardon de ses péchés, et de son cœur disparurent toute haine et toute amertume.
Aucune religion ne peut nous sauver. Nous avons besoin d’une relation personnelle avec Jésus Christ. Il est vivant ! Et Lui seul peut nous faire don de l’amour, de la paix et de la joie après lesquels nous soupirons.

D’après The good Seed Février 2019

Cet affligé a crié ; et l’Éternel l’a entendu, et l’a sauvé de toutes ses détresses (Ps. 34. 6).
D’en haut il étendit sa main, il me prit, il me tira des grandes eaux (Ps. 18. 16).

UNE NUIT D’ORAGE

Dans un petit village du Sud de la France, où j’habite depuis ma retraite, demeure un prêtre âgé. J’ai eu souvent avec lui des conversations édifiantes sur l’Évangile et au sujet de notre Sauveur, malgré sa surdité avancée.
Notre village est exposé à de violents orages, en particulier la nuit. Au cours d’un tel orage, extrêmement violent, un véritable déluge provoqua une inondation en amont du village.
Mon ami prêtre, selon son habitude, se leva à cinq heures du matin pour prier. Pendant qu’il était à genoux, il lui sembla entendre un appel au secours. Il s’habilla et alla rapidement chez un voisin, pour l’éveiller et lui dire ce qu’il avait entendu. Cet homme, pas bien convaincu, mais n’osant pas refuser de l’aide, décida de sortir sa voiture, et même de prendre une corde par acquis de conscience. Ils se mirent en route, écoutant d’autres appels éventuels, mais le vacarme de l’eau tourbillonnante et du tonnerre étouffaient tout autre bruit. En remontant la route parallèle au torrent, le conducteur s’aperçut tout à coup que le revêtement de la route avait été balayé. Et là, dans l’eau boueuse à la place de la surface asphaltée, un homme s’accrochait à la cabine de son camion. Ils purent le sauver.
L’homme était tout juste hors de danger quand le camion commença à dériver. C’était l’appel de cet homme que le prêtre âgé et sourd avait entendu !
Dieu accomplit encore des miracles. : « Il fait entendre les sourds et parler les muets » (Marc 7. 37).

D’après The good Seed Février 2019

Que profitera-t-il à un homme de gagner le monde entier, s’il se détruit lui-même ou se perd lui-même ? (Luc 9. 25).

QU’EST-CE QU’UNE VIE ACCOMPLIE ?

L’enterrement d’une femme âgée de 102 ans avait lieu. Le prêtre commença l’oraison funèbre par ces mots : – Une vie accomplie arrive à sa fin.
Il semblait réellement que cela avait été une vie accomplie. J’avais bien connu cette personne, aussi j’écoutais attentivement. A sa sortie de l’école, où elle avait été l’une des meilleures élèves, elle commença une carrière de service civil.
Au cours de sa vie, elle avait traversé deux guerres mondiales, avec toutes leurs épreuves et leurs difficultés. Elle s’était mariée, avait eu des enfants, et avait passé ses dernières années, étant veuve, dans une maison de retraite. Elle avait mené toute une vie honorable, remplissant fidèlement ses devoirs jusqu’à un âge avancé. De plus, son abord amical et plaisant était remarquable.
Mais était-ce réellement une vie accomplie ? Il lui manquait la chose essentielle : Jésus Christ. Elle ne voulait rien entendre de Lui. Elle se figurait qu’elle n’avait pas besoin d’un Sauveur. Il sera demandé un jour à cette femme, devant le trône de jugement de Dieu, ce qu’elle avait fait de Jésus Christ. Le Fils de Dieu est le don de Dieu à l’humanité. Lui seul peut nous sauver de notre état de perdition. Lui seul peut nous amener à Dieu. Mais elle L’avait refusé délibérément. A quoi lui servirait le respect qu’elle avait acquis dans son entourage ?
Au sujet de ceux qui croient en Lui, et que Jésus nomme Ses brebis, Il a dit : « Je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10. 10). C’est cela, la vie éternelle, qui a son commencement et son accomplissement. Celui qui croit au Seigneur Jésus et vit avec Lui partira un jour pour être avec Lui au ciel pour l’éternité. Rien d’autre ne peut être appelé une vie accomplie.

D’après The good Seed Mars 2019

Sondez les écritures, car vous, vous estimez avoir en elles la vie éternelle, et ce sont elles qui rendent témoignage de moi (Jean 5. 39).

JÉSUS CHRIST ANNONCÉ DANS L’ANCIEN TESTAMENT

Ce n’est pas seulement dans le Nouveau Testament que Christ est mentionné. Nous trouvons aussi, dans l’Ancien Testament, des indications claires se rapportant à Christ, dans de nombreux passages qui, vus de manière superficielle, ne parlent pas de Lui. Mais il y a de nombreux détails dans la vie de personnes bibliques remarquables, de même que dans les commandements au sujet du service pour Dieu des Israélites, qui se rapportent à Lui de manière prophétique.
Par exemple, l’histoire de Joseph, dans la Genèse, pourrait avoir pour titre : De la souffrance à la gloire. Elle nous révèle de nombreux détails de la vie du Seigneur Jésus. L’agneau de la Pâque, dans l’Exode, dont le sang mettait à l’abri du jugement de Dieu, et les différents sacrifices, dans le Lévitique, sont des illustrations claires de Christ. Dans les Nombres, le serpent d’airain nous montre que nous devons regarder à la croix pour être sauvés (cf. Jean 3. 14 et 15). Dans le Deutéronome, Jésus est le grand Prophète annoncé par Moïse. Et dans le livre de Ruth, Boaz est un type de Christ, le Rédempteur, Celui qui a le droit de rachat. De nombreux psaumes parlent de l’abaissement volontaire de Christ, de Ses souffrances, de Sa mort, et de Sa gloire. Le prophète Ésaïe présente Christ comme Celui qui est allé à la croix pour nous sauver, et Zacharie parle de Lui en disant : « Ils regarderont vers moi, celui qu’ils auront percé » (chap. 12. 10).
Dans le Nouveau Testament, les quatre Évangiles décrivent le Seigneur Jésus avec Ses gloires variées : Matthieu comme le roi d’Israël, Marc comme le Serviteur de Dieu, Luc comme le Fils de l’Homme, et Jean comme le Fils de Dieu.
Les épîtres du Nouveau Testament révèlent les résultats précieux de l’œuvre de rédemption du Seigneur Jésus, et l’Apocalypse nous conduit jusque dans la gloire éternelle.

D’après The good Seed Mars 2019

Il ne se trouvera au milieu de toi… ni devin qui se mêle de divination, ni pronostiqueur, ni enchanteur, ni magicien, ni sorcier… ni personne qui interroge les morts (Deut. 18. 10 et 11).
Eux-mêmes… racontent… comment vous vous êtes tournés des idoles vers Dieu, pour servir le Dieu vivant et vrai (1 Thess. 1. 9).

DE L’OCCULTISME À LA VÉRITÉ

Ma grand-mère m’avait enseigné, depuis mon enfance, non seulement à répéter une prière tous les soirs, mais aussi à dire la bonne aventure, et à prédire l’avenir à partir des cartes à jouer. Aujourd’hui je ne peux appeler tout cela qu’un piège diabolique. En conséquence, je devins l’outil de puissances mauvaises, bien que, pendant longtemps, j’aie considéré cela seulement comme un amusement. En réalité, on est alors lié comme un esclave.
L’occultisme était toujours un élément de notre vie de famille, bien que nous n’en ayons pas toujours été conscients. C’était comme une araignée tissant lentement sa toile tout autour de moi.
Plus tard, j’ai rejoint un groupe d’astrologues. Un jour, j’ai lu un livre qui m’a enseigné les prières astrologiques. Je me suis aperçu tout à coup que j’étais menacé d’y être complètement immergé. Comment peut-on prier les étoiles ! J’ai décidé de quitter ce groupe.
Pendant cette période, j’ai une fois ouvert une Bible, et pour la première fois j’ai lu ce qu’a dit Jésus :
« Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie » (Jean 14. 6). Un frisson m’a parcouru le dos, et mes yeux se sont remplis de larmes. Qu’est-ce qui n’allait pas en moi ?
Peu de temps après, je suis allé pour la première fois à une réunion de chrétiens évangéliques. Le Seigneur avait préparé mon cœur pour Sa Parole. Quoique j’aie encore été influencé par des choses fausses, le message biblique m’était absolument clair. J’avais faim de la vérité. Le dimanche suivant, j’ai eu l’occasion de poser des questions au prédicateur.

Pour que quelqu’un voie la lumière, il est quelquefois nécessaire qu’il tombe dans un trou profond. S’il regarde alors vers Dieu, il deviendra clair pour lui que Dieu souhaite le délivrer de son sentier de perdition, et lui révéler Sa grâce.
Après avoir réfléchi sur ma vie personnelle et avoir pensé à Jésus Christ pendant trois mois, j’ai été converti. J’ai confessé mes péchés au Seigneur Jésus, ce grand fardeau que je ne pouvais plus supporter, qui menaçait de m’écraser jusqu’à ce que je l’aie déposé aux pieds du Seigneur – et Il m’a pardonné. Ma vision du monde, de l’humanité, et de ma propre vie, a complètement changé. Le Seigneur Jésus a ouvert mes yeux. Il est maintenant mon berger, et je ne manquerai de rien, comme l’affirme le Psaume 23.
Pendant cette période, ma foi a été régulièrement mise à l’épreuve. J’étais encore souvent confronté avec l’occultisme. Mais j’étais alors capable de rendre témoignage de ma foi chrétienne, et d’insister sur le danger de l’occultisme et sur la victoire du Seigneur Jésus Christ.
Quelle expérience glorieuse de libération lorsque quelqu’un est délivré de l’influence des puissances sinistres par la toute-puissance de Dieu et par la puissance en salut du Seigneur Jésus ! J’étais perdu, sans espoir, rendu esclave de ces activités. Maintenant j’ai été délivré du pouvoir des ténèbres par la grâce de Jésus Christ. Il est mon Sauveur et mon Seigneur.

D’après The good Seed Mars 2019

Nous marchons par la foi, non par la vue (2 Cor. 5. 7).
Sans la foi, il est impossible de lui (à Dieu) plaire (Héb. 11. 6).

NOTRE FOI : UN RADAR SPIRITUEL

Il y a quelques années, alors que nous traversions la Manche, le brouillard était si épais que nous ne pouvions même pas voir l’eau. Le bateau continuait cependant à avancer à sa vitesse normale. Le pilote et le capitaine étaient informés par radar de tout obstacle se présentant sur le trajet. Une grande tache, sur l’écran, indiquait avec précision un autre navire devant nous. Le radar traversait le brouillard et permettait de distinguer le bateau.
La foi agit un peu comme un radar, révélant des réalités invisibles derrière les nuages de nos doutes et de nos difficultés. La foi ne raisonne pas ; elle croit, simplement parce que Dieu a parlé.
La foi reconnaît que l’univers n’est pas le résultat du hasard, mais qu’il a été créé selon que Dieu l’a commandé.
La foi balaie mon être rationnel. La foi dans la Parole de Dieu m’indique ce qui contredit la bonté et la vérité divines. Elle me révèle exactement qui je suis devant Dieu. Elle me donne aussi une espérance, parce qu’elle m’assure de ce que Dieu a fait pour moi, et le rend réel dans ma vie.
« Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi » (Gal. 2. 20).
La foi n’est pas de l’autosuggestion, ni un sentiment indéfini basé sur la propre imagination de quelqu’un. C’est la conviction que Dieu existe et que Sa Parole est la vérité. Dieu a parlé, et Il parle encore aujourd’hui par la Bible.

D’après The good Seed Mars 2019

L’oreille qui écoute la répréhension de vie logera au milieu des sages (Prov. 15. 31)
La rébellion est comme le péché de divination, et l’obstination, comme une idolâtrie (1Sam. 15. 23).

DIEU ATTEND DE L’OBÉISSANCE

J’avais juste fini de peindre la balustrade de l’escalier montant à l’entrée arrière de notre maison. J’allais ranger tout le matériel de peinture à la cave, quand je vis le petit garçon de mes voisins, Marc, âgé de cinq ans, accourant en direction de l’escalier. Je lui criai : – Marc, viens à la porte de devant ! La balustrade vient d’être peinte.
– Je ferai attention, répondit Marc, en approchant de l’escalier.
– Non, Marc, ne monte pas par cet escalier, répondis-je d’un ton ferme. Il m’assura de nouveau : – Je ferai attention.
– Non ! Stop, Marc. Je ne te demande pas de faire attention. Je veux que tu m’obéisses ! Cette répartie sévère fit réagir le petit garçon, et il fit le tour vers la porte de devant.
Un tel incident de la vie de tous les jours peut survenir dans notre vie de foi.
Ne nous arrive-t-il pas de nous engager dans un sentier que nous avons choisi pour nous-mêmes, quoique la Bible nous mette en garde contre cela ?
Au lieu d’obéir à la Parole de Dieu, nous affirmons hardiment devant le Seigneur : – Je ferai attention. Il ne nous demande pas de faire attention en étant sur un mauvais chemin. Il veut que nous lui obéissions en suivant le droit chemin.
En conséquence, Il doit quelquefois prendre des mesures sévères pour nous empêcher de faire un faux pas. Comment réagissons-nous alors ? Est-ce que nous obéissons, ou est-ce que nous continuons simplement dans notre chemin d’indépendance, sans écouter ? Laissons-nous plutôt réprimander par le Seigneur, avant de devoir subir les conséquences de notre propre-volonté !

D’après The good Seed Mars 2019

L’homme qui, étant souvent repris, roidit son cou, sera brisé subitement, et il n’y a pas de remède (Prov. 29. 1).

L’AVERTISSEMENT MÉPRISÉ

La Spey, rivière de la région montagneuse de l’Écosse, est connue pour ses tourbillons dangereux. Un pêcheur expérimenté, qui s’adonnait régulièrement à ce passe-temps, y avait une fois lancé sa ligne, en même temps que des camarades. Se tenant debout dans l’eau profonde, il avait déjà pris un certain nombre de beaux saumons. Excité par son succès, il s’aventura encore plus profondément dans la rivière, jusqu’à ce que le fort courant arrache soudain ses pieds du lit de la rivière. A une allure vertigineuse il fut emporté vers un passage profond de la rivière, et fut noyé. Tout se passa si rapidement que l’aide de ses camarades arriva trop tard.
Plus tard, un de ses amis fit la remarque : – Je l’avais souvent averti de ne pas être aussi insouciant, mais il se contentait de rire de mes avertissements et insistait sur la grande expérience qu’il avait des tourbillons de la rivière.
Dans maintes occasions de notre vie, nous pouvons souvent reconnaître la main de Dieu qui nous arrête.
Peut-être avons-nous évité de justesse certains dangers. Avons-nous saisi cela comme une occasion de nous tourner vers Dieu, qui nous avait protégés, et avons-nous changé notre manière d’agir ? Ou bien, continuons-nous, sûrs de nous-mêmes et insouciants, parce que nous avons déjà surmonté des dangers ?
Dieu ne nous oblige pas à suivre le chemin qu’Il désire, ni à aller au ciel. Mais dans Son amour, Il nous invite à ouvrir notre cœur à Son Fils Jésus-Christ. Si, dans notre obstination, nous ne tenons pas compte de Son appel, montrant par-là que nous n’avons pas du tout l’intention de L’entendre, il se peut que le moment vienne où nous aurons manqué pour toujours l’occasion d’être sauvé.

D’après The good Seed Avril 2019

Et Jésus sortit et s’en alla du temple ; et ses disciples s’approchèrent pour lui montrer les bâtiments du temple. Et lui, répondant, leur dit : Ne voyez-vous pas toutes ces choses ? En vérité, je vous dis : Il ne sera point laissé ici pierre sur pierre qui ne soit jetée à bas (Mat. 24. 1 et 2).

QUE LES CHOSES VISIBLES NE CACHENT PAS LES CHOSES INVISIBLES, SEULES DURABLES

Un homme âgé était assis dans une très belle église décorée avec art. Il était plongé dans la lecture d’un livre. Même la musique du chœur chantant des hymnes à la gloire de Christ ne pouvait le détacher de sa lecture. Son livre l’absorbait complètement.
L’homme lisait-il peut-être la Bible ? J’eus le courage de lui demander : – Excusez-moi, est-ce la Bible que vous lisez ? – Non, je lis le guide concernant les œuvres d’art ici, fut sa réponse. La description du bâtiment, de son art et de son architecture, était ce qui retenait son attention. Peut-être s’intéressait-il seulement au nom de l’artiste qui avait sculpté la belle grande croix représentant le Seigneur Jésus crucifié.
Quand il est question de la foi, beaucoup de gens sont impressionnés par des choses minimes et passent à côté de la chose principale, à savoir ce qu’était la croix dans le plan de Dieu. Dieu a donné Son propre Fils bien-aimé pour qu’Il soit le Sauveur d’un monde perdu. Toute autre chose passe à l’arrière-plan, même ce qu’ont créé des artistes de talent. Le Nom du Seigneur Jésus Christ est « le nom … au-dessus de tout nom » (Phil. 2. 9). Seule la foi vivante en Lui et dans Son œuvre accomplie nous sauve de la condamnation éternelle, et nous donne des richesses incorruptibles et éternelles. Nous ne trouverons pas la description de ce trésor dans un guide d’art, mais dans la Parole de Dieu, la Bible.

D’après The good Seed Avril 2019

Vous étiez en ce temps-là sans Christ… n’ayant pas d’espérance, et étant sans Dieu dans le monde (Éph. 2. 12).

UN ESPOIR FERME POUR L’ÉTERNITÉ

Le premier officier du navire de commerce Elma Trees a fait l’expérience de ce que c’est que d’espérer. C’était le seul survivant d’une catastrophe maritime survenue en 1981 au large de la côte des Bermudes. Il dit plus tard : – La chose la plus importante, c’est d’espérer. Je devais simplement espérer que je serais sauvé le jour suivant. Il repensait sans cesse à ses parents et à son chez-soi.
Le navire avait chaviré à la suite d’une panne de moteur, et avait sombré en peu de temps. L’équipage n’avait pas réussi à mettre en service les deux canots de sauvetage gonflables. Lui-même, par bonheur, avait mis son gilet de sauvetage, avant d’être entraîné dans la profondeur de l’eau avec le navire noyé. Il avait réussi, avec de grands efforts, à remonter à la surface et à s’accrocher à un canot de sauvetage qui flottait, tourné à l’envers.
– Que se passe-t-il quand vous mourez ? se dit-il. Vous tombez à l’eau, et les requins vous dévorent.
– C’est la seule fois où j’ai presque sombré, mais l’espoir est revenu rapidement, parce qu’il faisait un temps magnifique. Le vent n’était pas aussi violent que le jour précédent.
Le marin a été sauvé par hélicoptère.
Pour chacun de nous, le temps viendra où nous devrons mourir. Qu’y a-t-il ensuite ? Personne ne peut éluder la question de ce qui vient après la vie ici-bas, car les gens ne cessent pas simplement d’exister. La Bible en rend clairement témoignage. Nous devons nous mettre en règle avec Dieu pendant notre vie terrestre, en reconnaissant notre culpabilité devant le Sauveur, Jésus Christ, et en L’acceptant comme tel par la foi. C’est seulement alors que nous avons une espérance sûre pour l’éternité, et cela nous donne dès maintenant une raison de nous réjouir.

D’après The good Seed Avril 2019

Celui qui aime l’argent n’est point rassasié par l’argent (Éccl. 5. 10).
Je me suis bâti des maisons… Je me suis aussi amassé de l’argent et de l’or… et voici, tout était vanité et poursuite du vent (Éccl. 2. 4 à 11).
A celui qui a soif, je donnerai, moi, gratuitement, de la fontaine de l’eau de la vie (Apoc. 21. 6).

L’ARGENT POURVOIT-IL À TOUT ?

L’argent nous permet d’acheter beaucoup de choses, mais pas ce qui est essentiel. Il nous permet de nous procurer de la nourriture, mais pas de l’appétit – la médecine, mais pas la santé – des connaissances, mais pas des amis, des moments de plaisir, mais ni la paix ni le bonheur. C’est là la conclusion d’un dramaturge norvégien. Cela pourrait aussi être la nôtre : elle est basée sur l’évidence.
La recherche du bonheur est universelle. Certains le cherchent dans le pouvoir, d’autres dans des addictions, sexuelles ou autres, d’autres encore dans leur passion pour leur travail, et beaucoup dans la possession des richesses.
La société de consommation du monde occidental entretient l’illusion que la clé du bonheur, c’est d’être à même d’acheter quoi que ce soit qu’on souhaite, sans restriction.
Même s’il est exact qu’on a besoin d’un minimum d’argent pour vivre décemment, il est également vrai que les choses essentielles ne peuvent être achetées, comme le dit l’auteur de cette citation. Où peut-on acheter la paix intérieure, ou la délivrance d’un sentiment de culpabilité, ou une assurance de ce qui vient après la mort ? Nulle part !
Mais la bonne nouvelle, c’est que Jésus Christ offre des richesses qui ne peuvent être achetées. A une condition, toutefois, car il y a une condition : c’est d’accepter Jésus comme le Sauveur et le Seigneur de notre vie. Faisons-Lui donc confiance pour tous nos besoins. La paix que Jésus donne et les promesses qu’Il fait dans Sa Parole ont une valeur réelle et durable. Elles sont le privilège de tous ceux qui prennent cette décision de la foi.

D’après The good Seed Avril 2019

Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père que par moi (Jean 14. 6).
Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont dans le christ Jésus (Rom. 8. 1).

LES CHUTES DE STEINSDALSFOSSEN

Près de Norheimsund en Norvège, on peut contempler avec émerveillement les chutes de Steinsdalsfossen, où le torrent se précipite en bas d’une pente de quelque cinquante mètres.
Les promeneurs qui approchent de la chute pourraient avoir l’impression que leur sentier disparaît dans l’écume, pour réapparaître tout à coup de l’autre côté. Mais ils découvrent alors que le sentier passe sous un rocher en encorbellement. Des flots d’eau font rage au-dessus et à côté des promeneurs, tandis qu’eux, protégés par le rocher, rejoignent l’autre rive sans danger.
C’est là une bonne illustration du moyen de salut que Dieu nous a révélé dans l’Évangile, le moyen par lequel nous pouvons échapper au jugement et venir à Dieu. L’Écriture sainte nous montre d’abord, cependant, que nous avons péché contre Dieu. Dans Sa sainteté et Sa justice, Dieu doit condamner le péché.
Les pécheurs ne peuvent s’attendre qu’à la punition de Dieu. Ils ne peuvent l’éviter par leurs efforts, quels qu’ils soient.
Mais Dieu désire nous sauver : Il a amené les eaux du jugement, que méritaient les pécheurs, sur Son Fils Jésus Christ, lorsqu’Il a souffert et qu’Il est mort sur la croix pour nous. C’est pourquoi Dieu peut pardonner quiconque se tourne vers Lui, en se fondant sur l’œuvre de rédemption de Jésus Christ.
Il n’y a plus de condamnation pour quiconque croit en Jésus Christ.
Le chemin qui mène à Dieu, c’est Jésus-Christ Lui-même, le Seigneur crucifié et ressuscité.

D’après The good Seed Mai 2019

Car toi, Seigneur ! tu es bon, prompt à pardonner, et grand en bonté envers tous ceux qui crient vers toi (Ps. 86. 5).

DIEU A ENTENDU MON CRI

A la sortie d’une usine, un jeune employé distribuait de temps à autre, à ses collègues, des traités sur la foi chrétienne. L’un de ceux qui travaillaient avec lui était très opposé aux choses de Dieu, et faisait tout son possible pour lui attirer des ennuis.
Au début de la seconde guerre mondiale, tous les employés de cette usine furent dispersés.
En 1965, sur un quai de gare, un groupe d’enfants partant pour un séjour de vacances commença à chanter un cantique chrétien. A côté d’eux, un homme écoutait. A un moment donné, il s’approcha du responsable de ce chant et lui demanda : – Me reconnais-tu ? C’est moi qui, il y a bien des années, te fis tellement d’ennuis à l’usine, quand tu distribuais ces traités évangéliques. J’ai été prisonnier de guerre, et je devais travailler comme bûcheron dans des conditions inhumaines. J’étais tellement mal traité que, un soir, j’ai posé mes outils et j’ai pensé à m’ôter la vie. Mais voilà que, au fond de mon sac, j’ai mis la main sur un morceau de papier, sale et déchiré, mais où j’ai pu lire : « Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé » (Act. 16. 31). C’était une page de l’un de tes traités. Tout à coup j’ai crié : – O Dieu, si tu existes, fais-moi au moins avoir des nouvelles de ma famille !
Deux jours après, j’ai été convoqué par les surveillants. Ils m’ont donné une liasse de lettres, et un paquet de la Croix Rouge. Quelques mois plus tard, je suis rentré chez moi, et tous se sont rendus compte que je n’étais plus la même personne. J’avais trouvé la source de la vraie joie ; le Seigneur Jésus Christ était mon Sauveur, ma paix et mon espérance.

D’après Il buon Seme Février 2019

O profondeur des richesses et de la sagesse et de la connaissance de Dieu ! Que ses jugement sont insondables, et ses voies introuvables ! (Rom. 11. 33).
Ainsi sera ma parole qui sort de ma bouche : elle ne reviendra pas à moi sans effet… et accomplira ce pour quoi je l’ai envoyée (És. 55. 11).

UN EMBALLAGE POUR DU TABAC

Nous recevons, d’une prison, le témoignage suivant :
Les moyens que Dieu a à sa disposition sont vraiment imprévisibles ! Écoutez mon histoire.
Mon compagnon de cellule n’avait plus de tabac, aussi il en demanda à ceux de la cellule voisine. Le tabac arriva, enveloppé dans une feuille de votre calendrier. D’un côté de la feuille, il y avait deux versets de la Bible, de l’autre côté, le bref récit d’un fait vécu par l’auteur. Puis il y avait votre adresse. Cela m’a bouleversé. Mon compagnon de cellule n’a pas compris grand-chose, non plus que le voisin qui m’avait fourni le tabac, qui ne savait d’ailleurs ni lire ni écrire. Mais chaque fois qu’il arrivait du tabac, il arrivait toujours un nouveau feuillet, et je demandais à mon compagnon de ne pas le jeter, parce qu’il avait pour moi beaucoup d’importance.
Un jour, mon compagnon de cellule a été mis en liberté, et notre fournisseur de tabac a demandé s’il pouvait prendre sa place. J’ai été d’accord, et ainsi il est arrivé dans ma cellule avec son calendrier, que nous avons accroché à une grille. J’ai pu expliquer à mon nouveau compagnon l’importance de la Bible, et lui m’a demandé de lui lire et de lui expliquer le texte de chaque jour. Nous sommes tous les deux des Maghrébins, lui, musulman, et moi, de culture chrétienne.
Ma vie en prison est quelquefois un cauchemar, mais mon espérance en Dieu et en Jésus Christ, mon Sauveur, me donne force et courage… Priez pour moi.

D’après Il buon Seme Mars 2019