TRADUCTIONS DE FEUILLETS (7)

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Jette ton pain sur la face des eaux, car tu le trouveras après bien des jours. Éccl. 11. 1.
Ils (Paul et Barnabas) retournèrent à Lystre, Iconium et Antioche : ils fortifiaient l’âme des disciples, les exhortaient à persévérer dans la foi, et les avertissaient que c’est par beaucoup d’afflictions qu’il nous faut entrer dans le royaume de Dieu. Act. 14. 21 et 22.

LA PUISSANCE DE L’ÉVANGILE

Faire entrer des Bibles dans des pays qui sont hostiles à Dieu représente un vrai problème. Il y a bien des années, des chrétiens ont eu l’idée de lancer à la mer des sacs en plastique hermétiquement fermés, contenant quelques pages de la Bible. De cette manière, l’Évangile est arrivé en Albanie depuis des îles grecques. Chaque sac contenait un Évangile, avec un peu de paille pour qu’il flotte. Après avoir beaucoup prié, ils lancèrent ces sacs dans la mer, en tenant compte des courants. Les vagues les emportèrent jusqu’à la côte du pays opposé. Et Dieu bénit ce travail.
Un Albanais trouva un Évangile sur la plage et fut converti par sa lecture. Il sillonna la plage et retrouva d’autres sacs plastiques qu’il distribua autour de lui. Il fut découvert, et condamné à neuf ans de prison. Plus tard, quand l’Albanie fut libérée, des chrétiens le rencontrèrent et lui demandèrent : Est-ce que vous avez dû aller en prison à cause de nous ? Est-ce que vous ne nous en voulez pas ? Il leur a répondu : Non, cela en valait la peine.
Après ces neuf années de prison, cet Albanais put assister à une réunion chrétienne pour la première fois et recevoir une Bible complète. Mais cela avait été par un seul Évangile, sans aucune autre littérature chrétienne, que le Seigneur avait atteint son âme, l’avait amené à la conversion, lui avait ensuite confié un service, et l’avait protégé au travers de grandes souffrances.

D’après The Good Seed Septembre 2011

Reviens à l’Éternel, ton Dieu, car tu es tombé par ton iniquité. Prenez avec vous des paroles, et revenez à l’Éternel ; dites-lui : Pardonne toute iniquité. Osée 14. 1 et 2.

ÊTRE DIRIGÉ PAR DIEU DANS LE SERVICE

Un jeune chrétien avait obtenu la permission d’annoncer la Bonne Nouvelle de Jésus Christ dans un hall de prison. Tandis qu’il suivait l’allée conduisant à l’estrade, il ne pouvait pas s’empêcher de ressentir clairement une attitude de réserve et de méfiance de la part des résidents. Il se rendit compte tout à coup que l’introduction qu’il avait prévue à sa prédication ne passerait pas bien chez ses auditeurs.
Au moment où il allait monter les quelques marches de l’estrade, tout en priant Dieu intérieurement pour être dirigé dans la manière de commencer à parler, il trébucha et tomba par terre. Des éclats de rire fusèrent dans la salle. Le prédicateur se releva, se dirigea vers le micro et dit : Mes amis, c’est exactement pour cela que je suis venu. J’aimerais vous dire qu’il est possible, pour n’importe qui, de tomber et de se relever.
C’est précisément cela que Dieu, dans sa grâce, désire nous faire connaître, et faire connaître à chacun, quelle que soit la forme particulière de sa culpabilité, et si grande soit-elle : « Venez, et plaidons ensemble, dit l’Eternel : Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme l’écarlate, ils seront comme la laine » (És. 1. 18).
Personne n’est exclu pour profiter de cette offre de la grâce : « Notre Dieu Sauveur … veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tim. 2. 3 et 4) ; et « le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7).
Aussi bas que quelqu’un soit tombé, Dieu veut l’aider à remonter. Il n’attend de lui qu’une chose : c’est qu’il confesse ses péchés avec toute franchise, et qu’il mette sa foi en Jésus Christ, le Sauveur, le Fils de Dieu.

D’après The Good Seed Septembre 2011

Le sang de Jésus Christ … nous purifie de tout péché. 1 Jean 1. 7.
Je ne me souviendrai plus jamais de leurs péchés ni de leurs iniquités. Héb. 10. 17.

CRAINTE OU PAIX ?

Dans un village du Laos se déroule un festival religieux. Le dernier jour, lors de la cérémonie finale, les habitants mettent à l’eau, sur la rivière voisine, un petit canot portant une bougie allumée, qui descend en suivant les méandres de la rivière. Le courant qui l’entraîne est censé emporter au loin les mauvaises actions des villageois.
Cette opération doit être répétée chaque année, ce qui signifie que personne ne peut jamais avoir la conscience déchargée une fois pour toutes. Et du reste, comment de mauvaises actions pourraient-elles être expiées de cette façon ? La crainte du jugement et de l’avenir demeure.
Qu’il est différent, le message de l’Évangile proclamé dans la Bible ! Là, nous trouvons partout la déclaration explicite que Jésus Christ, le Fils de Dieu, l’Homme parfait, était le seul substitut acceptable pour les coupables et que, sur la croix, il a subi le jugement de Dieu à leur place. Et en ressuscitant Christ d’entre les morts, Dieu a donné la preuve éclatante qu’il était pleinement satisfait de cette œuvre expiatoire.
Nous trouvons cela exprimé clairement dans l’épître aux Hébreux (10. 14 et 10) : « Par une seule offrande il a rendu parfaits à perpétuité ceux qui sont sanctifiés » – « par l’offrande du corps de Jésus Christ faite une fois pour toutes ». L’œuvre de l’expiation accomplie par Jésus Christ est parfaite, et Dieu peut donc pardonner les péchés et déclarer qu’il n’est pas possible ni nécessaire que ce sacrifice soit renouvelé. Ceci assure une paix pleine et définitive à tous ceux qui ont mis leur confiance en Jésus Christ comme Sauveur.

D’après The Good Seed Octobre 2011

Thomas lui dit (à Jésus) : – Seigneur, nous ne savons pas où tu vas ; comment pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit : – Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie ; personne ne vient au Père si ce n’est par moi. Jean 14. 5 et 6.

QUEL EST LE VRAI CHEMIN ?

Un randonneur avait perdu son chemin dans la montagne. Il se trouvait à un endroit où se croisaient plusieurs chemins. Lequel était le bon, pour le ramener au village où il passait ses vacances ? Heureusement, un autre randonneur approchait. Il pourrait le lui demander. Cet homme était bavard, et commença à raconter d’où il venait, combien il aimait la montagne, et le temps que la météo annonçait pour le lendemain. Mais quant au chemin que notre ami devait prendre pour rentrer à son village, à son grand regret, il n’en savait rien.
C’est alors que passa une paysanne. – Si elle connaissait la région ? – Bien sûr ! Elle venait de ce village même. Elle connaissait même la maison où le promeneur logeait. Il n’avait qu’à la suivre. Dans ce cas-là, le bon chemin, c’était une personne.
Cela ne sert à rien d’avoir des renseignements sur différentes religions, et de comparer des moyens divers qui permettraient aux gens d’arriver au ciel. La philosophie ou la méditation n’apportent non plus aucune aide. Il ne sert même à rien de considérer la Bible simplement comme un livre intéressant, ou de croire seulement que Dieu existe. Pour quelqu’un qui est perdu, une seule chose a de l’importance : quel est le vrai chemin ?
La réponse est aussi courte que la question : Jésus lui-même a dit : « Je suis le chemin » (Jean 21. 22) C’est ce que, ensuite, les apôtres ont enseigné : « Il n’y a de salut en aucun autre » (Act. 4. 12).

Jésus Christ est le seul chemin, aujourd’hui comme autrefois.

D’après The Good Seed Octobre 2011

Philippe trouve Nathanaël et lui dit : – Celui dont Moïse a écrit dans la Loi et dont les prophètes ont écrit, nous l’avons trouvé : c’est Jésus, le fils de Joseph, qui est de Nazareth. Nathanaël lui dit : – Peut-il venir quelque chose de bon de Nazareth ? Philippe lui dit : – Viens et vois. Jean 1. 45 et 46.

L’AVEZ-VOUS TROUVÉ ?

Les paroles de Dieu avaient été confiées aux Juifs depuis un temps immémorial. Du temps de Jésus, seul l’Ancien Testament existait, et un Juif fidèle était suffisamment au courant de son contenu pour connaître les prophéties et les allusions se rapportant au Messie à venir. C’était de cela que parlait Philippe, l’un des premiers disciples de Jésus.
De quoi voulait-il faire part à Nathanaël ? – De quelque chose de sensationnel ! C’est que l’espérance, si longtemps entretenue par la nation, et leur souhait ardent à chacun, étaient accomplis : Celui au sujet duquel Moïse et les prophètes avaient écrit, celui-là, ils l’avaient trouvé !
Ce qui, au début, suscita la méfiance de Nathanaël, mais qu’il crut ensuite, c’est ce que nous désirons transmettre à nos lecteurs : nous avons trouvé le Sauveur !
Quelle est votre réponse à cette affirmation ? Éprouvez-vous de la méfiance ou de l’incompréhension à l’égard de ce message ? Dans ce cas, nous vous dirons aussi : -Venez et voyez ! Nous ne faisons pas de la publicité pour une religion quelconque, dont vous pourriez accepter ou rejeter les doctrines. Nous vous invitons à apprendre, personnellement, à connaître Jésus Christ, le Sauveur.
Lisez, nous vous en prions, ce que rapportent les évangiles à son sujet, de sa vie, de sa mort et de sa résurrection. Demandez en même temps à Dieu qu’il vous accorde une juste estimation de la personne du Sauveur. Alors vous pourrez dire, avec joie : – Je l’ai trouvé. Je connais maintenant Jésus comme mon Sauveur personnel.

D’après The Good Seed Octobre 2011

Étant ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils. Rom. 5. 10.

CONTRARIÉ VIS-À-VIS DE L’ÉVANGILE

Depuis que Marc, un chrétien, est à la retraite, il tient régulièrement au marché un stand de Bibles et de littérature chrétienne. Un matin, pendant qu’il installait son stand, son voisin, marchand de vêtements, n’avait pas du tout l’air content. Au cours de la matinée, il vint plusieurs fois vers Marc, l’air contrarié.
Quand vint le moment de remballer, puisqu’il n’y avait plus de clients, le commerçant revint encore une fois et laissa éclater sa mauvaise humeur, disant à Marc : – Vous n’avez pas le droit d’être ici. Si vous revenez, je mettrai le feu à votre paperasse. Marc ne put que lui répondre : – Je suis ici pour vous dire que Dieu vous aime tel que vous êtes. La semaine suivante, ils étaient de nouveau là tous les deux. L’atmosphère était tendue, mais le jour de marché se passa sans incident grave.

Puis des semaines passèrent, pendant lesquelles Marc ne revit pas le commerçant. Un jour de nouveau, l’homme revint et se dirigea vers Marc, en lui disant : – Je vous demande pardon de ma conduite lors de notre première rencontre. J’étais alors un mauvais sujet, plein de pensées mauvaises envers Dieu. Mais Dieu m’a trouvé, et m’a sauvé. Maintenant, vous savez, je crois en Jésus.
Si le message de la Bible nous contrarie, en particulier quand il parle de péché et d’un jugement à venir, nous devons alors nous arrêter et commencer à réfléchir. C’est la preuve que nous avons besoin de nous mettre en règle avec Dieu.
Que faire pour que notre hostilité soit remplacée par la paix avec Dieu ? – Lui confesser les péchés de notre vie, pour obtenir son plein pardon. Dieu peut nous l’accorder parce que Jésus a « fait la paix par le sang de sa croix » (Colossiens 1, 20).

D’après The Good Seed Octobre 2011

Qu’est-ce que votre vie ? Elle n’est qu’une vapeur qui paraît pour un peu de temps et puis disparaît. Jac. 4. 14.

Enseigne-nous ainsi à compter nos jours, afin que nous en acquérions un cœur sage. Ps. 90. 12.

AINSI PASSE LA VIE

Il y a plus de quatre mille ans, un puissant roi égyptien s’est fait construire par ses esclaves une énorme pyramide pour lui servir de tombeau, dans le but d’assurer sa renommée pour la postérité.
En 1799, le général Bonaparte, le futur empereur Napoléon 1er, lors de la campagne d’Égypte, s’arrêta devant cette pyramide. Le corps momifié du Pharaon lui fut présenté. Ce fut pour lui un moment solennel : Combien ce roi avait été puissant ! Et que restait-il de lui ? – une momie brune et ridée, c’est tout. Le général Bonaparte se découvrit et, immobile, contempla le cadavre de cet homme qui avait une fois régné sur des millions d’hommes.
Le général n’était alors qu’au début de sa carrière, avant d’être, quelques années plus tard, un souverain puissant et redouté en Europe. Mais seize ans plus tard, son temps, à lui aussi, était passé. Son empire, édifié sur le sang et les larmes, s’écroula, et lui-même finit en exil à l’île lointaine de Sainte-Hélène. Ce ne furent, plus tard, que ses cendres qui furent ramenées en France.
Qu’est-ce que la vie d’un homme ? Un processus de croissance, d’épanouissement, et de déclin. La mort n’épargne pas même les plus grands hommes, tous ont la même destinée. Et après la mort, chacun doit rendre compte de ses actions devant un Dieu saint, qui voit et connaît toutes choses. C’est pourquoi il est si important pour chacun qu’il soit sûr que ses péchés ont été pardonnés, qu’il en a été purifié par le sang de Jésus Christ versé à la croix. En mettant sa confiance en Jésus comme en son Sauveur, il aura la vie éternelle et la mort ne sera plus une terreur pour lui.

D’après The Good Seed Octobre 2011

Hors moi il n’y a pas de Dieu ; – de Dieu juste et sauveur, il n’y en a point si ce n’est moi. És. 45. 21 et 22.
Jésus Christ … il n’y a de salut en aucun autre. Act. 4. 10 et 12.

DOCTEUR, JE NE SUIS PAS BIEN

Vous avez des douleurs, de la fièvre, vous n’arrêtez pas de tousser, vous êtes terriblement fatigué. Les médicaments ne vous ont pas aidé. Le médecin est venu, a posé son diagnostic et écrit une ordonnance. Mais ce n’est pas la visite du médecin qui va vous guérir – il faut suivre ses instructions, et prendre les médicaments indiqués.
En résumé, le patient doit :
– Reconnaître qu’il est malade.
– S’adresser à un médecin compétent.
– Accepter le diagnostic.
– Suivre soigneusement les instructions du médecin.
C’est exactement le processus nécessaire pour qu’une personne soit guérie de sa maladie spirituelle. En effet, depuis la naissance, nous sommes infectés par un virus dangereux, qui attaque l’âme et cause la mort spirituelle. Ce virus, c’est le péché, qui nous empêche de toujours faire le bien et d’être soumis à Dieu en toutes choses.
Qui peut traiter cette maladie ? – Dieu seul, « notre Dieu sauveur, qui veut que tous les hommes soient sauvés » (1 Tim. 2. 3 et 4). Quel est son diagnostic ? – « Tous ont péché » ; « Le salaire du péché, c’est la mort » (Rom. 3. 23 ; 6. 23). Et quel est le remède ? – « Le don de grâce de Dieu, c’est la vie éternelle dans le Christ Jésus » (Rom. 6. 23), qui a donné sa vie pour le salut des pécheurs. Mais comment acquérir ce remède ? – par « la foi au Fils de Dieu, Jésus Christ ». (Gal. 2. 20).

D’après The good seed Octobre 2011

Si, de ta bouche, tu reconnais Jésus comme Seigneur, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité d’entre les morts, tu seras sauvé. Rom. 10. 9.

TÉMOIGNAGE D’UN ACCUSÉ

Un homme, attendant de comparaître en justice, a écrit ce qui suit :
Je suis sous le coup de plusieurs accusations, certaines concernant des crimes graves. Le jugement n’a pas encore été rendu, mais mon avocat me dit que je dois m’attendre à être condamné à au moins vingt ans de prison.
Un jour, il y a de cela quelques mois, j’ai pris conscience de la terrible réalité de ma condition. Je ne pouvais plus ni manger, ni dormir. Dans mon désespoir je me sentais complètement abandonné. Personne ne se souciait de moi.
C’est à ce moment-là que l’aumônier de la prison est venu me voir et m’a donné un tract ayant pour titre : Qui se soucie de vous ? En le lisant, j’ai compris tout à coup que Jésus Christ s’intéressait à moi. Je me suis reconnu comme pécheur devant Dieu, mais j’ai aussi réalisé le verset de la Bible, de Romains 10. 9 (ci-dessus), et j’ai demandé à Jésus de venir dans mon cœur.
Il m’arrive encore de pleurer, mais ce sont des larmes de joie. Je sais que je devrai subir la punition de mes grandes fautes envers l’humanité, et je le reconnais comme juste. Mais je sais aussi que ma culpabilité encore plus grande envers Dieu a été expiée par un Autre : Jésus Christ a porté tous mes péchés sur la croix, où il a souffert à ma place sous le juste jugement qu’ils méritaient.
Le prisonnier a ajouté ceci : Maintenant vous avez lu ma confession. Mais je voudrais vous poser une question : Vous êtes sans doute une personne honorable, en comparaison de ce que j’étais. Vous n’avez donc rien à redouter de la justice humaine. Mais comment échapperez-vous au jugement infaillible de Dieu ? Faites comme je l’ai fait : Mettez votre confiance en Jésus Christ.

D’après The Good Seed Novembre 2011

Jésus … leur dit : Venez et voyez. Ils allèrent donc et virent où il demeurait; et ils demeurèrent auprès de lui ce jour-là. Jean 1. 39.

QUE CHERCHONS-NOUS ?

Un missionnaire bien connu fut invité à dîner avec une haute personnalité, un ancien gouverneur de l’Inde. Au cours de la conversation, le gouverneur lui dit : Vous prétendez avoir vu des centaines de personnes converties en Inde. J’ai vécu là-bas bien des années, et je n’en ai jamais vu.
Là-dessus, le missionnaire lui demanda : Est-ce qu’il vous est arrivé de voir un tigre en Inde ?
Bien sûr, fut la réponse, je suis souvent allé à la chasse au tigre, et j’en ai moi-même abattu plusieurs.
Eh bien, c’est la même chose pour moi, poursuivit le missionnaire. De mon côté, je n’ai jamais vu un tigre en Inde. Vous avez vu ce que vous recherchiez. Moi aussi.
Pour chacun de nous, tout dépend de ce que nous recherchons dans le monde. La sagesse de Dieu nous dit, par la bouche de Salomon : « J’aime ceux qui m’aiment ; et ceux qui me recherchent me trouveront. … Mon fruit est meilleur que l’or fin, même que l’or pur ; et mon revenu meilleur que l’argent choisi » (Prov. 8. 17 et 19).
Recherchez cette sagesse divine, même si l’on vous méprise à cause de cela. Cette sagesse, on ne peut la trouver que dans la Parole de Dieu. Elle a même un nom, c’est le nom béni que nous annonce l’Évangile : « Christ, la puissance de Dieu et la sagesse de Dieu » (1 Cor. 1. 24).

D’après The Good Seed Novembre 2011

Poursuis la justice, la foi, l’amour, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cœur pur. 2 Tim. 2. 22.

COMMUNION ENTRE CHRÉTIENS

Les chrétiens ne devraient pas cheminer seuls dans le sentier de la foi. Les premiers chrétiens nous ont montré l’exemple à cet égard. Dans le livre des Actes, nous lisons qu’ils étaient « d’un commun accord » (ch. 2. 46). Ils se rencontraient régulièrement pour s’encourager et se fortifier mutuellement dans leur foi commune.
Cette communion intime leur donnait la force de rendre témoignage de leur foi avec conviction, et les a réconfortés au cours de la persécution qu’ils n’ont pas tardé à subir de la part de leurs concitoyens qui rejetaient Christ.
Tout vrai chrétien est « né de Dieu », ainsi que le dit la Bible (Jean 1. 13) et il a une nature nouvelle, qui a continuellement besoin d’être nourrie de la Parole de Dieu et de la communion avec les autres chrétiens, tout comme un morceau de charbon ne peut rester enflammé dans le foyer que s’il est en contact avec d’autres morceaux de charbon.
C’est pourquoi nous conseillons à tous ceux qui ont depuis peu mis leur confiance en Jésus Christ : recherchez le contact avec des croyants qui affirment que la Bible est intégralement la Parole de Dieu, et qui s’efforcent de vivre selon ses enseignements. Priez Dieu qu’il vous fasse rencontrer de tels chrétiens fidèles.
Les chrétiens sont dépendants les uns des autres. Ils sont, chacun et tous, des membres du « corps de Christ ». Et de même que les différentes parties d’un corps ne peuvent fonctionner normalement que conjointement les uns avec les autres, ainsi il est important aussi pour les chrétiens de vivre leur foi en communion les uns avec les autres.

D’après The Good Seed Novembre 2011

J’ai cherché parmi eux un homme qui fermât l’enceinte, et qui se tînt à la brèche devant moi pour le pays, afin que je ne le détruisisse pas ; mais je n’en ai point trouvé. Éz. 22. 30.
On t’appellera : réparateur des brèches. És. 58. 12.

AVERTIR DU DANGER

L’histoire est assez bien connue, d’un jeune Hollandais qui évita une catastrophe.
Un jour qu’il se promenait le long d’une digue de polder, il remarqua un petit trou dans le mur de la digue, par où coulait un mince filet d’eau. Le dommage était certainement dû à des rats musqués, et l’eau, en coulant, agrandissait toujours l’ouverture.
Si la digue finissait par s’effondrer, un village entier serait sous l’eau. Le garçon décida d’agir rapidement : il alla chercher quelques pierres avec lesquelles il boucha le trou à titre provisoire. Puis il informa le gardien de la digue, qui fit faire immédiatement la réparation pour consolider la digue. Ce ne fut pas une tâche bien difficile, mais elle sauva de nombreuses vies.
Ce récit authentique a une application morale. Le monde occidental court actuellement le danger d’être complètement ruiné par des influences corruptrices. On attaque la Bible et on méprise les critères donnés par Dieu. On traîne dans la boue le mariage et les autres institutions divines, au lieu de les tenir en honneur. Dans une telle situation, Dieu recherche des croyants qui tiennent ferme.
Quiconque se laisse influencer par cette vague de mal en subira lui-même du dommage. Mais si nous opposons un non catégorique à tout ce qui contredit les commandements divins, nous ferons partie de la phalange de ceux qui se tiennent à la brèche pour la cause de Dieu et qui ont son approbation.

D’après The Good Seed Novembre 2011

Je n’ai pas honte de l’évangile, car il est la puissance de Dieu pour sauver quiconque croit.
Il n’y a pas de différence entre Juif et Grec, le même Seigneur de tous étant riche envers tous ceux qui l’invoquent. Rom. 1. 16 ; 10. 12.

Lui-même a dit : « Je ne te laisserai pas et je ne t’abandonnerai pas « ; de sorte que, pleins de confiance, nous disions : « Le Seigneur est mon aide ; je ne craindrai pas : que me fera l’homme ? » Héb. 13. 5 et 6.

CONFIANCE ET DÉLIVRANCE

Édouard est en prison dans un État totalitaire. Bien qu’innocent, il a été accusé de meurtre et condamné à mort. Personne n’a voulu le croire. Chaque nuit il entend des soldats entrer dans les cellules et en faire sortir des prisonniers. Ensuite on entend le tir du peloton d’exécution.
Édouard n’a que 21 ans, et il n’a pas envie de mourir ! Une nuit, alors qu’il attend avec anxiété, en espérant que ce ne sera pas son tour, il voit un petit livre tomber de la poche de son camarade de cellule. C’est un Nouveau Testament avec les Psaumes. Il l’ouvre au hasard au Psaume 23 et lit : « L’Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien » – Y aurait-il vraiment un Dieu, et voudra-t-il m’accepter ?
Le livre le passionne, il passe toute la nuit à le lire. Au matin, il s’agenouille pour parler à Dieu, en toute simplicité et avec confiance. Il comprend que Jésus va le soutenir, s’il doit mourir. – Mon Sauveur n’était pas coupable quand il est mort sur la croix. Il payait pour mes péchés. Il était donc assuré que son âme serait recueillie en paix vers Jésus, dans le bonheur éternel.
Quand les geôliers viennent le chercher, il se répète les paroles du Psaume 23 : « Même quand je marcherais par la vallée de l’ombre de la mort, je ne craindrai aucun mal; car tu es avec moi ».
A sa grande surprise, on l’informe qu’on a arrêté le meurtrier véritable. Édouard est libre. Dieu l’a délivré, non seulement de ses péchés, mais aussi de la prison. Une vie nouvelle commence pour lui, dans laquelle Celui qui lui a parlé par sa Parole sera son Compagnon de chaque instant.

D’après The Good Seed Décembre 2011

La pierre que ceux qui bâtissaient ont rejetée, celle-là est devenue la pierre maîtresse de l’angle. Luc 20. 17.

CONSTRUIRE : SUR QUEL FONDEMENT ?

La race humaine ne cesse jamais de construire. On construit des maisons et des villes ; on édifie des gouvernements et des empires. Il en est de même des philosophies, de nos vies, de notre existence, de nos familles. Au milieu de toute cette activité, la plupart des gens sont d’accord sur une chose : quoi que ce soit qu’ils construisent, Jésus Christ n’y a pas sa place. Ils ne savent pas quoi faire de Lui. Il reste toujours la pierre que ceux qui bâtissent ont rejetée.
Mais l’affaire ne se termine pas du tout ainsi à propos de cette pierre. Il y a Quelqu’un d’autre qui est en train de construire, lui aussi : c’est le Dieu vivant. Il construit son Église, une maison qui a un fondement inébranlable et une pierre d’angle solide, Jésus Christ.
Ce que les humains construisent sera toujours imparfait, d’une manière ou d’une autre. Beaucoup de constructions finissent en ruines. Les plans des architectes sont modifiés, on agrandit ou on transforme les bâtiments. Par contre, la construction que Dieu édifie se poursuit sans une fissure. C’est un édifice éternel, dont le Seigneur Jésus lui-même a dit : « Les portes du hadès ne prévaudront pas contre elle » (Mat. 16. 18). Cela signifie que même le pouvoir de la mort ne pourra triompher de l’Église de Dieu ou d’aucun de ceux qui en font partie. Bientôt la dernière pierre sera ajoutée, et le temple de Dieu sera entièrement terminé.
Chacun, maintenant, doit se poser la question : A quel groupe de personnes est-ce que j’appartiens ? A ceux qui construisent leur vie sans Jésus Christ ? Ou est-ce que je me contente de copier les idées des autres gens pour construire ? Ou bien est-ce que je suis une pierre vivante dans la maison de Dieu ? Par la foi au Seigneur Jésus Christ, qui est mort pour sauver les pécheurs, chacun, homme ou femme, peut avoir une place assurée dans la maison spirituelle de l’édifice de Dieu.

D’après The Good Seed Décembre 2011