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TRADUCTION DE FEUILLETS (39)

 

« Qui parmi vous prêtera l’oreille… qui fera attention et écoutera ? » Ésaïe 42. 23.

UNE HEUREUSE RENCONTRE

Un incident d’il y a quelques années montre clairement que Dieu s’occupe des hommes individuellement et les appelle. Il les rencontre afin qu’ils connaissent la communion avec Lui.
Un chrétien, conduisant sa voiture vers la gare, prend un auto-stoppeur. Pendant les cinq minutes de trajet, il prend courage et s’adresse à son compagnon sur le thème central de la vie : Croyez-vous en Dieu ?
La réaction de son compagnon lui montre qu’il a touché une corde sensible. Mais ce n’est pas une réponse de refus comme de quelqu’un qui est immédiatement allergique quand on lui parle de Dieu. Non, au contraire.
– Je viens de recevoir ce Nouveau Testament qu’on m’a offert, explique l’auto-stoppeur au conducteur bien étonné. Alors j’ai prié intérieurement : Dieu, si vraiment Tu existes, alors permets que j’arrive encore à l’heure à la gare. Maintenant, non seulement je suis à l’heure pour mon train, mais je me suis tourné vers Dieu.
Il y a des moments semblables dans la vie de chaque humain, dans lesquels nous sommes conscients que Dieu parle à notre cœur. Nous devons alors nous décider : Voulons-nous L’écouter et nous confier en Lui ? Sommes-nous prêts à répondre à l’appel de Dieu et à croire en Son Fils Jésus-Christ ? Ou préférons-nous continuer à suivre le cours de notre vie loin de Lui ?

D’après Näher zu Dir décembre 2022

 

« Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ… qui nous a élus en lui avant la fondation monde, pour que nous soyons saints et irréprochables devant lui en amour ». Éphésiens 1. 3 et 4.

ÉLUS

Je n’ai jamais connu mes parents. Aussi j’ai grandi dans un orphelinat.
Un jour un couple est venu désirant adopter un enfant. Je les voyais se tenir là, et choisir – et j’ai souhaité qu’ils me prennent. J’aspirais à avoir un foyer, un père et une mère. Mais ils ont pris un autre enfant.
Les années ont passé. De nombreux couples sont venus et ont choisi – mais non pas moi. J’espérais et je désirais de tout cœur appartenir à un endroit, quel qu’il soit ! Mais personne ne voulait de moi. J’ai demandé une fois à la responsable de la maison : Est-ce que personne ne veut donc de moi ? Elle a haussé les épaules en disant : Je ne sais pas. Peut-être qu’un jour tu seras aussi choisi. Mais cela n’est jamais arrivé.
Plus tard, j’ai connu d’autres maisons : des foyers, des logements de passage, des établissements judiciaires. Maintenant je suis en prison depuis plusieurs années. Ici, il y a quelque temps, j’ai entendu parler pour la première fois de Jésus Christ : un pasteur a lu la Bible avec nous et nous a expliqué combien Dieu nous a aimés. J’ai alors reçu le Seigneur Jésus comme mon Sauveur, et j’ai commencé à lire la Parole de Dieu.
Je suis tombé une fois sur le passage : « Élus en Lui… prédestinés pour nous adopter pour lui par Jésus Christ ». Quelle découverte : Dieu m’a élu et reçu ! Par la nouvelle naissance je suis devenu son enfant et j’appartiens maintenant à la famille de Dieu.

D’après Näher zu Dir janvier 2023

 

« Vous vous êtes tournés vers Dieu… pour servir le Dieu vivant et vrai, et pour attendre des cieux son Fils qu’il a ressuscité d’entre les morts, Jésus, qui nous délivre de la colère qui vient ». 1 Thessaloniciens 1. 9 et 10.

L’ASSURANCE DU SALUT

Rafi Friedl (1920-1996) est juif. Il est venu en Hongrie en janvier 1944 – tout à fait officiellement, mais il a probablement acheté les documents nécessaires à un ami. Selon ces documents, il est né aux États-Unis et il a donc automatiquement la nationalité américaine et est sous protection américaine.
Lorsque l’Allemagne envahit la Hongrie le 19 mars 1944 – déclenchant la machinerie meurtrière d’Adolf Eichmann – Rafi se rendit directement chez Carl Lutz (1895-1975), le vice-consul suisse représentant les Américains en Hongrie. Il lui tend un questionnaire de plusieurs pages, mais Rafi ne peut pas le remplir car il n’en sait pas assez sur l’ami à qui il a acheté les documents. Mais Carl Lutz, qui sauvera 60 000 personnes des camps d’extermination nazis jusqu’à la fin de la guerre, le rassure et lui dit de remplir simplement le formulaire. Il remet ensuite à Rafi le certificat désiré attestant qu’il est citoyen américain et qu’il est sous protection suisse. Ce laissez-passer sauve la vie de Rafi. Il a survécu aux persécutions et a servi comme ambassadeur d’Israël après la guerre.
Les croyants de Thessalonique avaient également une « carte d’identité » qui leur a sauvé la vie. Ils s’étaient tournés vers Dieu à partir des idoles et voulaient maintenant servir le Dieu vivant et vrai. En même temps, ils attendaient du ciel son Fils Jésus-Christ, que Dieu avait ressuscité des morts (v. 9). Lui-même était la garantie que leur attente serait réalisée. C’est pourquoi Paul écrit que Jésus « nous délivre de la colère qui vient ».
Rafi Friedl a été sauvé par la carte d’identité d’un ami. Vous et moi serons sauvés par Jésus-Christ. Avez-vous déjà obtenu cette carte d’identité vitale ?

D’après die gute Saat janvier 2023

 

« Christ… est entré une fois pour toutes dans les lieux saints, ayant obtenu une rédemption éternelle ». Hébreux 9. 12.

FRANÇAIS PAR LE SANG VERSÉ

Un soldat de la Légion étrangère française peut acquérir la nationalité française après trois ans de service. Cependant, s’il est blessé au cours ou à l’occasion d’une mission, elle peut lui être attribuée plus tôt. Il devient alors un fils de la France – non pas en ayant, comme un Français, reçu du sang français par naissance, mais à cause de son propre sang versé.
On devient aussi chrétien par le sang versé. Non pas en versant son propre sang, mais par le sang, par la mort de Jésus-Christ. L’apôtre Pierre écrit à ceux qui ont cru : « Sachant que vous avez été rachetés de votre vaine conduite… non par des choses corruptibles, de l’argent ou de l’or, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache ». (1 Pier 1. 18 et 19). Et Jean écrit : « Le sang de Jésus-Christ son Fils nous purifie de tout péché » (1 Jean 1. 7). Oui, le sang devait couler, la mort devait survenir, car « sans effusion de sang, il n’y a pas de rémission » (Héb. 9. 22).
Jésus-Christ n’a pas pris le sang des animaux – mais a volontairement donné sa propre vie dans la mort afin que les péchés puissent être expiés et que les hommes puissent être sauvés. Il a ainsi frayé l’accès à Dieu et posé une fois pour toutes la communion avec Dieu sur une base solide et suffisante. Il n’y a rien de plus à ajouter à sa mort, et son sacrifice n’a jamais besoin d’être répété. « Il a obtenu une rédemption éternelle ».
Pouvez-vous dire : « Je suis racheté par le précieux sang de Christ » ?

D’après die gute Saat janvier 2023

 

« Mon fils, si les pécheurs cherchent à te séduire, n’y acquiesce pas ». Proverbes 1. 10.

BON ET MAUVAIS CONSEIL

Les premiers chapitres des Proverbes sont écrits pour donner de bons conseils à la jeune génération. Les jeunes gens, à cause de leur manque d’expérience, peuvent facilement être détournés. Ici ils sont avertis de ne pas se laisser détournés par de prétendus amis tels qu’ils sont décrits dans les versets 11 à 19. Ces amis (qui ne sont pas du tout de vrais amis) se délectent de pratiquer le péché. De nos jours, ils refusent toute autorité et peuvent même faire des efforts pour la détruire.
Séduire signifie qu’ils mettent la pression sur les autres pour qu’ils les suivent dans leurs voies.
Une de ces pressions, c’est un appel fort à la conformité. On nous dit d’être tolérants aux développements modernes. La foi de nos pères est traitée de traditionalisme. Cette pression est une ruse de Satan dans laquelle les jeunes tombent facilement. Elle s’accompagne souvent d’une accusation contre nous, nous traitant de lâches si nous ne nous y conformons pas. Il faut du courage moral pour l’identifier et y résister. Ces faux amis essaieront aussi peut-être de nous menacer de nous isoler, à moins que nous nous conformions à leurs voies de péché.
Quelle réponse pouvons-nous, jeunes et âgés, donner à ces voies de séduction ? C’est le passage d’Hébreux 4. 13 : « Tout est nu et découvert aux yeux de celui à qui nous avons affaire. » Nous avons affaire avec Dieu ! En s’adressant à nous comme « mon fils », Dieu nous dit ici, dans les Proverbes, que la loyauté envers les vrais amis est une vertu noble, mais que l’obéissance aux parents est encore plus élevée et plus noble, tandis que la loyauté envers Dieu « qui m’a aimé et qui s’est donné lui-même pour moi » est la vertu la plus noble de toutes. Il plaide avec les jeunes : « Mon fils, donne-moi ton cœur ». Répondons-Lui : Oui, et étant loyaux envers Lui, disons : Non ! aux séductions des faux amis.

D’après The Lord is near juillet 1978

 

« Ma parole n’est-elle pas comme un feu, dit l’Éternel, et comme un marteau qui brise le roc ? » Jérémie 23. 29.

LA PUISSANCE DE LA PAROLE DE DIEU

Une chrétienne fidèle donna une Bible à un voisin incroyant, bien qu’il lui dise qu’il allait la brûler dès qu’elle aurait quitté la maison. Après le départ de cette personne, il se prépara à accomplir sa menace, bien que sa femme l’ait supplié de ne pas le faire. Elle quitta la maison pour protester à mesure qu’il arrachait les pages l’une après l’autre et les jetait dans le feu. Cependant une page tomba par terre sans qu’il s’en aperçoive. Quand sa femme rentra, elle la ramassa, mais son mari la lui arracha des mains pour la brûler comme les autres. Mais avant que la feuille atteigne les flammes, les paroles suivantes attirèrent le regard de l’homme : « Les cieux et la terre passeront, mais ma parole ne passera pas ! »
L’homme ne put dormir cette nuit-là. Le matin suivant, il demanda à sa femme si elle savait où demeurait la femme qui avait apporté la Bible. Elle le lui dit, tout heureuse, et il ne perdit pas de temps pour aller la voir et lui dire ce qui était arrivé. Elle lui donna immédiatement une autre Bible, qu’il emporta chez lui pour la lire. Une fois de plus, la Parole de Dieu prouva qu’elle est un marteau qui brise le roc (verset ci-dessus). Cet homme devint bientôt un monument de la grâce de Dieu et de la puissance de Sa Parole.
« Tu as commandé la justice de tes témoignages, et la fidélité » (Ps. 119. 138) ; « ainsi sera ma parole qui sort de ma bouche : elle ne reviendra pas à moi sans effet, mais fera ce qui est mon plaisir, et accomplira ce pour quoi je l’ai envoyée » (És. 55. 11). Il nous est dit aussi : « Si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas votre cœur ». (Ps. 95. 8)

D’après The Lord is near octobre 1978

 

« Si Christ n’a pas été ressuscité, alors notre prédication est vaine, et votre foi aussi est vaine ». 1 Corinthiens 15. 14.

LE VRAI CHRISTIANISME

Nous avons trop souvent présenté l’évangile de manière sentimentale plutôt que comme une réalité historique. Nous avons permis que la conversion chrétienne soit représentée comme un saut de foi aveugle. Nous sommes trop souvent restés sans réagir alors que amis ou ennemis ont dit des choses ridicules telles que : -La Bible est remplie de pensées et d’idées religieuses nobles, mais elle n’est pas fiable, historiquement et scientifiquement. Ou : – Cela n’a vraiment pas d’importance que Dieu existe vraiment au ciel ou seulement dans notre esprit, aussi longtemps que l’idée de Dieu nous donne du réconfort. Ou encore : Ce n’est pas important que Christ soit réellement né, qu’il ait vécu, qu’il soit mort, et qu’il soit ressuscité corporellement hors du tombeau, puisque la seule chose importante, c’est que nous cherchions à suivre ses enseignements et son exemple. Non-sens !
Si le christianisme n’est pas fondé sur la réalité historique, c’est une farce horrible et une mystification cruelle. Si la Bible tombe en lambeaux sous une réelle investigation historique et scientifique, ses enseignements moraux et éthiques perdent leur sens et leurs conséquences. S’il n’y a pas un Dieu qui est à la fois infini et qui a toute connaissance, alors Karl Marx a raison de dire que la religion n’est que l’opium du peuple, et que ses superstitions doivent être abandonnées.
Si Jésus Christ n’est pas la vérité, Il n’est pas du tout véritable. En fait, si Christ n’est pas ressuscité hors du tombeau, notre foi est vaine, et les chrétiens sont les plus misérables de tous les hommes. Nous pourrions aussi bien dire : Mangeons et buvons, car demain nous mourrons. La vie sans aucune espérance, sans but et sans avenir, devient absurde. Mais Christ est ressuscité ! Avec l’apôtre Paul nous pouvons nous exclamer triomphalement : « Je sais qui j’ai cru » (2 Tim. 1. 12)

D’après The Lord is near juillet 1979

 

« Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui désobéit au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui ». Jean 3. 36.

UNE QUESTION URGENTE

Cette affirmation, simple mais solennelle, a été prononcée par Jésus Christ, le Fils du Dieu vivant. Quiconque entend ou lit cela devrait s’arrêter et se le répéter, et se demander : Suis-je vraiment soumis au Fils de Dieu ? Croire en Lui n’est pas difficile, mais la soumission, cependant, signifie que vous le reconnaissez comme Celui que Dieu a envoyé dans ce monde comme la Lumière du monde, et comme Celui qui est mort pour vos péchés et qui a le droit d’être votre Seigneur. Un tel regard de foi ne prend qu’un instant, mais ses effets durent pour l’éternité, car vous serez passé de la mort à la vie. Cet acte de foi ôtera une multitude de péchés de votre bilan devant Dieu.
L’apôtre Paul était le messager de Dieu envers Félix, le gouverneur romain de la Judée. La sainteté de Dieu exigeait que cet officier distingué reconnaisse le fait qu’il avait mené une vie de péché. Le moment était venu où il était sous le projecteur divin pénétrant tout ce péché. Les paroles directes de Paul à cet homme n’étaient certainement pas destinées à gagner sa faveur afin qu’il soit relâché de la prison où il était détenu à tort. Mais Paul n’aurait pas été fidèle s’il avait essayé d’apaiser son juge par la flatterie ou par des paroles agréables. Non, Paul confrontait le gouverneur par une mise en garde devant la colère de Dieu qui tomberait sur lui s’il refusait de se repentir et de croire. Félix fut impressionné et rempli de crainte ; cependant il esquiva la question de son salut par rapport au péché. Son erreur lui coûta le ciel. La colère de Dieu demeura sur lui parce qu’il avait refusé le salut de Dieu.
Qu’il est plus heureux, facile et sage, de soumettre notre propre volonté à Dieu et d’accepter Jésus Christ comme Sauveur et Seigneur. Où en êtes-vous quant à votre salut éternel ?

D’après The Lord is near juillet 1979

 

« Et toi, Bethléhem Ephrata, bien que tu sois petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui doit dominer en Israël, et duquel les origines ont été d’ancienneté, dès les jours d’éternité ». Michée 5. 2.
« Sondez les Écritures, car vous, vous estimez avoir en elles la vie éternelle, et ce sont elles qui rendent témoignage de moi ». Jean 5. 39.
« On lui donna son sépulcre avec les méchants; mais il a été avec le riche dans sa mort ». Ésaïe 53. 9.
« Donnez-moi mon salaire : sinon, laissez-le. Et ils pesèrent mon salaire, trente pièces d’argent. Et l’Éternel me dit : Jette-le au potier, ce prix magnifique auquel j’ai été estimé par eux ». Zacharie 11. 12 et 13.
« Il garde tous ses os. Pas un d’eux n‘est cassé ». Psaume 34. 20.

LA VRAIE VALEUR DES PROPHÉTIES

Le magazine Choses vieilles et choses nouvelles rapporte la conversation suivante entre un croyant et un groupe de jeunes, la plupart opposés à l’enseignement chrétien concernant Christ.
– Je leur ai rappelé les nombreuses prophéties de l’Ancien Testament concernant le Messie, qui ont été accomplies littéralement par le Seigneur Jésus. L’un des jeunes admit que ces prophéties furent écrites longtemps avant la naissance de Christ, et qu’il les a accomplies. Toutefois, il imaginait que Christ avait, de son propre chef, décidé de ses actions selon ces prophéties pour affermir ses revendications d’être le Messie.
– Je demandai au jeune homme d’expliquer comment Christ avait opéré pour naître précisément dans ce village – l’un des plus petits de Juda – où le prophète Michée avait prévu que le Fils éternel naîtrait sur la terre. Je lui demandai aussi comment Jésus avait fait pour naître exactement à ce moment-là et dans la famille que l’Écriture avait annoncée.
Le jeune homme alors protesta que Jésus, voyant qu’il était né à Bethléhem au temps annoncé, et dans cette famille précise, avait simplement décidé de diriger les autres détails requis pour établir ses revendications messianiques.
Je répondis : D’accord. Alors expliquez-moi comment Jésus s’est arrangé pour que deux criminels soient crucifiés avec Lui, comme il est dit en Ésaïe 53. Judas s’est-il accordé avec les principaux sacrificateurs pour trahir Jésus pour trente pièces d’argent, simplement pour accomplir les paroles de Zacharie ? Qui a fait en sorte que, après que Judas se soit pendu, pour acheter le champ du potier avec l’argent que Judas avait jeté dans le temple ? Était-ce fait simplement pour accomplir la prophétie de Zacharie ?
Dites-moi aussi comment Jésus, alors qu’Il était cloué sur la croix, a persuadé les quatre soldats romains de partager Ses vêtements en quatre parts, mais de jeter le sort sur sa robe, comme il est écrit dans le psaume 22 ? Les ennemis du Seigneur Lui ont-ils donné du vinaigre à boire simplement pour accomplir le psaume 69 ? Comment Christ s’est-Il arrangé, après Sa mort, pour que les soldats ne lui rompent pas les jambes comme ils le firent aux deux brigands – ou bien les soldats connaissaient-ils le passage de Psaume 34. 20, et ont-ils décidé de l’accomplir ? Puis, ces soldats ont-ils agi comme étant d’une même pensée avec Jésus en perçant Son côté d’une épée, parce que Zacharie avait dit à propos du Messie : « Ils regarderont vers moi, celui qu’ils ont percé » ?
J’ai demandé ensuite au jeune homme comment Jésus avait fait pour avoir l’enterrement d’un homme riche comme il est annoncé en Ésaïe 53, et a été réalisé selon Matthieu 27. Le jeune homme n’avait plus rien à dire.

D’après The Lord is near juillet 1979